Voir tome 1.
au président de Moulceau, et ci-après celle de Mme de Grignan à son mari, en date du 5 janvier 1688.
De sa gloire la terre est pleine ;
Comme le foudre on craint son bras
Il a gagné mille combats,
Et l’on doute encor s’il n’est pas
Plus soldat qu’il n’est capitaine. »