Carthage

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Poésies
Traduction par Adolphe Régnier.
Hachette (1p. 368).

CARTHAGE[1].


Enfant dégénéré d’une mère humaine, meilleure que toi, à la violence du Romain tu associes la ruse du Tyrien ! mais l’un gouvernait avec vigueur la terre conquise, l’autre instruisait le monde, qu’il volait avec art. Toi, parle ! que dit l’histoire à ta louange ? A l’exemple du Romain, tu soumets avec le fer, ce que tu gouvernes, en Tyrien, avec l’or.

  1. Heures de 1795.