Discussion:Traité des délits et des peines

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
La bibliothèque libre.

Sources[modifier]

source actuelle pour le chapitre XLI[modifier]

au format texte :

http://ledroitcriminel.free.fr/la_science_criminelle/les_sciences_juridiques/la_loi_penale/generalites/beccaria_delits_peines.htm

(il n'est pas indiqué sur cette page à quelle édition elle correspond).

autre version du texte disponible en ligne[modifier]

« Une édition électronique réalisée à partir du texte de Cesare Bonesana Beccaria [1738-1794], marquis, Traité des délits et des peines. Traduction de l'italien par M. Chaillou de Lisy, bibliothécaire, publiée à Paris en 1773 par J. Fr. Bastien. Paris: Librairie de la Bibliothèque nationale, 1877, 192 pp. Collection: Bibliothèque nationale. Collection des meilleurs auteurs anciens et modernes. »

Discussion[modifier]

Cette version présente l'avantage d'être d'une source fiable et entièrement numérisée. L'édition ainsi définite peut donc être l'édition de référence, plutôt que celle présente sur Gallica.

Cette édition paraît moins complète que celle de Gallica. Toute la première moitié de l'introduction de l'auteur qu'on trouve dans Gallica manque dans l'édition mise en ligne par les Classiques des Sciences sociales : s'agit-il des ajouts de la 3e édition dont il est question dans la notice ? Dans ce cas, l'édition de référence est celle de Gallica.


Type :texte imprimé
Auteur :Beccaria, Cesare (1738-1794)
Titre(s) :Traité des délits et des peines. Traduit de l'italien, d'après la troisieme edition revue, corrigée & augmentée par l'auteur. Avec des additions de l'auteur qui n'ont pas encore paru en italien. Nouvelle édition plus correcte que les précédentes
Auteur(s) :Morellet, André (1727-1819). Traducteur


Il me semble aussi que la traduction de l'abbé Morellet est plus musicale que la traduction de Chaillou de Lisy, à exactitude égale.
Traduction Morellet (1766)


Quelle reconnaissance ne mérite pas du genre humain le Philosophe qui, du fond d'un cabinet obscur et dédaigné, a eu le courage de jeter parmi la multitude les premières semences longtemps infructueuses des vérités utiles !

Traduction Chaillou de Lisy (1773)


Heureux le philosophe digne de la reconnaissance du genre humain qui, du fond d'un cabinet obscur et dédaigné, a osé jeter les premières semences, longtemps infructueuses, des vérités utiles !


Fac-similés[modifier]

Université de Strasbourg

Autres traductions : sources[modifier]

Traduction Chaillou de Lisy, 1773, publiée par la Librairie dee la Bibliothèque nationale en 1881. Internet Archive