L’Encyclopédie/1re édition/Errata

La bibliothèque libre.



Pour le tome 1[modifier]

Dans l’Errata du tome 1[modifier]

ERRATA.

QUelques soins que l’on ait apportés pour rendre ce volume correct, on n’a pû empêcher qu’il ne s’y glissât quelques fautes, la plûpart peu considérables ; on prie le Lecteur de vouloir bien les corriger.

page col. lig.
5 2 29 effacez (Y)
7 2 38 au lieu de bx, lisez b.
8 1 17 au lieu de mesurée, lisez mesuré.
16 2 32 *Ce mot, ôtez l’étoile.
23 1 34 (L) lisez (l).
39 2 53 au lieu de Axe ordonnée, lisez Axe, Ordonnée.
48 les articles ABUYO, ABUKESB, ont été déplacés dans l’ordre alphabetique par mégarde, & doivent être placés, l’un un peu plus bas, l’autre un peu plus haut.
72 2 32 cause qui arrive, lisez cause qui agit.
Ibid. 37 chaud, de l’été, lisez chaud de l’été.
78 2 vers le milieu, septieme diminué, lisez septieme diminuée.
79 1 retranchés de, lisez retranchés.
111 2 36 de devant, lisez de derriere.
120 1 lig. dern. l’on, lisez si l’on.
127 2 49 & 50 dans l’ile, lisez à vingt lieues.
132 1 59 Cohélion, lisez Cohésion.
146 1 la gomme, lisez (la gomme).
156 2 68 s’appliquer, lisez s’applique.
158 1 36 Mechanical, lisez Mechaniques.
161 2 19 Affinité doit être placé avant AFFINS, quatre lignes plus haut.
179 à la tête de l’article AGNUS SCYTHICUS, il faut une étoile.
589 2 59 Indor, lisez Isidor.
194 2 14 Chrysætos, lisez Chrysaëtos.
Ibid. 18 haliætos, lisez haliaëtos.
Ibid. 19 melanætos, lisez melanaëtos.
195 1 35 chyseæcos, lisez chrysaëtos.
212 1 1 ôtez les guillemets depuis la 63 ligne jusqu’à la fin, & ceux de la seconde colonne.
223 2 59 Medecin des, lisez Medecin, des.
232 2 36 réciproque, lisez directe.
235 1 4 & 30 Bayle, lisez Boyle.
253 1 14 forme, lisez trouve.
258 2 25 boussole, lisez console.
263 2 28 tube, lisez cube.
389 1 62 au lieu de 70, lisez 10.
443 & 444 on a mis par-tout Trisaguet pour Tresaguet.
468 2 71 glaise, lisez glaire.
474 1 56 de ceux-ci, lisez des autres.
481 2 14 Astrolable, lisez Astrolabe.
661 2 28 Zenophaüs, lisez Xenophanes.
744 2 43 logarithmiques, lisez logarithmes.
755 2 39 sulcica, lisez suecica.
777 2 70 graine, lisez gaine.

N.B. On a mis par mégarde une étoile aux articles Abraxas, Abreviation, Accastellage, Anecdotes, Antiparastase, Areopage, Argo.

Il faut mettre (L) à la fin de l’article Abaisseur.

(Y) à la fin d’Abaptiston.

(G) à la fin d’Adar.

(Q) pour (Z) à la fin d’Affut.

☞ Ce premier Volume contenant un plus grand nombre de feuilles qu’on ne s’étoit proposé de donner, on trouvera les Approbations & le Privilege du Roi, qu’on n’a pû placer ici, dans un des Volumes suivans.



Tome I. page 762. 2. col. vers le bas, supprimez l’article Asple tout entier, & substituez ce qui suit :



* ASPLE, ou mieux ASPE, s. m. on donne ce nom dans les Manufactures en soie de Piémont, indifféremment au dévidoir sur lequel on tire les soies des cocons, & à celui qui dans les moulins se charge de la soie organcinée : le premier s’appelle aspe de filature, & le second aspe de tors. Mais dans nos manufactures on a conservé à celui-là le nom d’aspe ou d’asple, comme disent les ouvriers, & l’on a nommé guindre celui-ci. Le réglement de Piémont ordonne l’aspe de tors de 9 onces de tour pour les organcins, & de 9 1/2 pour les trames ; & l’aspe de filature de 48 onces au plus, & de 40 au moins. Ces aspes sont l’un & l’autre des parallelépipedes, dont la base est un quarré, & dont les angles sont formés par quatre lames dont une ou deux sont mobiles, pour avoir la facilité d’enlever les écheveaux. Si on donne à la base de l’aspe de tors 14 de nos pouces de diagonale, on lui en trouvera 40 de tour ; il faudra que 40 de nos pouces équivalent à neuf onces de Piémont, & que l’aspe de filature en ait 213 1/2 de tour, ou environ 75 de diagonale ; dimension beaucoup plus grande que celle qu’il a réellement. Trompé par cette contradiction du réglement, nous n’avions donné qu’environ quinze de nos pouces de circonférence à l’aspe de tors, tandis que sa base en a vraiment quatorze de diagonale, ainsi que M. de Vaucanson a eu la bonté de nous en avertir ; nous faisant remarquer en même tems qu’il y avoit faute dans le réglement, & qu’au lieu de neuf onces de tour qu’on y assignoit à l’aspe de tors, c’étoit 29 qu’il devoit y avoir.

L’aspe de tors dans les moulins achevant tous ses tours en tems égaux, moins il aura de diametre, moins sera grande la quantité de fil ou de soie dévidée dans un de ses tours de dessus les bobines sur sa circonférence, & plus par conséquent elle sera torse : au contraire, plus son diametre sera grand, plus sera grande la quantité de soie qui passera dans un de ses tours de dessus les bobines sur sa circonférence, moins elle sera torse. Mais il y a deux inconvéniens qui rendent le tors variable : le premier, c’est qu’à mesure que l’écheveau se forme sur l’aspe, l’épaisseur de cet écheveau s’ajoûtant au diametre de l’aspe, il y a plus de soie portée de dessus les bobines sur sa circonférence dans un instant, que dans un autre instant égal ; d’où il s’ensuit que la soie est moins torse à la fin qu’au commencement, & dans tout le tems de la formation de l’écheveau : le second, c’est que les bobines mûes sur elles-mêmes par le frotement n’ayant aucun mouvement régulier, tordent irrégulierement.

Pour remédier au premier inconvénient, les Piémontois font des écheveaux très-legers : en effet, ce qu’ils appellent un matteau de soie, pese environ huit onces, & le matteau contient huit écheveaux : quant au second, peut-être ne l’avoient-ils pas même soupçonné.

Le célebre M. Vaucanson, fait pour imaginer & perfectionner les machines les plus délicates, outre la précaution de faire des écheveaux legers, a trouvé le moyen d’en répandre encore les fils sur une zone de l’aspe plus large, & il a anéanti l’irrégularité du mouvement des bobines, en armant de pignons les fuseaux, & en substituant au frotement d’une courroie l’engrenage de ces pignons dans les pas d’une chaîne. Quand les aspes ont achevé 2400 révolutions, & que chaque écheveau se trouve avoir 2400 tours, une détente alors, sans qu’on touche au moulin, recule subitement les tringles où sont attachés les guides ; tous les fils de soie changent de place sur l’aspe, & forment un nouvel écheveau à côté du premier, & ainsi de suite. Après chaque 2400 révolutions, & lorsque tous les aspes sont couverts d’écheveaux, incontinent après le dernier tour du dernier écheveau, le moulin s’arrête de lui-même, & avertit l’ouvrier par une sonnette de lever les aspes qui sont pleins, & d’en remettre de vuides. Mais M. Vaucanson n’a point appliqué cette sonnette à chaque bobine de son moulin, pour avertir quand elles sont vuides, comme on l’a dit dans ce même article de notre premier volume.

Telles sont en partie les découvertes de M. Vaucanson : elles sont trop bien à lui, pour que qui que ce soit ose y donner atteinte ; & c’est autant pour désavoüer ce qui pourroit en avoir l’air dans l’article Aspe tel que nous l’avons d’abord publié, que pour en réformer les inexactitudes, que nous le restituons tel que le voici.

Dans l’Errata du tome 2[modifier]

Dans le Discours préliminaire, page xlj. ligne 32 & 33, au lieu de ces mots, des nouvelles vûes, lisez des vûes nouvelles. ibid. ligne 53. depuis le mot entr’autres, effacez le reste de la phrase.

A l’article Abdication, au lieu de Philippe IV. lis. Philippe V.

A l’article Adra, ligne pénultieme, au lieu de 16, lis. 61.

A l’article Acanthe, en Architecture, lig. 33, au lieu de Villapaude, lis. Villapande.

A l’article Acceptation, p. 68, col. 1, lig. 17, au lieu de par lesquelles, lis. par laquelle.

Quelques erreurs de copiste s’étant glissées dans l’impression de la Table des Accords, article Accord du volume précédent, on a cru devoir rétablir ici le commencement de cette Table.


TABLE DE TOUS LES ACCORDS
reçûs dans l’Harmonie
.


Accords fondamentaux.
Accord parfait & ses dérivés.

Cet accord constitue le ton, & ne se fait que sur la tonique ; sa tierce peut être majeure ou mineure, & c’est ce qui constitue le mode.

Accord sensible ou dominant, & ses dérivés.

Aucun des sons de cet accord ne peut s’altérer.

Accord de septieme, & ses dérivés.

La tierce, la quinte, & la septieme de cet accord peuvent s’altérer.

Accord de septieme diminuée, & ses dérivés.

Aucun des sons de cet accord ne peut s’altérer.

Accord de sixte ajoûtée, & ses dérivés.

Je joins ici par-tout le mot ajoûté, pour distinguer cet accord & ses renversés des productions semblable, de l’accord de septieme.

Ce dernier renversement qui porte le nom d’accord ajoûté de septieme, est très-bon, & pratiqué par les meilleurs Musiciens, même par tel qui le desaprouve ; mais ce n’est pas ici le lien de m’étendre sur ce sujet.

Accord de sixte superflue, &c.

N. B. Voyez à l’article Accord le reste de la table.

A l’article Accouplement, ligne 5, au lieu de Mansard, lis. François Mansard.

Ibid. ligne 11, au lieu de Desbrosses, lis. de Brosse. C’est ainsi que se nommoit ce fameux architecte, qu’on a appellé mal-à-propos Desbrosses dans le premier volume de l’Encyclopédie.

A l’article Adrianistes, à la fin il faut Lindan, au lieu de Lidan.

A l’article Adrumete, au lieu de Bysance, lisez Bysacène.

A la fin de l’article Agir, ajoûtez : cet article est tiré du Traité des premieres vérités, dans le Cours des Sciences du P. Buffier, Jésuite.

Dans l’art. Agnus Scythicus, p. 179, col. 2, lig. 28 & 29, au lieu de Sigismond, d’Hesberetein, lis. Sigismond d’Herberstain. Ibid. page 180, col. 1, lig. 10, au lieu d’après, lis. avant.

A l’article Alastor, au lieu d’Ophnéus & Dyctéus, lis. Orphnéus & Nyctéus.

A la fin de l’article Alcove, ajoûtez : On a fait alcove masculin, quoique Despreaux ait dit une alcove enfoncée, en parlant du lit de la Mollesse ; parce qu’il semble que l’usage fait aujourd’hui alcove plus masculin que féminin. Au reste on peut lui donner quel genre on veut, cela est assez indifférent ; l’étymologie de ce mot, qui est peu connue & assez obscure, ne fournissant sur ce point aucune décision. Il n’en est pas de même d’antichambre & d’automne, dont nous avons fait le premier féminin, & le second masculin, contre l’usage qui paroît commencer à s’établir, & qui néanmoins n’a pas encore pris le dessus. Il nous paroît ridicule de faire chambre féminin, & antichambre masculin : à l’égard d’automne, tout concourt à le rendre masculin ; les trois autres saisons qui sont de ce genre en notre langue, & l’étymologie autumnus qui est du masculin. La terminaison par un e muet ne prouve rien en faveur du genre ; car verre, tonnerre, &c. & une infinité d’autres, sont masculins, quoique terminés par un e muet.

En général, c’est sur-tout où nous en voulions venir, il faut distinguer dans les langues l’usage absolument établi, de celui qui ne l’est pas encore, & qui veut, pour ainsi dire, s’établir. On doit absolument se soûmettre au premier ; à l’égard du second, on doit s’y opposer quand il n’est pas raisonnable. Si nos peres avoient suivi cette maxime, ils n’auroient pas laissé vieillir une infinité de mots & de constructions énergiques, dont nous regrettons aujourd’hui la perte.

Dans l’article Algebre, ligne 15, au lieu d’avec lis. contre. A la fin du même article, ajoûtez : Cet article traduit en partie de Chambers, mais corrigé & fort augmenté, a été tiré par cet auteur du Lexique mathématique de Harris, un des ouvrages qui ont été annoncés dans le Prospectus comme ayant servi à la composition de l’Encyclopédie.

A la fin de l’article Ame, p. 340, immédiatement avant la lettre (X) ajoûtez : Une partie de cet article a été tirée d’un Traité de M. Jacquelot sur l’existence de Dieu.

Ame, en Lutherie, est un petit morceau de bois placé droit près du chevalet, entre les deux tables des instrumens à archet. Le son de ces instrumens dépend en partie de la position de l’ame.

A la fin de l’article Amitié, ajoûtez : Voyez le Traité de la Soc. civile du P. Buffier.

A la fin de l’article An, ajoûtez : Cet article traduit de Chambers, & augmenté, a été tiré par l’auteur Anglois des élémens de Chronologie de M. Wolf.

A la fin de l’article Ana, ajoûtez :

Ana, (Littérature.) on appelle ainsi des recueils des pensées, des discours familiers, & de quelques petits opuscules d’un homme de lettres, faits de son vivant par lui-même, ou plus souvent après sa mort par ses amis. Tels sont le Menagiana, le Bolœana, &c. & une infinité d’autres. On trouve dans les Mémoires de Littérature de M. l’abbé d’Artigny, tome I. un article curieux sur les livres en ana, auquel nous renvoyons : tout ce que nous croyons à propos d’observer, c’est que la plûpart de ces ouvrages contiennent peu de bon, assez de médiocre, & beaucoup de mauvais ; que plusieurs deshonorent la mémoire des hommes célebres à qui ils semblent consacrés, & dont ils nous dévoilent les petitesses, les puérilités, & les momens foibles ; qu’en un mot, selon l’expression de M. de Voltaire, on les doit, pour la plûpart, à ces éditeurs qui vivent des sottises des morts.

Dans l’article Analogie, les deux premiers alinea & les deux derniers sont de M. du Marsais.

A la fin de l’article Anatomie, ajoûtez : La chronologie des Anatomistes qu’on trouve dans cet article, plus exacte & plus complette que celle du dictionnaire de Medecine de M. James, a été faite d’après un mémoire communiqué par l’un des plus savans & des plus respectables Medecins de l’Europe.

A l’article Antipodes, p. 513, lig. 50, après ces mots, du côté du fait, ajoûtez : Je dois avertir au reste que, selon plusieurs auteurs, ce Virgile n’étoit que prêtre, au moins dans le tems de cette affaire, & qu’il n’a été évêque de Saltzbourg que depuis ; que selon d’autres enfin, il n’a jamais été évêque ; question très-peu importante dans le cas dont il s’agit.

Je suis fort étonné, &c.

A l’article Approches, p. 558, col. 1, ligne 23, au lieu de serpe, lis. sape.

A l’article Approximation, p. 559, col. 1, ligne 22, au lieu de , lis. .

A l’article Arabes, on a écrit par mégarde en deux ou trois endroits Islamime pour l’Islamisme, qui est la même chose que le Mahométisme.

A l’article Arcade, en Jardinage, lig. 16, au lieu de fendues, lis. formées.

A l’article Architecte, p. 616, col. 2, lig. 21, au lieu de Desbrosses, lis. de Brosse.

Ibid. lig. 24, après ces mots du Val-de-Grace, ajoûtez du Palais-royal.

A l’article Architecture, p. 618, col. 1, ligne 47, au lieu de Cambray, lis. Chambray.

Dans la même page, col. 2, lig. 1, au lieu de ces mots dont nous avons un excellent traité du Jardinage, mettez qui a dessiné les planches de l’excellent traité du Jardinage de M. d’Argenville, dont il est parlé dans le Discours Préliminaire, p. xlij.

A la fin d’Aristotélisme, ajoûtez : L’auteur a cru pouvoir semer ici quelques morceaux de l’ouvrage de M. Deslandes, qui font environ la dixieme partie de ce long article ; le reste est un extrait substantiel & raisonné de l’histoire Latine de la philosophie de Brucker ; ouvrage moderne, estime des étrangers, peu connu en France, & dont on a fait beaucoup d’usage pour la partie philosophique de l’Encyclopédie, comme dans l’article Arabes, & dans un très-grand nombre d’autres.

A l’article Arithmétique universelle, page 676, col. 2, lig. 57 ; & p. 677, col. 1, lig. 12, on a mis par mégarde 40 au lieu de 60, comme la suite du discours le montre.

A l’article Arme, p. 689, lig. 11, col. 2, à compter d’en-bas, au lieu de Lerngei, lis. Langey.

A l’article Astronomie, p. 784, lig. 53, au lieu d’Achilles Statius, lis. Achilles Tatius, comme il est écrit plus bas, p. 787, col. 2, vers la fin.

A la fin de l’article Audace, ajoûtez : Nous disons avec raison qu’audace se prend toûjours en mauvaise part : en vain nous objecteroit-on qu’on dit quelquefois une noble audace ; il est évident qu’alors l’épithete noble détermine audace à être pris dans un sens favorable ; mais cela ne prouve pas que le mot audace, quand il est seul, se prenne en bonne part. Il n’est presque point de mot dans la langue, qui ne se puisse prendre en bonne part, quand on y joint une épithete convenable : ainsi Flechier a dit une prudente témérité, en parlant de M. de Turenne. Cependant un écrivain aura raison quand il dira que le terme de témérité, & une infinité d’autres, se prennent toûjours en mauvaise part. Il est évident qu’il s’agit ici de ces termes pris tout seuls, & sans aucune épithete favorable nécessaire pour changer l’idée naturelle que nous y attachons.

A la fin de l’article Augustiniens, on lit ; ce système approche fort du Thomisme, pour l’état de nature innocente, & du Molinisme, pour l’état de nature tombée : les mots Molinisme & Thomisme sont ici visiblement transposés.

N. B. Un mal entendu, qui n’aura pas lieu dans ce volume & dans les suivans, est cause que dans le premier volume la lettre de M. l’abbé Yvon se trouve aux articles Agir, Amitié, Amour, Adultere, Action, qui ont été fournis par une autre personne. Au reste les éloges qu’on a donnés dans le Discours Préliminaire aux différens auteurs de l’Encyclopédie, supposent que les articles qui portent leur nom, dont par conséquent ils répondent seuls, & qu’on a dû croire leur appartenir, soient en effet à eux. Le travail des éditeurs, comme éditeurs, consiste uniquement à réunir & à publier l’ouvrage des autres avec le leur : mais ils n’ont jamais prétendu s’engager, ni à réformer les articles faits par d’autres, ni à remonter aux sources d’où l’on a pû les tirer.

Dans l’Errata du tome 3[modifier]

ERRATA pour les deux premiers Volumes.



On nous a communiqué beaucoup de remarques sur les deux premiers Volumes, outre celles que nous avons faites nous-mêmes. Ces remarques ont rapport, ou à des articles omis, ou à des méprises, ou à des fautes d’impression. Nous placerons ici les principales, avec quelques observations importantes ; nous réserverons les autres pour une espece de supplément que nous pourrons donner à la fin de l’Ouvrage, & où il sera plus commode de trouver toutes les corrections rassemblées, que de les avoir dispersées dans plusieurs Volumes.

A la fin de l’article Agir, ajoûtez : Nous avons loué & nous croyons avoir eu raison de louer cet article. Dans un libelle publié contre nous en Décembre 1751, on met la métaphysique de cet article au-dessous de celle de Jean Scot ; & dans le journal de Trévoux de Janvier 1752, on loue beaucoup cette même métaphysique : c’est ainsi que les critiques s’accordent. Mais le premier ignoroit que l’article Agir est tiré du P. Bussier son confrere, & l’autre le savoit.

A la fin de l’article Aius Locutius, ajoûtez : Si ce que nous disons dans cet article ne paroît pas exact, & blesse quelques personnes, quoique ce ne soit pas notre intention, nous les renvoyons à l’article Casuiste, où notre pensée est expliquée d’une maniere qui doit satisfaire tout le monde.

Article Amour des Sciences & des Arts, p. 368. col. 2. lig. 41. Les mots ne peuvent qui se trouvent dans cet article, ont scandalisé quelques personnes ; c’est pour cela que l’on y a substitué les mots ne veulent. Nous prions cependant de faire attention que les mots ne pouvoir se prennent souvent, non dans le sens d’une impossibilité absolue, mais d’une puissance qui n’est jamais réduite à l’acte. C’est dans ce sens que Mardochée a dit : Il n’y a personne, Seigneur, qui puisse résister à votre volonté, c’est-à-dire jamais personne n’y résiste, quoiqu’on puisse y résister, parce qu’on est libre. Ainsi l’auteur avoit en vûe un sens très-orthodoxe, lorsqu’il a avancé cette proposition. Mais ce qu’il nous importe sur-tout de remarquer, c’est que cet article sur l’amour des Sciences & des Arts, & beaucoup d’autres endroits de l’article Amour, sont tirés du livre de M. de Vauvenargues qui a pour titre, Introduction à la connoissance de l’Esprit humain. Paris 1746, avec approbation & privilége du Roi. Le passage dont il s’agit se trouve mot pour mot dans ce livre à la page 60 ; le journaliste de Trévoux qui a rendu un compte très-détaillé du livre de M. de Vauvenargues en Janvier 1747, dit que l’auteur honore par-tout la Religion & la vertu ; ce mot par-tout suppose qu’il a lû attentivement l’ouvrage. Ce même passage lui a paru scandaleux dans l’Encyclopédie en Février 1752. C’est bien ici qu’il étoit nécessaire que l’auteur de l’article Amour indiquât les sources où il avoit puisé.

Article Annuité, après le mot parvenir, p. 486. col. 1. lig. 7. ajoûtez : Quand je dis qu’il n’y a point de méthode directe pour résoudre ce problème, je parle seulement en général de tous ceux où l’inconnue se trouve en exposant, & où l’équation a plusieurs termes : mais il y a des cas particuliers où on peut en venir à bout par les logarithmes. Par exemple, dans ce cas on écrira ainsi l’équation  ; d’où l’on tire  ; n, dès qu’on connoîtra a, b, .

Article Armée royale, pag. 694. 2. col. lig. 27. au lieu de ordinairement, lisez quelquefois.

A la fin de l’article Arundel, ajoûtez : Thomas Arundel maréchal d’Angleterre, a fait apporter du Levant les marbres qu’on appelle d’Arundel, & qui sont connus de tous les savans. Ils contiennent les principales époques de l’histoire des Athéniens.

A la fin de l’article Autorité, ajoûtez : L’ouvrage Anglois d’où on a prétendu que cet article avoit été tiré, n’a jamais été ni lu, ni vû, ni connu par l’auteur. Au reste il est bon d’expliquer notre pensée. Nous n’avons jamais prétendu que l’autorité des princes légitimes ne vînt point de Dieu, nous avons seulement voulu la distinguer de celle des usurpateurs qui enlevent la couronne aux princes légitimes, à qui les peuples sont toûjours obligés d’obéir, même dans leur disgrace, parce que l’autorité des princes légitimes vient de Dieu, & que celle des usurpateurs est un mal qu’il permet. Le signe que l’autorité vient de Dieu est le consentement des peuples, c’est ce consentement irrévocable qui a assûré la couronne à Hugues Capet & à sa postérité. En un mot, nous n’avons prétendu dans notre article Autorité que commenter & développer ce passage, tiré d’un ouvrage imprimé par ordre de Louis XIV. & qui a pour titre, Traité des droits de la Reine sur différens états de la monarchie d’Espagne, part. I. p. 169. édit. de 1667 in-12. « Que la loi fondamentale de l’état forme une liaison réciproque & éternelle entre le prince & ses descendans, d’une part, & les sujets & leurs descendans, de l’autre, par une espece de contrat qui destine le souverain à regner & les peuples à obéir... Engagement solennel dans lequel ils se sont donnés les uns aux autres pour s’entr’aider mutuellement ».

Dans l’Errata du tome 5[modifier]

N. B. On attribue, page 90 du 1er Volume, à M. l’abbé Desfontaines des observations sur l’accroissement & le décroissement alternatif & journalier de la taille humaine : c’est une faute d’impression considérable. Ces observations viennent de M. l’abbé de Fontenu, Pensionnaire de l’académie des Belles-Lettres. Il lut à son académie une dissertation sur ce sujet en 1725 ; sa dissertation ayant été communiquée & lue à l’académie des Sciences, elle l’approuva, & M. de Fontenelle en donna un extrait dans le tome de 1725 des ouvrages de cette académie.

Dans l’Errata du tome 7[modifier]


Errata pour le premier Volume.

Page 249. col. 1. lig. 10. Geher, lis. Geber. Ibid. lig. 9. à compter d’en-bas, Beker, lis. Beccher.

Pag. 640. col. 1. lig. 4. à compter d’en-bas, Misprekel, lis. Mispickel.

Pag. 641. col. 1. lig. 20. à compter d’en-bas, ordinaire, ajoûtez de nitre.

Pour le tome 2[modifier]

Dans l’Errata du tome 2[modifier]

A L’article Baguette divinatoire, ligne antépenultieme, au lieu de Rhabdomancie, lisez Abaris.

A l’article Ballet, ligne 5. à compter d’en-bas, au lieu de en Grece, lisez à Rome.

A l’article Barriere, Traité de la Politique, lisez Barriere (Traité de la) en Politique.

L’article Bec-de-Corbin est défectueux, en ce que les gentilshommes de ce nom ne subsistent plus.

A l’article Bourre (rouge de) ligne 5. au lieu de acide, lisez alkali.

A l’article Boussole, à la fin, ajoûtez, qui les a tirés du spectacle de la nature, tom. 4.

A l’article Brachygraphie, ligne derniere, au lieu de Mabillon, lisez Massillon.

A l’article Broc, ligne 2. au lieu de Mazoire, lisez Mazovie.

A l’article Cadran, pag. 518. col. 1. ligne derniere, au lieu de Bion, lisez Bion, description des instrumens de Mathématique.

A l’article C, au lieu de Canisii, lisez Caninii ; il faut de même mettre Caninii pour Canisii dans un endroit de l’article Cas.

A l’article Cabale, vers la fin, immédiatement avant la lettre (C) ajoûtez ; cet article est extrait de l’histoire des Juifs de Basnage.

A l’article Camerlingue, ligne antépenultieme, au lieu de Alexandre, lisez Annibal ; ce Cardinal vient de mourir.

M. Daubenton nous a fait tenir l’Errata suivant des articles d’Histoire naturelle, qu’il n’a pû pousser que jusqu’à la page 622, parce que l’on n’a pû lui envoyer le reste des feuilles ; on en donnera la suite dans le troisieme Volume.

Page 33 col. 1 lig. 63 côtes, lisez côtés.
65 au commencement de la ligne, ajoûtez la queue.
73 2 69 Borbata, lisez Barbota.
71 gluant, lisez est gluant.
74 1 7 au lote, lisez à la lote.
182 2 16 les corps, lisez leur corps.
26 M. Barre, lisez M. Barrere.
186 1 1 la chair, lisez la couleur de chair.
187 2 46 Becharn, lisez Becharu.
196 2 48 courvrent, lisez courrent.
207 1 55 56 palette, lisez patelle.
294 2 23 au-dessus, lisez au-dessous.
367 2 61 a, lisez y a.
369 1 39 de même, lisez de même que.
387 2 52 le dessous du bec, &, lisez & le dessous du bec.
431 2 26 côtes, lisez côtés.
470 1 43 dans, lisez que dans.
471 1 15 & que les, lisez les.
503 1 29 six pouces, lisez six piés.
586 2 2 il a, lisez il y a.
622 2 10 des, lisez de.

Pag. 850, premiere col. ligne 40, il est plus facile, &c. lisez il est aussi.


Ce Volume a un peu moins de feuilles qu’on n’en a promis, pour que la lettre CH ne soit point coupée. Quelqu’un des Volumes suivans en aura davantage.

Il est facile de séparer dans ce Volume la lettre B de la lettre C ; on en usera de même dans tous les autres.

Les Libraires ont fait faire des doubles de chaque Dessein, pour ne point retarder la Gravûre.

Dans l’Errata du tome 3[modifier]

A l’article Baguette de tambour, p. 14. col. lig. 4. au lieu de leger, lisez pesant.

A l’article Bassins à plomb, p. 124. col. 1. lig. 24. lisez & l’on assûrera dessus ces murs les tables de plomb.

A l’article Batterie, pag. 149. 2 col. lig. 10. au lieu de pouces, lisez piés.

BERME ou RELAIS, (Hydraulique.) est une retraite de quatre à cinq piés qu’on laisse en-dehors entre le pié d’une jettée ou d’un rempart, & l’escarpe du fossé pour recevoir la terre qui s’éboule. Elle ne se pratique ordinairement que dans les ouvrages de terre. (K)

BUSES, (Hydrauliq.) dans une digue sont composées de gros arbres de dix-huit pouces de diametre, coupés par tronçons, sciés sur leur largeur, pour les creuser de cinq pouces de profondeur & de dix de largeur. On rejoint ces tronçons par entailles bien calfatées & goudronnées avec des chevilles de bois ; ce qui forme un corps ou conduite pour communiquer l’eau d’un réservoir supérieur dans une écluse, ou pour la jetter quand elle est superflue. (K)

A l’article Calcination, p. 543. col. 1. lig. 4. au lieu de blanchit : on purifie, lisez blanchit ou purifie.

Même article, p. 544. 2 col. lig. 24. effacez de.

Même article, lig. 40. les, lisez ces.

A l’article Calendrier, p. 553. 2. col. lig. 17. au lieu de d’automne, lisez de printems.

A l’article Cartésianisme, p. 725. col. 2. lig. 48. au lieu de admis, lisez rejetté.

A l’article Cas irréductible, lisez 27 par-tout où l’Imprimeur a mis 2y.

A l’article Cazimi, p. 795. col. 1. lig. dern. au lieu de 32, lisez 16.

Nous avons averti que le Dictionnaire de Trévoux est en grande partie copié du Furetiere de Basnage. Ainsi quand nous citerons dans la suite le Dictionnaire de Trévoux, c’est seulement parce que le nom de celui-ci est plus connu, & sans prétendre faire tort à l’autre qui a été son modele. Plusieurs des articles de l’Encyclopédie qu’on a prétendu être imités ou copiés du Trévoux, sont eux-mêmes imités ou copiés de Basnage. De ce dernier nombre sont entr’autres Armoiries, Abysme (Blason), Avocat (en partie), Amiral, &c. qu’on a particulierement relevés. Peras imposuit Jupiter nobis duas, &c.

Dans l’Errata du tome 7[modifier]


Errata pour le II. Volume.

Pag. 126. col. 2. lig. 14. à compter d’en-bas, cuive, lis. cuivre.

Pour le tome 3[modifier]

Dans l’Errata du tome 3[modifier]

ERRATA pour ce Troisieme Volume.

Page xv. colonne 1. ligne 15. au lieu de 1752, lisez 1751.

P. xvj. lig. 22. 23. 24. lis. ces trois lignes ainsi :  ; d’où l’on tire on aura donc n, dès qu’on connoîtra, &c.

P. 43. col. 2. lig. 15. au lieu de chamellage, lis. chambellage.

P. 47. col. 2. à la fin de l’article Chambre Apostoliquede l’Abbé de Ste Génevieve, au lieu de Corroret, lis. Corrozet.

P. 789. col. 2. lig. 16. au lieu de ces mots de l’Ordonnance, lis. prescrit par les coûtumes.

Ibid. lig. 24. au lieu de avec, lis. envers.

P. 794. col. 1, lig. 2. au lieu de du Contrôleur des restes, lis. de cet Officier.

Ibid. lig. 30. au lieu de Conseiller, lis. Conseiller-Auditeur.

Ibid. col. 2. lig. 39. au lieu de de maniement, lis. de son maniement.

Dans l’Errata du tome 4[modifier]

ERRATA pour le troisieme Volume.


L’Art. Chorée, page 367. est transposé, & doit être placé quelques articles plus bas, après Chordapsus.

Page 462. col. 2. lig. 20. au lieu de Metrius, lisez Metius.

Page 805. col. 1. lig. 7. à compter d’en-bas, au lieu de <, lis. >.

Art. Concile, page 808. col. 1. lig. 62. & page 810. col. 1. lig. 10. & page 816. col. 2. lig. 23. au lieu de M. Bignon, lisez M. Bini.

Dans le même art. page 817. col. 1. lig. 66. au lieu de ellesiæ, lis. ecclesiæ.

Page 878. col. 1. lig. 46. au lieu de + D u u, lis. − D u u.

Ibid. col. 2. lig. 6. à compter d’en-bas, au lieu de hyperbole, lis. hypothèse.

Page 884. col. 2. lig. 1. au lieu de par, lis. pour.

M. d’Aumont nous a envoyé l’errata suivant de ses articles imprimés dans le troisieme volume. Nous prions nos collegues de vouloir bien en faire autant pour leurs articles ; & nous prions en même tems ceux qui nous fourniront des articles à l’avenir, d’avoir soin que leurs manuscrits soient lisibles, principalement lorsqu’il y aura des noms propres, & que la ponctuation y soit exacte, dans les endroits où le sens seroit nécessairement équivoque.

Article Coction, page 564. col. lig. 10. les sucs nourriciers sont altérés, lis. attirés.

Ibid. lig. 14. ils établissoient trois sortes de concrétions, lis. concoctions.

Ibid. lig. 67. que plusieurs maladies se déterminoient, lis. se terminoient.

Page 565. col. 1. lig. 14. qu’ils avoient nommés, lis. nommée.

Ibid. col. 2. lig. 70. où elle ne cede souvent même qu’en partie aux grands efforts, retranchez le que, substituez-lui le mot seulement ; & après les mots en partie, lis. qu’aux grands efforts. Ouvrez une parenthèse avant les mots & souvent, & fermez-la après les mots en partie.

Page 566. col. 2. lig. 62. au lieu de mais ni l’un ni l’autre, lis. cependant ni l’un ni l’autre.

Ibid. lig. 72. Peger, lis. Peyer.

Page 569. col. 1. lig. 10. élaboration, lis. évacuation.

Article Colliquation, page 641. col. 2. lig. 17. des organes rendus délicats, &c. lis. des corps.

M. Venel nous a. envoyé aussi l’errata suivant.

Art. Charbon, page 189. col. 1. lig. 47. soufre, des métaux lis. soufre des métaux sans virgule.

Art. Chapiteau, page 180. col. 1. lig. 5. le paroi, lis. la paroi.

Article Chimie, page 409. col. 1. lig. 20. après Créateur mettez une virgule ; lig. 48 au lieu du point ; mettez un point & une virgule ;

Page 415. col. 2. lig. 3. à compter d’en-bas, au lieu de dissolution, lis. précipitation.

Page 416. col. 2. lig. 11. au lieu de ces derniers, lis. ce dernier.

Page 419. col. 1. lig. 39. au lieu de ; mettez une virgule ; & lig. suivante, au lieu de la virgule, mettez ;

Page 422. lig. 40. col. 2. porte, lis. portent.

Page 431. col. 2. lig. 7. claires, lis. clairs.

Ibid. lig. 17. à compter d’en-bas, au lieu de lui, lis. leur.

Page 433. col. 2. lig. 33. &, lis. ou.

Page 434. col. 1. lig. 42 & 43. au lieu de pour, lis. par ; & au lieu de par, lis. pour.

Ibid. col. 2. lig. 34. lis. proscription, chez plusieurs nations cultivant, &c.

Ibid. lig. 53. lis. du dogme chimique ; de cette chimie.

Page 437. col. 2. lig. 16 & 17. lis. élémentaire & premiere ; ce n’est pas dans des livres qu’on peut prendre des commencemens de Chimie ;

Article Citron, page 492. lig. 18. col. 1. suc, lis. sucre.

Art. Coma, larus, lis. carus.

Page 36. col. 1. lig. 38. Stales, lis. Hales.

Page 846. col. 2. lig. 58. la qualité qui sert, lis. la qualité de l’excipient qui sert.

Ibid. lig. 61. les roses rouges ou cordiales, tels sont, lis. les roses rouges ; ou cordiale, tels sont.

Ibid. lig. 68. yeux d’écrevisses, la corne de cerf, lis. yeux d’écrevisses : la corne de cerf.

Page. 847. col. 1. lig. 5. retranché lis. retranchées

Ibid. col. 2. lig. 22. & elle est un ingrédient, lis. & elle en est, &c.

Dans l’Errata du tome 5[modifier]

Article Chaleur, page 31. col. 2. lig. 9. enfermez entre deux parenthèses les expressions suivantes (expression peu exacte dans ce sens, qui n’est pas celui que lui donnoient les anciens).

Même art. pag. 32. col. 2. lig. 47. des explications de la saine théorie, lisez des explications, de la saine théorie.

Même art. p. 33. col. 1. lig. 49. effacez le guillemet.

Article Chaud, (Docimasie.) pag. 252. col. 2. lig. 49. dorer chaud, lis. donner chaud.

Art. Chymie, pag. 430. col. 1. lig. 43. la mort de Roger Bacon est mise en 1392, lis. 1292.

Art. Chymie, pag. 435. col. 2. lig. 45. effacez ces mots, de la derniere partie.

Pag. 491. col. 2. lig. 61. au lieu de Citronnier, lis. CITRON, subst. m. (Chymie, Diete, Mat. méd. Pharm.)

Art. Ciment, retranchez les deux derniers alinéa, & renvoyez à Cément.

Artic. Clématite, pag. 521. col. 1. au lieu de ce titre, Plantes vivaces, lis. de suite à la ligne précédente, des autres plantes vivaces.

Art. Coagulation, pag. 555. col. 1. lig. 7. délayées par les alcalis, lis. délayées, par les alcalis.

Les art. Composé & Composition, (Chimie.) ont été omis ; on les expliquera à l’article Mixte & Mixtion.

Dans l’Errata du tome 6[modifier]

Page 189. col. 1. lig. 47. article Charbon, l’ivoire ordinaire des boutiques, lisez l’ivoire brûlé des boutiques.

Pour le tome 4[modifier]

Dans l’Errata du tome 4[modifier]

ERRATA pour le quatrieme volume.


Page 59. col. 1. lig. 13. les deux premiers mots de cette ligne doivent être placés au commencement de la suivante.

Page 93. col. 2. lig. 27. au lieu de c, lis. c x.

A la fin de l’art. Contingence, p. 114. col. 2. mettez un (O)

Page 165. col. 1. entre les lig. 40 & 41. ajoûtez : on suppose dans les deux propositions précédentes, que la surface qui sépare les deux milieux, est plane.

Page 173. col. 2. lig. 36. après Héraclides, ôtez la virgule.

Page 214. col. 2. lig. 51. au lieu des deux points, mettez une virgule.

Page 263. col. 1. lig. 18. à compter d’en-bas, au lieu de sur, lis. de.

Page 264. col. 1. lig. 2. au lieu de Baghis, lis. Baglivi.

Page 297. col. 1. lig. 25. au lieu de prononcée, lis. prononcé.

A la fin de l’article Cosmologie, ajoûtez : Depuis l’impression de cet article, nous avons recu le volume des mémoires de l’académie des Sciences de Prusse pour l’année 1752. M. de Maupertuis a répondu dans ce volume aux objections de M. d’Arcy ; & il faut joindre sa nouvelle dissertation à celles dont nous avons fait mention.

Article Coup-foudroyant, page 342. col. 1. lig. 65. les mots extérieure & intérieure sont transposés ; au lieu de sa surface intérieure, lis. de sa surface extérieure, &c.

Ibid. col. 2. lig. 32. au lieu de il fait voir, lis. & fait voir.

Ibid. lig. 52. au lieu de communication lisez par communication.

Page 343. col. 2. ligne 38. au lieu de cylindres de verre lis. de vases cylindriques de verre.

Ibid. lig. 52. au lieu de l’on reçoive, lis. l’un recoive.

Page 345. col. 1. lig. 41. au lieu de qui la font lis. qui la reçoivent.

Page 359. col. 1. lig. 12. au lieu de Mons, lis. Mons.

Page 381. col. 2. lig. 27. au lieu de lis.

Page 388. col. 1. lig. 9. au lieu de quadratice, lis. quadratrice.

Page 389. col. 1. lig. 46. au lieu de générale, lisez quarrable.

Page 401. col. 1. lig. 6. à compter d’en-bas, au lieu de qu’elles, lis. qu’ils.

Page 441. col. 1. lig. 18. au lieu de parfait, lis. parfaite.

Page 530. col. 2. lig. 38. au lieu de , lis. .

Page 599. col. 1. lig. 26. au lieu de Demetrius, lis. Œnomaüs.

P. 669. col. 2. lig. 10. au lieu de 10000 lis. 100000.

Page 701. col. 1. lig 41. au lieu de devient, lis. dément.

Ibid. lig. 55. au lieu de une lis. un.

Ibid. lig. 62. au lieu de se voit, lis. seroit.

Page 734. col. 1. lig. 8. après x = 0, ajoûtez y.

Page 824. col. 1. lig. 37. au lieu de (a), lis. (d).

Article Dentelé, lig. 5, au lieu de Dentelet, lis. Dentelé.

A la fin de l’article Diastole, ajoût. le mémoire de M. de la Mure dont il est parlé dans cet article, a été imprimé en 1754 à la fin des mémoires de 1749 de l’académie des Sciences.

A la fin de l’article Diane, (Mythologie.) au lieu d’Eratoraste, lis. Eratostrate.

Page 933. col. 1. lig. 26. à compter d’en-bas, au lieu de s’anéantit, lis. devient leur différence.

Page 965. col. 1. lig. 26. au lieu de à quoi un, lis. qu’un.

Page 987. col. 1. lig. 39. au lieu de ddy, lis. d d x.

Ibid. col. 2. lig. 27. effacez ou.

Dans l’Errata du tome 5[modifier]

Page 184. col. 1. lig. 48. Coquillage, (Mat. méd.) lis. (Diete.)

Art. Corail, p. 196. col. 2. lign. 22. de l’acide, du vinaigre, effacez la virgule.

Pag. 252. col. 1. lig. 9. à compter d’en-bas, après Calmar, ajoûtez & Coquille.

Pag. 254. col. 2. lig. 23. au lieu de vilité, lis. virilité.

Pag. 269. à la fin de l’article Corps, ajoût. Corps de Refend, (Architect.) Voyez Refend.

Pag. 272. col. 1. lig. 25. capables, lis. capable.

Ibid. col. 2. alin. dern. lig. 3. son moyen, lisez ce moyen.

Pag. 298. au lieu de Costumé, lisez Costume sans accent, & de même dans tous les autres endroits de ce volume, où l’on aura écrit costumé.

Art. Coupelle, pag. 349. col. 2. à la fin du second alin. mettez (Schlutter publié par M. Hellot).

Dans l’art. Cretonne, (Toile.) pag. 459. col. 1. on dit qu’elles sont de chanvre & de lin.

On écrit de Lizieux, où ces toiles se fabriquent, que c’est une faute très-grande, que ces toiles sont toutes de lin, que ce seroit un moyen sûr de faire des toiles détestables de les mêler de chanvre & de lin ; d’ailleurs ce mélange de matieres est prohibé par le réglement à ce sujet du 14 Janvier 1738.

Pag. 682. col. 2. lig. 12. à compter d’en-bas, au lieu de roi, lis. Dieu.

Pag. 704. col. 1. lig. 30. au lieu de greffes, lis. griffes.

Ibid. lig. 44. au lieu de campanules, lis. campanelles.

Pag. 706. col. 2. lig. 69. au lieu de ses, lis. les.

Art. Decretales (fausses), page 721, col. 2. lig. 63 & 64. au lieu de écrite au roi Thibaud en l’an 744, lis. écrite l’an 744 à Ethelbalde, roi des Merciens en Angleterre.

Pag. 744. col. 2. lig. 7. défiler de suite, lis. défiler de l’aîle.

Ibid. lig. 12. par marche ou quart de marche, lis. par manche ou quart de manche.

Pag. 820. avant Démolir, ajoût. Demoiselle, terme de Paveur. Voyez Paveur.

Pag. 826. col. 2. sous l’article Denier-César, on renvoye au mot Fonlieu, lis. & voyez Tonlieu.

Diacrese, (Chimie.) a été omis. Voyez au mot Séparation.

A la fin de l’art. Diete, au lieu de (b), mettez (d).

Page 1008. c. 1. l. 18. bienséance, lis. bienfaisance.

Pag. 1048. ajoûtez,

Dissolution, (terme de Morale.) signifie débauche excessive. On entend assez que ce mot emporte l’oubli de toute retenue. Il s’employe particulierement pour exprimer la fréquentation des femmes prostituées. On dit aussi que le carnaval est un tems de dissolution. Nous avons entendu plus d’une fois nos prédicateurs appeller les spectacles des lieux de dissolution ; c’est peut-être user de trop de sévérité envers quelques-uns d’entr’eux.

Pag. 1074. col. 1. avant la derniere ligne ajoûtez : Il y a des fractions telles que , , &c. dont le numérateur est un nombre premier, & se divise exactement par le dénominateur ; mais comme elles se réduisent à une fraction dont le numérateur est l’unité, il est aisé de voir qu’il ne s’agit point ici de ces fractions, & que la démonstration précédente n’en subsiste pas moins. Voyez Fraction.

Art. Diurétique, pag. 1085. col. 1. lig. 43-44. au lieu de évacuée à la rigueur ; ce ne seroit, lis. évacuée ; à la rigueur ce ne seroit.


ERRATA du Quatrieme Volume, pour les Articles fournis par M. d’Aumont.


Consultation, (Méd.) pag. 109. col. 1. lig. 39. Article de M. Bouillet fils, lis. de M. d’Aumont.

Crudité, (Med.) pag. 520. col. 2. lig. 14. prise dans ce sens, lisez prise dans l’un & l’autre sens.

Débilité, pag. 650. col. 2. après ce premier mot, au lieu de (Med.) lis. (Maladie.)

Ibid. col. 2. lig. 3. les causes de cet empêchement, lis. de ces empêchemens.

Ibid. lig. 47, qui excite, lis. qu’excite.

Ibid. lig. 61. de la secrétion, lisez à la secrétion.

Déglutition, (Pathol.) pag. 756. col. 1. lig. 9. & 11. effacez les lignes qui sont entre les deux parenthèses.

Ibid. lig. 47. Bornius, lis. Bohnius.

Dégoût, pag. 756. col. 2. lig. 40. fin canine, lis. faim. (Maladie.)

Ibid. lig. 57. 58. 61. au lieu d’une virgule devant les mots à cause, placez, pour le sens, un point & une virgule.

Ibid. pag. 757. col. 1. lig. 15. après les mots, de même nature, ajoûtez que ceux dont on vient de faire mention.

Déjection, pag. 770. col. 2. lig. 31. la virgule qui est placée avant le mot sur-tout, doit être placée avec un point après ce mot.

Délire, pag. 788. col. 1. lig. 51. de sa guérison, lisez de la curation.

Dents, sous cet article, il a été omis de traiter des maladies des dents ; ainsi il faut faire la correction suivante. Pag. 840. col. 1. lig. 34. effacez ces mots : après avoir traité des différentes affections des dents en particulier, lis. à la place, Dents, (Séméiotique.) Il est à propos, &c.

Dentition, pag. 849. col. 1. lig. 42. s’il a des convulsions, lisez s’il y a des convulsions.

Diabetes, pag. 926. col. 1. lig. 63. des urines claires & dans l’autre des urines épaisses, substituez les deux adjectifs l’un à la place de l’autre.

Ibid. lig. 65 & suiv. Il a voulu sans doute parler du diabete de la derniere espece, qui est suivi de consomption ; car celui de la premiere est assez commun ; mettez les adjectifs derniere & premiere l’un à la place de l’autre : cette correction est nécessaire pour le sens de ce qui suit, col. 2. lig. 23.

Ibid. pag. 927. col. 1. lig. 8. le diabete de la premiere espece, lis. de la seconde espece.

Ibid. ligne 24. de la premiere espece, lisez encore de la seconde espece.

Diarrhée, page 947. colonne 1. ligne 54. des abris rompus, lisez : des abcès rompus, versés.

Ibid. pag. 949. col. 1. lig. 61. dans le reglement, lis. dans le déreglement.

Ibid. col. 2. lig. 1. au lieu de : Et dans les prénotions il dit dans les coaques, lisez & dans les prénotions. Il dit dans les coaques, &c.

Ibid. lig. 40. aussi le trop d’embonpoint peut-il être corrigé par la purgation du ventre. Cette phrase est déplacée ; elle doit être mise après les mots, du suc nourricier même qui suit le torrent.

Diastole, pag. 951. col. 2. lig. 6. à compter de bas en haut, car un concert de causes, lis. car un concours de causes.

Ibid. pag. 952. col. 2. lig. 28. est donc ainsi, lis. est donc aussi.

Ibid. lig. 36. l’alinéa doit commencer par ces mots, Diastole du cerveau.

Ibid. pag. 953. col. 1. lig. 28. le précis qu’a établi, lis. le précis de ce qu’a établi.

Ibid. lig. 61. sur les trous veineux, lis. sur les troncs veineux.

Ibid. lig. 8. de bas en haut, qui résiste à son expression, lisez à son expulsion.

Ib. col. 2. l. 15. lis. encore, troncs au lieu de trous.

Ibid. lig. 54. placez la parenthèse fermée après le mot difficiles, & effacez celle qui est après le mot fortement.

Ibid. lig. 10. de bas en haut, lis. pas au lieu de point.

Digesteur, à la fin de l’article, pag. 998. col. 2. lisez (b), qui est la marque distinctive de M. Venel, au lieu du (d), qui est celle de M. d’Aumont.

Dans l’Errata du tome 6[modifier]

Pag. col. lig.
176 2 29 au mot Copie, (Commerce.) qu’ils reçoivent de, lis. qu’ils écrivent à.
258 2 18 au mot Cornue, qui est recouverte, lis. qui n’est point recouverte.
296 2 6 l’imitation, lis. limitation.
Voyez aussi sur ce mot Cosmologie, & l’article Force dans le VII. vol.
696 1 37 mutation, lis. nutation.
763 1 7 au lieu de 56925, lis. 57183, & voyez l’art. Figure de la Terre, t. VI.
803 2 3 se dit seulement, lis. seulement se dit.
874 1 60 à l’art. Descensum, expliqué dans cet article, lisez expliqué dans l’article Creuset.
876 1 2 au lieu de 7. 25. lis. 715.
928 2 14 à l’article Diabotanum, cyque, lisez ciguë.
951 1 50 à la fin de l’article Diascordium, mettez un (b)
998 2 48 à la fin de l’article Digesteur, ôtez la lettre (d)
1003 1 15 acidules, lisez acidules salées.
1085 1 39 les humeurs & cette excrétion, lisez les humeurs à cette excrétion.

Dans l’Errata du tome 7[modifier]


Errata pour le IV. Volume.

Page 459. col. 2. lig. 16. à compter d’en-bas, au mot Creuser, & portées éclairées, lisez & parties éclairées.

Pag. 865. col. 1. au bas, avant le mot DÉPOUILLES, spolia, ajoûtez cet article.

Dépouille, (Gravure en bois). Taillé, ou gravé en dépouille, se dit d’une chose qui va en augmentant vers le fond de l’ouvrage, le talon, ou le manche ; ce qui est particulierement en usage chez les Gainiers, & nécessaire à la Gravure en bois & la Ciselure, faites pour mouler de la pâte, de la cire, du beurre, & la terre ou le sable dans lesquels les Fondeurs jettent le métal, &c. pour en faire certains ouvrages, comme fers à dorer les livres, moules & enveloppes de cartes, timbres à papier, &c. sur quoi il y a quelques observations à faire sur l’exécution de cette sorte de gravure & de ciselure, entre celles faites pour imprimer la pâte, la cire, &c. & celles faites par les fers à dorer, moules, & timbres. Voy. Gravure en bois matte & de fortes tailles. Cet article est de M. Papillon.

Pour le tome 5[modifier]

Dans l’Errata du tome 5[modifier]

Page v. de l’Avertissement, lig. 18. en remontant, au lieu de auxquelles, lis. auxquels.

Page 10. col. 1. article Dodecagone, lig. 7. au lieu de on voit, lis. on sait.

Pag. 19. col. 2. lig. 2. au lieu de enfin don, lis. enfin dom.

Pag. 67. col. 2. lig. 5. après Willughby, mettez un point.

Pag. 79. à la fin du mot Double fugue, mettez une (S)

Pag. 100. art. Dracontique, lig. 4. effacez de cette constellation.

Page 222. colonne 2. lig. 32. au lieu de ayant, lis. avoit.

Pag. 283. col. 1. lig. 25. à compter d’en-bas, après Godefroid, ôtez la virgule.

Pag. 284. col. 2. lig. 44 & 45. la perte de la tranquillité de cet homme né sensible, ôtez de cet homme né sensible, & lis. la perte de la tranquillité, ce bien si précieux à tout homme, &c.

Page 293. colon. 2. ligne 15. au lieu de qu’ils, lisez qu’elles.

Pag. 296. col. 1. lig. 38. effacez périgée.

Pag. 334. col. 1. lig. 9. au lieu de deux, lis. trois.

Pag. 338. col. 1. lig. 44. article Economie, dix bons magistrats, lis. dix hommes capables de gouverner leurs semblables.

Ibid. col. 2. lig. 34 & 35. lisez ainsi ces deux lignes : Il est important de remarquer que cette regle de justice, sûre par rapport, &c.

Pag. 339. col. 1. lig. 2. à l’état, lis. à la grande.

Pag. 341. col. 1. lig. 15. en remontant, retirer, lis. ruiner.

Pag. 342. col. 2. lig. 33. en remontant, se montre, lis. se montre donc.

Pag. 344. col. 1. lig. 5. Voy. Education, effacez ce renvoi.

Même col. lig. 25. le, lis. ce.

Même col. lig. 33. en remontant, de plus, lisez de plus près.

Même page, col. 2. lig. 18. changez ainsi ces deux lig. pour une chose, se trouvant destinés pour une autre, ni ceux qui montent, &c.

Pag. 345. col. 1. lig. 10. soin, lis. besoin.

Pag. 346. col. 1. lig. 22. ne le vendoient jamais, ajoutez : Ce ne fut qu’au siége de Veies qu’on commença de payer l’infanterie romaine. Marius fut le, &c.

Ibid. lig. 24. légions romaines, effacez romaines.

Pag. 421. col. 1. lig. 31. au lieu de Pelisse, lisez Peluse.

Pag. 445. col. 1. lig. 27. au lieu de compacte, lisez compact.

Pag. 485. col. 2. lig. 19. au lieu de les maux, lisez les manes.

Pag. 498. col. 1. lig. 22. au lieu de consiste, lisez consistent.

Pag. 509. c. 1. l. 24 & 25. transposez les deux vers.

Page 517. colonne 2. ligne 6. lisez

Pag. 572. l’art. Emotion doit être placé à la page précédente, après l’art. Emonder.

Page 873. col. 2. lig. 29. au lieu de M, lis. m.

Dans l’Errata du tome 6[modifier]

Pag. col. lig.
8 1 66 s’acquert, lis. s’acquiert.
8 2 69 Botanique, lis. Matiere médicale.
53 2 66 ajoûtez Dorade, (Constellat.) Voyez Xiphias, & les inst. astronomiq.
59 2 58 racine, lis. résine.
90 2 7 d’Angleterre, lis. de Londres.
100 1 59 afin d’en accélérer la fonte, lisez afin d’empêcher qu’il ne se détruise par la perte de son phlogistique qui se trouve par-là remplacé par celui du charbon. Le bois n’échauffe que peu & fort lentement le corps sur lequel il est posé.
103 2 40 grain, lisez dragme.
104 2 51 au lieu de Les dragons ont trois principaux officiers, qui sont le colonel général, le mestre de camp général, & le commissaire aussi général, lisez Les dragons ont deux principaux officiers, qui sont le colonel général & le mestre de camp général.
167 2 31 chime, lis. chyle.
188 2 8 dans l’article précédent, lis. dans l’article Eau, (Physique.)
190 2 14 alkali fixe de la soude, lis. de soude.
221 2 67 à la fin du mot Ecartement, M. de Villers, lis. M. de Villiers.
222 1 15 à la fin du mot Ecarter, (s’) M. de Villers, lis. M. de Villiers.
249 1 73 divisez a par b, lis. bn.
Ibid. 2 38 d=b, lis. d=6.
Ibid. 2 53 même correction.
270 2 1 de connoître la vérité, que de l’enseigner, lis. d’enseigner la vérité que de la connoître.
316 2 10 vingt-deux grands tableaux, lisez vingt-un grands, &c.
317 1 62 de Joughe, lis. de Jonghe.
320 2 26 On s’est trompé en disant que, le tombeau de Mignard est de Girardon. Il est entierement de M. le Moine fils, à l’exception du buste de Mignard qui est de Desjardins.
349 2 48 pliée, lis. pelée.
368 1 17 Socinianinisme, lis. Socinianisme.
372 2 56 Sinibaldo Seorza, lisez Sinibaldo Scorza.
373 1 51 cochlea mas, lis. cochlea femina.
396 1 44 au lieu des PP. Lallemant & Hardoüin, lis. les PP. Labbe & Hardoüin.
397 2 58 M. Bronzet, lisez M. Brouzet.
415 1 4 effacez plus de.
Ibid. 1 7 au lieu de le second, lis. le troisieme.
508 1 20 d’Eleusise, lis. d’Eleusine.
537 1 36 parce, ajoûtez que.
544 2 38 Voyez Verbe, lis. Voyez Verre.
571 1 60 mattera les arbres, lis. montera.
588 1 72 medecin chimique, lisez medecin clinique.
619 1 56 Ariane, lis. Oriane.
624 2 avant l’article Enclos, terme de Blason, mettez

ENCLOS, s. m. (Jardinage.) il se dit d’un terrein fermé de murs, qui n’est pas si vaste qu’un parc, & qui cependant est plus grand qu’un jardin.

625 1 13 avant qu’elle soit chargée, lis. quand elle est déchargée.
633 1 4 cinq especes de vitriol, lis. quatre.
Ibid. verso, col. 2. lig. 5. amalgamer, lis. mêler.
635 au verso, au haut de la colonne 2. au mot Encyclopédie, voyez le dernier art. de l’errata de ce Volume.
638 verso, col. 1. lig. 29. posséder a, effacez a.
672 1 32 article Enfer de Boyle, perse, lis. per se.
714 2 19 parlerons, lis. parlons.
722 2 34 on doûne, lis. on donne.
742 1 58 d’un jour, ajoûtez chaque mois.
765 1 11 Ornith. lis. Icthiol.
843 2 35 égale à 6, lis. égale à b.
878 & suiv. Léonard de Vincy, lis. Vinci.
931 1 60 fendre, lis. tondre.
933 1 8 100 pour 10, lis. 10 pour 100.
942 1 35 excès commis des personnes libres, lisez sur des personnes libres.
944 1 14 faites d × it, lis. d + it.
Ibid. 1 26 i = 5, lis. i = 3.
Ibid. 1 55 , lis. .
Ibid. 2 27 on ne connoît donc, supprimez donc.
955 2 66 Especes, Impresses, ôtez la virgule.
976 1 23 esprit volatil, de sel ammoniac, ôtez la virgule.
983 1 26 effacez par quelqu’endroit.
Ibid. 40 effacez ou Docimasie.
Ibid. 2 26 recevoit, lis. recéloit.
Ibid. 2 66 Gellest, lis. Gellert.
984 1 37 engard, lis. angard.
Ibid. 1 58 qu’adopte, lis. qu’adoptent.
Ibid. 2 61 proposa, lis. propose.
985 2 8 centre, lis. axe.


Pag. col. lig.
Ibid. 2 20 en-dessus, lis. en-dessous.
Ibid. 2 56 salées, on voit, lis. salées. On voit.
Ibid. 2 72 chûte, lis. suite.
992 1 24 cassation, lis. cessation.
993 1 25 raréfiant, lis. torréfiant.
1005 2 23 Estine, lis. Estive, (Marine.)
635 au verso, au haut de la colonne 2. au mot Encyclopédie, où contre notre intention, quelques personnes ont trouvé un sens louche : au lieu de ces mots, de la Théologie, de l’Histoire sacrée & des superstitions, lisez la Théologie, l’Histoire sacrée, & l’histoire des superstitions.
Pour le sixieme Volume.

Dans l’Errata du tome 7[modifier]


Errata pour les articles du V. Volume fournis par M. d’Aumont.

Douleur, pag. 84. col. 1. lig. 15. il compte, lis. il conste. Ibid. lig. 24. de douleur, lis. de la douleur. Pag. 85. col. 1. lig. 14. engagemens, lis. engorgemens.

Dracuncules, pag. 99. col. 1. lig. 34. in morbis, lis. de morbis. Ib. lig. 46. valetudinorium, lis. valetudinarium. Ibid. col. 2. lig. 25. Bermade, lis. Bermude.

Dureté, pag. 172. col. 2. lig. 36. des différens, lis. de différens.

Dyssenterie, pag. 177. col. 1. lig. 58. des matieres, lis. de matieres. Ibid. col. 2. lig. 8. à compter d’en-bas, jekoreuses, lis. ichoreuses. Pag. 179. col. 2. lig. 4. à compter d’en-bas, par ses forces : en raison inverse, ôtez les deux points après le mot forces, mettez seulement une virgule, & placez les deux points après le mot inverse. Pag. 180. col. 2. lig. 21. à compter d’en-bas, anoleptique, lis. analeptique.

Ecume, pag. 378. col. 2. lig. 37. l’anguine, lis. l’angine.

Effort, pag. 410. col. 1. lig. 6. de la naure, lis. de la nature.

Eléphantiase, pag. 504. col. 1. à la fin de l’article, Sevestus, lis. Forestus.

Embryon, pag. 561. col. 2. lig. 6. à compter d’en-bas, de hominis generali exercitatione, lis. (de hominis generatione exercitatio).

Emphysème, pag. 579. col. 2. lig. 41. & la vapeur, lis. & sa vapeur.

Emprostotonos, pag. 597. col. 2. lig. 5. Bartius, lis. Bontius. Ibid. lig. 20. Lazenne, lis. Lazerme.

Encephale, pag. 617. col. 1. lig. 42. il compte, lis. il conste. Ibid. lig. 48. hicugaritâ, lis. huncgaricâ. Lig. 52. il compte, lis. il conste.

Enchifrenement, pag. 622. col. 2. lig. 39. tissus, lis. issues. Lig. derniere, toûjours d’une cause externe, lis. toûjours l’effet d’une cause externe.

Enfance, pag. 652. col. 1. lig. 31. les plus tendres, lis. le plus tendre.

Enfant, pag. 658. col. 1. lig. 46. sur le corps, lis sur le carpe. Ibid. pag. 660. col. 1. lig. 40. regle générale, lis. cause générale. Lig. suiv. après les mots à cet égard, lis. de ce qu’il arrive de contraire.

Enflure, pag. 673. col. 1. lig. 24. après ces mots, du corps, mettez un point au lieu d’une virgule. Lig. suiv. après le mot visage, mettez deux points ; après le mot œdeme, seulement une virgule au lieu de deux points. Lig. 36. hydroïde, lis. hydrocele. Lig. 38. même faute à corriger.

Engelure, pag. 682. col. 1. lig. 46. détacher, lis. relâcher.

Engourdissement, pag. 684. col. 1. lig. 36. torpa, lis. torpor. Col. 2. lig. 3. anastène, lis. anastaisie. Lig. 5. au censorium, lis. du censorium.

Envie, pag. 736. col. 1. lig. 23. affectation, lis. affection.

Épaississement, page 744. col. 1. ligne 14. à compter d’en-bas, & y causent, lis. elles y causent.

Epilepsie, pag. 795. col. 1. lig. 22. & cependant, effacez &. Lig. 23. après le mot sentiment, mettez pour le sens de la phrase un point & une virgule. Lig. 9. à compter d’en-bas, de la sanie, du pus, lis. de sanie, de pus. Pag. 796. col. 1. lig. 5. Bounner, lis. Brunner. Col. 2. lig. 5. à compter d’en-bas, de celle-ci, lis. de celle-là.

Epiphore, pag. 810. col. 1. lig. 16. de G, lis. de C. Lig. 21. de l’anus, lis. de larmes. Lig. 39. pleurans. Tant que dure ce vice, lis. pleurans, tant que dure ce vice.

Equilibre, pag. 876. col. 2. lig. 14. à compter d’en-bas, à abonder, lis. à aborder. Pag. 877. col. 1. lig. 13. assoupissement, lis. un assoupissement. Col. 2. lig. 4. à compter d’en-bas, par la vie, lis. pour la vie.

Erection, pag. 903. col. 1. lig. 47. releve, dresse, lisez relevé, dressé.

Erésypele, pag. 905. col. 1. ligne 3. à compter d’en-bas, où il est phlegmoneux, œdémateux, il participe, lis. où elle est phlegmoneuse, érésypélateuse, elle participe.

Erotique, pag. 909. col. 2. lig. 16. à compter d’en-bas, les folies, lis. la folie.

Erreur de Lieu, pag. 912. col. 2. lig. 7. dans les dissolutions chaudes, la masse des humeurs, lis. dans les dissolutions chaudes de la masse des humeurs.

Esquinancie, pag. 976. col. 2. lig. 45. συνάγκειν, lis. κυναγκειν. Lig. 56. cynanche, lis. synanche. Lig. 58. paracynanche, παρακυτὰγκειν, lis. parasynanche, παρασυναγκειν. Pag. 977. col. 1. lig. 21. de sa trachée, lis. de la trachée. Col. 2. lig. 5. épiderme, lis. épidémie. Lig. 6. même faute à corriger. Lig. 42. effacez les plus. Pag. 980. col. 1. lig. 26. après ces mots, différens états, mettez deux points pour le sens de ce qui suit. Col. 2. lig. 30. sinapesme, lis. sinapisme.

Essere, pag. 998. col. 1. lig. 2. vices, lis. vins.

Estomac, pag. 1007. col. 1. lig. 31-32. effacez ou le dégoût. Lig. 20. à compter d’en-bas, tentant à expulser, lis. tendante à expulser.


Errata pour les autres articles du V. Volume.

Pag. 243. col. 1. Échasse au propre a été oublié, ainsi qu’au figuré.

Page 733. col. 2. au mot Entretailles, lis. entetaille par-tout où il y a entretaille, & entetaillée par-tout où il y a entretaillée.

Au second article Entretaille, à la suite du premier qu’on vient de corriger, ajoûtez seulement une S au premier mot, & supprimez le mot encore.

Pag. 750. col. 2. au bas, avant le mot EPARS, (Grammaire.) ajoûtez l’article qui suit.

Épargne, (Gravure en bois.) ouvrage fait à taille d’épargne ; c’est une maniere de graver ou entailler le bois, les pierres, les métaux, &c. qui se dit lorsqu’on taille & qu’on enleve le fond de la matiere, & qu’on n’épargne & qu’on ne laisse en relief que les parties qu’on veut faire paroître à la vûe, ou qui doivent marquer & imprimer : anaglyphum scalpere, incidere. Ainsi les gravures en bois sont taillées ou gravées en épargne : car au lien que dans la gravure en cuivre ou taille-douce, les traits & lignes qui doivent paroître, sont gravés en creux dans le métal, & que les blancs restent relevés sur la planche ; au contraire dans les tailles ou gravures en bois, les blancs sont enfoncés, creusés, & vuidés, & les traits & lignes qui doivent paroître, sont élevés & épargnés ; d’où l’on doit concevoir la difficulté, la longueur, & la précision qu’exige cette sorte de gravure.

Pag. 984. col. 2. lig. 13. à compter d’en-bas, proposa, lis. propose.

Pag. 986. col. 2. lig. 6. lance, lis. lame.

Pag. 987. col. 2. lig. 4. à compter d’en-bas, ce même défaut, lis. le même défaut.

Pag. 990. col. 1. lig. 12. quos, lis. quas. Ibid. lig. 13. solos, lis. solas. Ibid. col. 2. lig. 2. à compter d’enbas, sécher, lis. lécher. Ibid. lig. derniere, lavois le test, lis. levois le test supérieur.

Pag. 991. col. 1. lig. 30. nitreuses, lis. vitreuses.

Pag. 992. col. 1. lig. 29. à compter d’en-bas, régulieres, lis. régulines. Ibid. col. 2. lig. 28. à compter d’en bas, tombé, lis. bombé.

Pag. 993. col. 1. lig. 25. raréfiant, lis. scorifiant. Ibid. col. 2. lig. 30. stalactile, lis. stalactite.

Pour le tome 6[modifier]

Dans l’Errata du tome 6[modifier]

Pag. col. lig.
207 1 61 au lieu de racine de φημὶ, lisez & de φημὶ
241 1 34 sept autres, effacez sept.
346 2 16 après ces mots, qu’il prend, ajoûtez au procès.
406 1 35 un sentiment, ajoûtez délicat.
467 1 37 au lieu de ascentationem, lisez assentationem.
600 2 33 au lieu de a prouvé, lis. ait prouvé.
601 1 69 au lieu de 1739, lis. 1738.
603 1 16 rempli, lis. remplies.
Ibid. 1 23 urit, lisez unit.
627 2 7 de fait militaire, lis. de l’art militaire.

Dans l’Errata du tome 7[modifier]


Errata pour les articles du VI. Volume fournis par M. d’Aumont.

Eunuque, pag. 158. col. 2. lig. 56. tom. II. lis. tom. IV. Pag. 159. col. 2. lig. 50. effacez modernes, & placez-le après le mot ouvrages de la lig. précédente. Lig. 62. 1751, lis. 1754. Pag. 160. col. 2. lig. 43. sythaltique, lis. systaltique.

Exercice, pag. 246. col. 2. lig. 54. fongueuses, lis. fougueuses. Pag. 247. col. 1. lig. 3. quatriésime, lis. quatrieme.

Expectoration, pag. 288. col. 2. lig. 13. excite, lis. existe.

Expiration, pag. 306. col. 2. lig. 24. s’exhale, lis. s’exerce.

Exspectation, pag. 322. col. 2. lig. 8. à compter d’en-bas, empêcher, lis. employer. Pag. 323. col. 1. lig. 14. à compter d’en-bas, exemptions, lis. exceptions. Ibid. lig. 4. au lieu des deux points, pour le sens ne mettez qu’une virguie. Col. 2. lig. 32. à être, effacez à Pag. 324. col. 1. lig. 7. à compter d’en-bas, sur lesquelles, lis. par lesquelles.

Ferment, pag. 516. col. 2. lig. 53. après parties, pour le sens mettez une virgule. Pag. 517. col. 2. lig. 12. raisons, lisez rayons.

Fermentation, pag. 520. col. 1. lig. 40. fraudinis, lisez fracedinis. Page 523. col. 2. ligne 27. coopérant, lis. co-operent. Ibid. lig. 9. à compter d’enbas, fomenter, lis. fermenter.

Fibre, pag. 666. col. 2. lig. 12. intérieurement, lis. ultérieurement. Pag. 667. col. 1. lig. 3. à compter d’en-bas, extérieure, lis. ultérieure. Pag. 673. col. 1. lig. 6. flexibles, lis. trop peu flexibles.

Fleurs blanches, pag. 861. col. 1. lig. 7. à compter d’en-bas, fixées, lis. finies.

Fluidité, pag. 892. col. 1. lig. 49. syslatique, lis. systaltique.

Fluxion, pag. 923. col. 2. lig. 20. à compter d’enbas, formé, lis. forme. Ibid. lig. 9. avec, lis. une.

Errata pour les autres articles du VI. Volume.

Pag. 47. col. 1. lig. 56. qui blessent, lis. qui détruisent.

Etoile, terme d’Imprimeur, a été oublié. C’est la même chose qu’astérique. Voyez Astérique.

Page 68. col. 2. avant ETONNEMENT, sub. m. (Morale.) ajoûtez l’article qui suit.

Etonné, (Maçonnerie.) se dit d’une pierre, d’un mur, qui par une violente commotion a été dérangée de sa place.

Eventail, (Jardinage.) ajoûtez à cet article. Les arbres fruitiers se mettent aujourd’hui dans les potagers en éventail sur le bord des plates-bandes, pour former des contr’espaliers, ou des espaliers que des treillages entretiennent. Ils ont pris la place des arbres en buissons, qui tenoient beaucoup plus de terrein, & assez inutilement.

Evuidé, (Jardinage.) se dit d’un arbre en buisson, dans le milieu duquel il ne faut laisser aucune branche.

Pag. 63. col. 2. lig. 26. à compter d’en-bas, au lieu de avoir fait en peu de tems un catalogue, lis. avoir déterminé en peu de tems la position.

Pag. 173. col. 2. l. 9. on le, lis. on les. Ibid. l. 55. EC, lis. BC.

Pag. 175. col. 1. lig. 9. à compter d’en-bas, chefs demi-files, lis. chefs de demi-files. Ibid. col. 2. lig. 13. double, lis. doublé. Ibid. lig. 8. à compter par en-bas, feu, lis. face.

Pag. 180. col. 1. lig. 24. à compter par le bas, ces exemples, lis. cet exemple.

Pag. 183. col. 1. lig. 26. de la figure 2. lis. & la figure

Pag. 189. col. 2. lig. 33. cinquieme, lis. vingtieme.

Pag. 191. col. 2. lig. 5. 6. 7. & 8. l’instruction du 15 Mars 1754, &c. lis. l’instruction du 14 Mai 1754 se sert à-peu-près de cette même méthode pour changer le bataillon ordinaire en colonne.

Pag. 192. col. 1. lig. 13. à compter d’en-bas, neuf mille six cents un hommes, lis. quatre-vingt-dix mille six cents un hommes. Ibid. col. 2. l. 44. droite, lis. gauche ; & même ligne, à gauche, lis. à droite. Ibid. lig. 57. effacez du.

Pag. 195. col. 1. lig. 16. 17. 18. & 19. ces deux compagnies ont, &c. lis. ces deux compagnies ont dans la figure plus de front que les pelotons, parce qu’elles sont à trois de hauteur, & qu’elles sont plus nombreuses que les autres du bataillon.

Pag. 200. col. 1. lig. 12. vingt-sept, lis. vingt-quatre.

Ibid. col. 2. lig. 10. commencer, avancent, lis. commencer les mouvemens, avancent.

Pag. 201. col. 1. lig. 1. dédoubler, lis. de doubler. Ibid. même col. lig. 12. a compter d’en-bas, ajusté, lis. ainsi.

Pag. 312. col. 2. lig. 44. , lisez .

Pag. 313. col. 1. lign. 4. , lisez .

Pag. 402. col. 1. lig. 34. Waquemestre, lis. Waguemestre.

Pag. 450. (marquée par erreur 350) col. 2. lig. 3. au lieu de (P) lis. (Q)

Pag. 610. col. 1. lig. 23. Ffrmentation, lis. Fermentation.

Pag. 719. col. 1. lig. 56. au lieu de tel que, lis. telle que celle de.

Pag. 750. col. 2. lig. 33. assez composée, lis. assez peu composée. Ibid. lig. 34. simple, lis. irréguliere.

Pag. 753. col. 1. lig. 28. au lieu de en diminuant, lis. en augmentant.

Pag. 759. col. 1. lig. 39. particulierement, lis. primitivement.

Pag. 907. col. 2. entre les lignes 8. & 9. à compter d’en-bas, ajoûtez cette ligne omise, T étant regardée comme l’unité par rapport à L.

Pag. 908. col. 1. lig. 4. quadruple, lis. double.

Pag. 919. col. 1. lig. 11. un creuset, lis. le creuset. Ibid. lig. 28. à compter d’en-bas, uncs, lis. unes.

Errata pour l’article Etymologie.

Page 99. col. 2. ligne 44. & suiv. sont l’ouvrage du besoin où les hommes se sont trouvés de faire connoître les idées intellectuelles & morales, en se servant des noms des objets sensibles. lis. sont l’ouvrage du besoin : les hommes pour designer aux autres les idées intellectuelles & morales, ne pouvant employer que les noms des objets sensibles.

Page 100. col. 2. lig. 40. se sont, lis. seront.

Page 101. col. 1. lig. 13. μελ, lis. μελγ.

Ibid. ligne dern. des noms aux objets ; pourvu, lis. des noms aux objets, pourvu.

Ibid. col. 2. lig. 2. ne devoient pas savoir, on connoîtra, lis. ne devoient pas savoir ; on connoîtra.

Ibid. lig. 4. les adresses du besoin : pour la vaincre, lis. les adresses du besoin pour la vaincre.

Ibid. lig. 48. l’une & l’autre, lis. l’une en l’autre.

Ibid. lig. 57. autre consonne, l’altération, lis. autre consonne du même organe, l’altération.

Page 102. col. 1. lig. 33. l’s consonne, lis. l’v consonne.

Ibid. ligne 51. d’un changement, lis. du changement.

Page 104. col. 2. lig. 1. de la distribution, de l’autorité, & de la dépendance entre les deux peuples ; lis. de la maniere dont l’autorité & la dépendance sont distribuées entre les deux peuples.

Ibid. lig. 46 & 47. fondée, lis. fondées.

Page 105. col. 1. ligne 6. les impressions dans la mémoire, lis. les impressions des mots dans la mémoire.

Ibid. col. 2. ligne 61. ce sentiment, lis. cette opinion.

Page 106. col. 2. lig. 6. de l’n & de l’u en i, lis. de l’hêta & de l’upsilon en i.

Page 107. col. 1. lig. 29. simples possibilités ; plus les suppositions sont multipliées, chacune, lis. simples possibilités, plus les suppositions sont multipliées. Chacune.

Ibid. col. 2. lig. 55. l’application la plus médiate, lis. l’application la plus immédiate.

Ibid. lig. 70. & la marche, lis. & de la marche.

Page 109. col. 2. lig. 40. Ce n’est point, &c. effacez ici tout cet alinéa jusqu’à la ligne 45. & transportez-le à la page 110. col. 1. lig. 7. après ces mots, recherches étymologiques, lisez ainsi : Ce n’est point ici le lieu de fixer les cas où elle est indispensablement nécessaire & ceux où l’on pourroit s’en passer, ni de développer l’usage dont elle pourroit être pour comparer les mots entr’eux. Voyez Mots & Synonymes. Quoi qu’il en soit, je crois qu’il est toûjours avantageux de s’en servir, & que le secours des étymologies y est utile dans tous les cas.

Au reste, &c.

Page 111. col. 1. lig. 13. d’un certain vent de la nuit, lis. d’un certain vent Colpias & de la Nuit.

Ibid. ligne 73. le nom d’une ville, lis. lorsque le nom d’une ville.

Ibid. lig. 74. vraissemblable. On est en droit, lis. vraissemblable, on est en droit.

Ibid. col. 2. lig. 22. après communiquer, lis. nous en avons quelquefois profité, & nous en eussions, &c.

Pour l’article Existence.

Page 261. col. 1. lig. 23. pas nécessairement, lis. pas au contraire nécessairement.

Page 262. col. 1. l. 29. qui forme, lis. que forme.

Ibid. col. 2. lig. 48. de sensations passées que, lis. de sensations passées ; que.

Ibid. lig. 51. nous voyons ; que nous verrions, lis. nous voyons, que nous verrions.

Page 263. col. 1. lig. 61. qu’ont eu, lis. qu’ont eue.

Ibid. col. 2. lig. 57. auroit, lis. auroient.

Page 264. col. 2. lig. 43. & très-différentes, lis. & différentiée.

Page 265. col. 2. lig. 33. peut-être également, effacez peut-être.

Page 266. col. 1. lig. 66. de rayons mis, lisez de rayons mus.

Pour l’article Expansibilité.

Page 279. col. 1. lig. 6. de même dégagé, lis. de même l’air dégagé.

Ibid. lig. 13 & 14. que l’eau se sépare dans la distillation, lis. que l’eau dans la distillation se sépare.

Page 281. col. 1. lig. 53 & 54. la simple voie de vaporisation, lis. la simple voie d’évaporation.

N. B. Cette faute d’impression forme un contresens très-important. Mon dessein, en substituant dans tout cet article le mot de vaporisation à celui d’évaporation, employé dans ce sens par quelques physiciens, n’étoit nullement de mettre un mot nouveau à la place d’un ancien, mais de ne pas confondre sous une seule dénomination deux phénomenes très différens.

La vaporisation est le passage d’un corps de l’état de liquidité à celui d’expansibilité par une force répandue dans toutes ses parties, qui les écarte les unes des autres : c’est ce qui arrive à l’eau échauffée au-dessus du degré de l’eau bouillante. L’évaporation est la déperdition que fait un corps liquide, ou même solide, d’une partie de son volume, lorsqu’il est exposé à l’air libre. La vaporisation suppose que le corps soit déjà liquide ; l’évaporation a lieu également, soit que le corps soit liquide ou solide, & à tous les degrés de chaleur, car la glace s’évapore aussi-bien que l’eau. La vaporisation est de la masse entiere, dont toutes les parties sont violemment écartées les unes des autres. L’évaporation n’a lieu qu’à la surface, & suppose un contact immédiat avec l’air ; enfin la vaporisation est l’effet de la chaleur appliquée au corps même vaporisé, l’évaporation est produite par l’application & par l’action dissolvante d’un fluide étranger. Cette théorie qui est une des plus fécondes de toute la Physique, me paroît portée au plus haut degré de certitude dont cette science soit susceptible, & jusqu’à la démonstration. On peut la voir très-bien développée à l’article Evaporation. Je l’ai supposée plus d’une fois dans le cours de celui-ci, où j’aurois dû citer M. le Roy, docteur en Medecine de la faculté de Montpellier, auteur de cet article. Mais, quoiqu’il eût exposé ses principes dans une dissertation envoyée à l’académie des Sciences dès 1751, & long-tems avant que la même idée se fût présentée à moi ; sa dissertation n’étoit point tombée entre mes mains lors de l’impression de l’article Expansibilité, & j’ignorois absolument que cette explication du phénomene de l’évaporation ne fût pas neuve.

Ibid. col. 2. lig. 66 & suiv. 4°. Au contraire l’eau, ou toute autre substance unie à un principe qui demande une moindre chaleur pour s’élever, s’éleve aussi à un degré de chaleur moindre qu’elle ne s’éleveroit sans cette union, &c. Cette proposition est trop générale, & les exemples qui l’appuyent ne la prouvent pas. Le mercure & le soufre combinés pour faire le cinnabre, ont besoin pour s’élever réunis d’une chaleur beaucoup plus grande que celle qui éleve chacun de ces deux mixtes pris séparément ; ainsi celui des deux qui est le moins volatil, ne gagne point en volatilité par sa combinaison avec celui qui l’est le plus, au contraire ; & cela n’est point étonnant. La maniere dont les élémens des corps sont unis nous est trop peu connue, pour que nous puissions décider si les molécules formées de deux mixtes combinés seront plus ou moins adhérentes entr’elles, que les molécules de chacun de ces mixtes pris séparément. L’union aggrégative des parties du nouveau composé dépendant de circonstances absolument étrangeres à l’union aggrégative des parties de chaque mixte, paroît ne devoir avoir avec elle aucune proportion. Aussi la Chimie nous présente t-elle indifféremment les deux exemples contraires de deux corps fixes rendus volatils & de deux corps volatils rendus fixes par leur union. L’exemple de l’eau chargée de la partie aromatique des plantes qui s’éleve à une moindre chaleur que l’eau pure, est absolument étranger à l’ordre de vaporisation des corps ; & l’on n’en peut tirer ici aucune induction, parce que l’évaporation a beaucoup plus de part que la vaporisation dans les rectifications de cette espece, & même dans un très-grand nombre de distillations. Ceci mérite d’être expliqué, & va l’être quelques lignes plus bas.

Page 282. col. 1. les lignes 57 & suiv. jusqu’à 65. contiennent plusieurs faussetés. Il ne s’ensuit point du tout de ce que les molécules du principe le plus volatil sont moins adhérentes que celles du principe le plus fixe, que celles-là doivent en s’interposant entre les dernieres en diminuer l’adhérence. Cela peut dépendre de mille rapports de masse, de figure, &c. qui nous sont absolument inconnus. Ainsi la théorie ne sauroit prouver que le terme de vaporisation d’un mixte doive être mitoyen entre les termes auxquels chacun des principes pris solitairement commence à s’élever. L’exemple déjà cité du cinnabre qui s’éleve beaucoup plus difficilement que chacun de ses deux principes, le soufre & le mercure, prouve que cette proposition est absolument fausse dans le fait. Il est naturel que la théorie explique mal un fait que l’expérience dément.

Page 283. col. 1. lig. 32. cubes de ces distances, lis. cubes des distances.

Page 284. col. 1. lig. 32. & suiv. jusqu’à 37. C’est par l’expansibilité que les corps s’élevent dans la distillation, &c. Cette proposition est beaucoup trop générale. Il n’est pas douteux que l’eau bouillante ne s’éleve par sa seule expansibilité ; mais toutes les fois que l’eau ne bout pas, c’est-à-dire dans toutes les distillations au bain-marie, & dans une infinité d’autres cas, la chaleur ne suffit pas pour mettre l’eau en vapeur ou dans l’état d’expansibilité. Elle s’éleve cependant ; il faut donc recourir à une autre cause, & cette cause est l’action dissolvante de l’air sur l’eau augmentée par la chaleur des vaisseaux. En un mot l’élévation de l’eau dans cette circonstance est un phénomene de l’évaporation, & non de la vaporisation. M. le Roi a montré dans l’art. Evaporation, que l’air chaud peut dissoudre une plus grande quantité d’eau que l’air froid. On peut ajoûter que l’eau chaude oppose aussi moins de résistance à cette action dissolvante de l’air, parce que l’union aggrégative de ses molécules est moins forte ; l’air échauffé dans les vaisseaux se charge donc d’une assez grande quantité d’eau. Mais cet air d’autant plus expansible, qu’il est plus chaud & plus chargé d’eau, devient plus leger qu’un pareil volume d’air extérieur ; il sort des vaisseaux, tandis que l’air extérieur y entre. Il se fait ainsi un déplacement & une circulation continuelle entre l’air chaud des vaisseaux & l’air froid de l’atmosphere. Quand l’air froid entre dans les vaisseaux, il refroidit subitement l’air qui en sort ; & celui-ci cesse de tenir en dissolution l’eau qui alors devient visible sous la forme de brouillard, & s’attache en petites gouttes aux parois du récipient. Ce nouvel air qui remplit les vaisseaux s’échauffe à son tour, se charge d’une aussi grande quantité d’eau que le premier pour la perdre de la même façon, en cédant de nouveau la place à l’air extérieur. De-là ces especes d’oscillations & ces intervalles réglés qu’on observe dans la chûte des gouttes d’eau qui tombent dans les récipiens ; de-là aussi la nécessité de conserver une communication continuelle avec l’air extérieur, & l’impossibilité absolue de distiller & de sublimer dans des vaisseaux entierement fermés ; car M. Rouelle remarque très-bien que ce n’est pas seulement la crainte de voir casser les vaisseaux qui oblige de les tenir ouverts, ou au moins de les ouvrir de-tems-entems. Sans cette précaution il ne se feroit aucune distillation ; car le concours de l’air extérieur est même nécessaire dans celles où le feu est assez fort pour élever immédiatement les matieres en vapeurs : mais c’est pour une autre raison que nous ne pourrions développer ici, sans alonger beaucoup cette note déjà trop longue. Je dirai seulement qu’il n’est pas nécessaire que dans ce dernier cas la communication avec l’air soit aussi continue : par exemple, dans la distillation des eaux-fortes on se contente d’ouvrir de-tems-en-tems le trou du ballon. Au reste l’eau n’est pas la seule substance qui s’éleve par la seule voie d’évaporation. Les huiles essentielles, le camphre, l’esprit-de-vin, l’éther, & beaucoup d’autres corps solides ou fluides, sont dans le même cas, c’est-à-dire qu’ils ont comme l’eau un certain degré d’affinité avec l’air, & qu’ils peuvent y être tenus en dissolution. Comme cette éthiologie de la distillation, qui est une branche de la théorie de M. le Roi sur l’évaporation, n’a point encore été donnée, il n’est pas étonnant que les Chimistes n’ayent point encore fait les expériences nécessaires pour distinguer les cas où la distillation appartient à l’évaporation ou à la vaporisation. Ce seroit un travail aussi immense qu’il est utile, & un préliminaire indispensable pour celui qui voudroit donner une théorie complette de la volatilité des corps. Voyez Volatilité.

Page 284. col. 2. lig. 23 & 28. Il ne faut pas entendre ce que je dis ici de la production de la flamme, comme si l’eau n’y avoit d’autre part que de diviser méchaniquement les molécules de l’huile embrasée, & d’en multiplier les surfaces. La flamme est un fluide particulier dans lequel l’eau est comme partie essentielle, mais combinée avec les autres. Mais il est toûjours vrai que l’expansibilité de l’eau paroît être le principal agent qui donne aux corps embrasés cet éclat & cette vivacité qui caractérisent la flamme.

Pour le tome 7[modifier]

Dans l’Errata du tome 7[modifier]


Errata pour le VII. Volume.

Pag. 58. col. 2. lig. 13. à compter d’en-bas, au lieu de 233. lis. 133.

Remarque de M. de Villiers, sur son article Fondant de Rotrou, pag. 64. col. 2. lig. 25.

Quelques mois après l’impression de l’artic. Fondant de Rotrou, où j’ai donné la préparation de l’antimoine diaphorétique, j’ai eu occasion de voir la seconde édition que M. Cartheuser a donnée de sa Chimie en 1753, & j’y ai trouvé ce que je ne savois que par oüi-dire, que la méthode de jetter l’antimoine diaphorétique calciné tout chaud dans l’eau, étoit connue en Allemagne. J’y ai aussi vû une chose que je croyois avoir pensée le premier, c’est le lavage de l’antimoine diaphorétique pour le séparer des parties régulines qu’il peut encore contenir. Voici ce que dit M. Cartheuser à ce sujet, « On calcine l’antimoine diaphorétique de la maniere convenable, pour dissiper les parties arsénicales (Stahl pensoit comme lui à ce sujet) qu’il peut contenir ; ensuite on jette dans l’eau la chaux froide ; mais il vaut encore mieux l’y jetter chaude : on remue cette eau avec un petit bâton ou avec une cuillere. Quand la chaux est bien dissoute, on la laisse reposer ; on l’agite de nouveau, elle devient laiteuse ; on en met quelques cuillerées sur le filtre, & on laisse dans la terrine ce qui ne flotte pas bien, soit blanc, soit jaune. On édulcore plusieurs fois la chaux qui reste sur la filtre, & on la seche lentement. Au lieu de l’antimoine crud, on peut employer son régule ; la céruse qui en résulte est en tout semblable à l’antimoine diaphorétique ».

On a dit, dans le même article, en parlant de Basile-Valentin, que c’étoit un moine qui vivoit au douzieme siecle (voyez ce qui en a été dit au mot Chimie) ; Boerhaave le place un siecle avant Paracelse : mais M. Astruc pense avec raison qu’il étoit tout-au-plus son contemporain ; & en effet il n’a pû nommer la vérole, mal françois, que du tems de Paracelse, que cette maladie a eu ce nom. Voyez le tom. II. des maladies vénériennes, pag. 884.

Pag. 120. col. 1. lig. 2. au lieu de , lis. .

Pag. 184. col. 1. l. 1. au lieu de chiffres, lis. nombres.

Pag. 249. col. 2. à la fin de l’article Fourrage, effacez (e), cet article n’étant point de M. Bourgelat.

Pag. 265. col. 2. lig. 12. lisez, dans le produit des fractions , .

Pag. 279. col. 2. lig. 14-15. à compter d’en-bas, au lieu de dit le même auteur, lis. dit M. d’Herbelot.

Pag. 317. col. 2. lig. 4. & 5. au lieu de vingt-septieme, lis. trente-septieme.

Pag. 346. col. 1. lig. 28. au lieu de ou mouvement, lis. au mouvement.

Pag. 349. col. 1. lig. 50. après rapport, ajoûtez inverse. Ibid. col. 2. ligne 4. après raison, ajoûtez inverse.

Pag. 350. col. 2. l’étoile qui renvoye à la note, doit être placée à la fin du certificat, après susceptible*.

Pag. 351. col. 1. lig. 27. ôtez &. Ibid. col. 1. l. 45. au lieu de 24000, lis. 2400. Ibid. col. 2. lig. 35. au lieu de 2701/1, lisez 2401/1.

Pag. 534. col. 2. ces mots Article de M. de Voltaire, doivent être transposés à la fin de l’article Gazette.

Pag. 576. col. 2. lig. 6. au lieu de l’indépendance, lis. la dépendance.

Pag. 615. col. 1. 4e alinea. lig. 2. après faits ôtez le point d’interrogation, & mettez un point.

Page 616. col. 2. lig. 10. au lieu de l’observation, lis. l’apprétiation.

A la fin du mot Gomaristes, au lieu de (h), mettez (G).

Pag. 792. col. 1. lig. 16. au lieu de régie, lis. régir.