Les Grans et Merveilleux Faictz du Seigneur Nemo

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Les Grans et Merveilleux Faictz du Seigneur Nemo Recueil de poésies françoises des 15e et 16e siècles
Texte établi par Anatole de Montaiglon et James [N.] de RotschildPaul Daffis (p. 329-342).
Les grans et merveilleux Faictz
du Seigneur Nemo,
avec les privilleges qu’il
a et la puissance qu’il peult avoir
depuis le commencement du monde
jusques à la fin.


Audite verba mea et vivet anima vestra, Esaye, 4[1].

Esaye escript en son livre :
« Escoutez, se vous voulez vivre ».
Dévotes gens, qui cy ensemble
Estes, ainsi comme il me semble,
Pour honneste cause assemblez,
Et qui, sans mentir, me semblez
Estre gens de haultes sciences
Et de très bonnes consciences,
J’ay, s’il vous plaist, intention
De faire une collacion
Ici, non pas pour vous apprendre,
Mais pour delectation prendre,
Car je le fais principalment[2]
Pour vostre resjouissement.
Or faictes paix quant Je liray,
Ou autrement je me tairai,

Quoy que tout soit sans fiction,
Et sauf vostre correction ;
Seulement me vueil préparer
A celle fin de déclarer
L’excellence et le grant renom
D’ung très grant Seigneur, dont le nom
Est Nemo, qui tous autres passe ;
Audite ergo, loco et capitulo prelibatis.

Mais que chacun me donne espace,
Je vous diray, à brief parler,
Ce que de Nemo veulx[3] toucher.
Nostre Dieu, où tout bien abonde,
Quant il vint pour former le Monde,
Car il est dit si grant merveille
Que depuis je m’en esmerveille.
Premier, je treuve que de faict
Nemo fut, quant et les jours, faict :
Dies formanbuntur et Nemo in eis. Psalmo 138[4].
Aussi l’Evangille raconte,
Qui vault bien qu’on en face compte,
Que Nemo avant Jesu-Christ
Monta au ciel, quant il escript :
Nemo ascendit in celum. Jo. 6[5].
Item Jesus monstrans zelum,
Quem gerebat[6] dulcissime
Erga Neminem[7] maxime,
Dixit[8] : Nemo venit ad me. Jo. 6[9].

Et, quant il fut en la présence
De Dieu, veit la divine essence
Nemo Deum vidit, ce qu’onques Jo., 4[10].
Homme [avant luy] n’avoit faict. Doncques
Fault il dire, pour vérité
Qu’il avoit grant auctorité.
De rechief saint Pol nous escript
En une Epistole, où il dit
Que Nemo peult bien appeller
Le nom Jésus et en parler :
Nemo potest dicere : Dominus Jesus. Cor., 12[11].
Mais plus y a, car je vous dy
Que Nemo fut si très hardi,
Car, quant Juifz n’osèrent prendre
Jesum, il osa entreprendre
D’y mettre hardiment les mains :
Nemo misit in eum manus. Jo., 7[12].
Encores n’est ce que du moins,
Car, comme dit Nichodemus,
En parlant au très doulx Jesus,
Nemo povoit telz signes faire
Comme il faisoit, sans luy desplaire :
Nemo potest hec signa facere que tu facis. Joh. 3[13].
Nemo, pour en brief le vous dire,
Est si grant et si puissant sire
Que ce que Dieu peult clorre il œuvre,
Ce de quoy Dieu faict ouverture :
Deus claudit et Nemo aperit ; aperit et Nemo claudit[14].

Ne dit pas aussi l’Escripture
De Job, si g’y sçavoye bien mordre,
Que Nemo se peult bien estordre
De la main Dieu ? Certes si feist,
Cum sit Nemo qui de manu tua possit eruere. Job, 10[15].
Et saint Jehan aussi, qui nous dit
Que Nemo la joye osteroit
Aux Disciples, quant il vouldroit,
De laquelle Jesus parloit :
Gaudium vestrum Nemo tollet a vobis. Joh. 16[16].
Nully si ne se deveroit
Esmerveiller pour ung tel cas.
Saint Jehan dit en ce[17] mesme pas
Que Nemo à Dieu osteroit
Son ame, quant il lui plairoit :
Et Nemo tollet a me animam meam[18].
Pour sçavoir d’ont telle puissance
Luy vint, sachez que sa naissance,
Ou au moins son commencement,
Si vint des Roys premièrement :
Nemo ex Regibus habuit initium. Sap. 7[19].
Aussi dit ailleurs l’Escripture[20]
Que Nemo est de tel(le) nature,
Si est que sa propre personne
Peult porter de fait la couronne
Entre tous les Roys terriens :
In omnibus Regibus Nemo portabit dyadema et Nemo accipiet coronam. Machabe. 8[21].

Et je ne m’esbahis de riens
Se Nemo a tant d’avantage,
Veu que les gens de son lignage
Sont moult prisez et honnorez
Et en auctorité trouvez
Du sainct Archange Gabriel,
Qui annonça dit bien et bel
À dame Elizabeth ainsin[22]
Que Nemo estoit son cousin :
Nemo est in cognatione[23] tuâ. Lu. 10[24].
Item je puis bien reciter
Qu’à Dieu ne peult nul resister
Que Nemo tout à beau delivre,
Tesmoing Job, disant en son livre :
Deus, cujus iræ resistere Nemo potest[25].
Plus fort l’Escriture raconte
Du bon homme [Job] et nous compte,
Parlant des choses qui sont faictes,
Que, se Dieu les avoit deffaictes,
Nemo les peult édifier :
Si destru[x]erit[26] Deus, Nemo est qui[27] edificet[28].
Aussi, Dieu mercy et la vostre,
Aussi vray que la patenostre,
Il est tenu, comme j’entens,
Combatre à ses propres despens ;
Nemo propriis sumptibus militare tenetur[29].

Aussi dit bien Dieu sans doubtance
Que Nemo est de tel(le) vaillance
Qu’il faict les gens devant fuyr,
Quant luy plaist les poursuivyr :
Fugit impius, Nemine persequente[30]. Proverb., 28[31].
Jesus dit qu’il faict bien plus[32] fort,
Car il peult ravir par effort
Les ouailles de la main
De Dieu, le père souverain :
Nemo potest rapere oves de manu patris mei[33].
Saint Luc si a mention faicte
Qu’il est en son pays prophète :
Nemo propheta acceptus est in patriâ suâ[34].
Nemo ne vueille à nul desplaire
Entre les choses qu’i veult faire,
Selon poëtique escripture
Il peut tollir don de nature :
Quod Natura dedit, Nemo tollere potest[35],
Et Chaton dit que de péché
Nemo ne[36] peult estre entaché :
Nemo sine crimine vivit[37],
Et si respont qu’il est de faict,
Quant on l’appelle, amy parfaict :
Nemo respondet amicus[38].

En ce mesme livre est escript
De luy en ung verset qui dit
Que Nemo se peult esjouyr
Et de joye longuement jouyr,
Comme il appert par ce coupplet
Qui dit : Nemo diu gaudet[39],
Qui est ung grant honneur à luy
Et, d’autre costé, c’est celuy
Qui a plus grande charité :
Majorem charitatem Nemo habet, Jo. 15[40].
Aussi a il subtilité
D’estre aux justes appercevant,
Dont saincte Eglise va chantant :
Ecce quomodo moritur justus, et Nemo percipit corde.
Item son engin n’est pas rude,
Car la très grande[41] multitude,
Dont Jehan[42] parle en l’Apocalypse,
Povoit nombrer de fil en lice :
Vidi turbam magnam, quam dinumerare Nemo poterat, Apocal., 7[43].
Ne dit pas aussi Priscien,
Maistre de grammaire ancien,
Que Nemo fut son compaignon ;
Neminem, inquit Priscianus, inveni socium ?

Pour Dieu, chères gens, or penson
Bien en noz cueurs que c’est grant signe

Que Nemo soit personne digne,
Quand le livre des sept seaulx clos
Fut par luy ouvert et desclos,
Dont l’Apocalypse faict compte :
Nemo dignus inventus est aperire librum. Apocal. 5[44].
Mais, entre les faictz que je compte,
Ne doy oublier, ce me semble,
Ce qu’à ses Disciples ensemble
Dit Jesu-Christ qu’i s’en allassent
Par le pays, Nemo saluassent[45],
S’ilz le trouvoient[46] en leur voye :
Neminem salutaveritis in via. Lu. 10[47],
Et à aucuns dit toutesvoye,
En sa transfiguration,
Fist-il expresse injunction
De la verité revéler[48]
À Nemo, sans jà[49] luy celer :
Nemini dixeritis visionem. Mat. 7[50].
Mesme ce fut un grant honneur
Que fist Jésus, nostre Seigneur,
À Nemo, quant il demandoit
À la femme, qui prinse estoit
En adultère, où estoyent
Ceulx qui de ce faict l’accusoyent
Et qu’elle respondit : « Nemo » ;
Car alors luy dit Jésus : « Ho »,
Puisque Nemo est iceluy,

Je n’y touche par dessus luy ;
« Nemo, Domine. » — « Nec ego te condemnabo. » Joh. 8[51].
Item le faict je vous ramaine
De la femme Samaritaine
À laquelle Jésus parla
Emprès le puys[52] où il alla,
Auquel ses Disciples n’osèrent
Demander, quant ilz retournèrent
Devers luy, qu’il luy avoit dit,
Et Nemo hardiment le fist ;
Nemo dixit : « Quid queris, aut quid loqueris cum eâ ? » Joh. 4[53].
Somme, ses faictz sont ung abisme
Dont jamais ne sçauroye la disme[54]
Suffisamment vous relater.
Et ne cessasse huy d’en parler.

Je vous ose encore bien dire
Que, quand Jesu-Christ nostre sire
À ses disciples racomptoit[55]
Que, au temps lors qu’il s’en alloit
À cil qui l’avoit envoyé,
Par Nemo fut interrogué :
Vado ad eum qui me misit, et Nemo interrogat me : « Quo vadis ? » Joh. 16[56].

Encore vous vueil bien parler
De ce que Jesus dit de soy

En parlant aux Juifs de la loy
Et de Moyse, le prophète,
Disant que Nemo l’avoit faicte :
« Nemo, » inquit Moyses, « dedit vobis legem, et Nemo facit legem ». Joh., 7[57].
Que Nemo, est chose bien clère,
Peult faire loy comme Emperière
Et, combien qu’il soit seigneur grant,
Si mect il bien la main pourtant
À la charue pour labourer
Et derrière soy regarder
Pour estre abille à parvenir
Au règne qui ne peult finir :
Nemo, mittens manum ad aratrum, et respiciens retro, aptus est regno Domimi[58]. Lu. 9[59].
Encore vous dy-je, sans fable,
Que Nemo est plus serviable
En l’eglise et plus diligens
Que ne sont beaucoup d’autres gens ;
Car il y scet bien allumer
La lampe et il scet bien chanter :
Nemo accendit lucernam, Luce 11[60] ;
Nemo poterat dicere canticum, Apo. 44[61];
Nemo les ouvriers qui chomoient
Loua, quant les autres alloient
En la vigne pour labourer,
Dont saint Mathieu voulut parler,
Au texte de son Evangille[62].

Car, quant le père de famille
Les enquist pourquoy ilz estoient
Ainsi oyseulx, ilz respondoient[63]
Qu’avec luy ne seroient ilz mye
Et que Nemo, sans menterie,
Pour ce jour les avoit louez :
Responsum dederunt ei quia « Nemo nos conducit ». Mathei 20[64].

Pour Dieu, Messeigneurs, or oyez
Dudit Nemo que ce peult estre,
Car il peult bien à plus d’ung maistre
Servir, s’il luy plaisoit le faire.
Sans à nul d’eulx estre contraire :
Nemo potest duobus dominis servire, Mathei 6, et Luce 16[65].
Ne mect pas aussi saint Lucas
De Nemo ung merveilleux cas.
Lequel si[66] nous est demonstrable
Que Nemo fut tant charitable
Qu’à ung povre qui avoit fain
Donna des miettes de pain
Chéans de la table du riche,
Qui tant estoit avar et chiche
Qu’il ne luy en vouloit donner,
Mais cil Nemo abandonner
Luy en voulut piteusement :
Erat quidem pauper cupiens recreari de micis que cadebant de mensâ divitis, et Nemo illi dabat. Luc. 16[67].

Nemo aussi pareillement
Pour ses mérites et devoir
Selon les Droictz peult bien avoir
Sans bigamie, ce me semble,
Deux femmes espousées ensemble :
Nemini liceat duas uxores habere.
Vrayement, chères gens, qui bien pense
À Nemo et son excellence
Je cuide qu’il s’en esmerveille,
Car nul ne faict chose pareille
Qu’il peult vendre et aliéner
Les corps sainctz et en marchander
Licitement et à sa guise
Et des trésors de saincte Eglise ;
Nemo martyres distrahat ; Nemo mercetur de sacrificiis ecclesiasticis.
Nemo n’est pas à condenner.
Seigneurs, car il peult contenner
Les lyens dont l’Eglise lye ;
Nemo contemnat vincula ecclesiastica.
Plus fort ; Nemo, nul ne le nye,
Si peult bien excommunier
Et d’excommuniment lyer
Sans cause ès Lectres autentiques
Nemo potest excommunicari sine causà.
Et, aux Bulles Apostoliques,
N’y est-il pas par motz exprès
Escript, si est ou assez près,
Que Nemo peult estre licite
Les rompre, qui n’est pas petite :
Nostre igitur presentis concessionis paginam Nemini liceat infringere.

Les Roys aussi et autres Princes
Et les Présidens des Provinces,
Quant ilz reçoivent les Sergens[68]
Des Conseillers et autres gens,
Les[69] font-ils pas jurer, si font,
Que à Nemo ilz révéleront
Les secretz, et, s’enquis j’estoye
Pour cela, je leur respondroye
Que c’est pour ce qu’il ne mourra
Point, mais tousjours vif demourra :
Nemo est qui semper vivat. Ecclesiastici I[70].

Que voulez vous que je vous dye ?
C’est une droicte mélodie
Que de Nemo et de ses faictz
Dont n’en sçauroye dire huy mais,
Et si en diray encore ung
Qui entre les Clercz est commun,
Et qui est si grant que sans faulte
Je m’esmerveille, aussi est haulte
La chose dont Dieu escondit
Ses Disciples quant il leur dit
Que à eulx sçavoir n’appartenoit
Quand la fin du Monde seroit,
Qu’on dit du Jugement le jour ;
Mais il leur dit lors sans séjour
Que Nemo[71] sy le sçavoit bien
De die autem illo vel horâ Nemo scit. Marci 40[72].
Somme toute, je croy et tien

Que, se d’ung moys je ne cessoye
D’en parler, pas je ne diroye
De Nemo tout ce qu’on en treuve
En chascun livre qui l’appreuve.
Mesme, sainct Pol si nous racompte,
Nemo par vain langage et compte
Peult seduire les gens en brief
Et les mectre en voye de meschief :
Nemo vos seducat inanibus[73] verbis[74].
Nemo peult bien, sans contredit,
Resister en faict et en dit
À ses ennemys sans doubter,
Sans qu’ilz le puissent rebouter :
Nemo inimicis audebit resistere. Levitici 26[75].
Item saint Jehan dit que nul homme
Ne peult aussi bien besongner
De nuyt, qu’on doit prendre son somme,
Que Nemo, s’il y veult soigner[76] :
Venit nox cùm Nemo operari potest. Jo. 10[77].

Messeigneurs, pour tant je conclus
Par ce que j’ay dit cy dessus,
Priant le filz de la Pucelle
Qu’il nous doint la vie éternelle,
Quant son rigoreux examen
Sera tenu. Dictes : Amen[78].


Notes

  1. Isaïe, [LV], 4.
  2. A B : principalement.
  3. A : veut.
  4. Verset 15. Ce renvoi et les suivants manquent dans B.
  5. Johannis, III. 13.
  6. B : gerbeant.
  7. B : merminem.
  8. B : Dexit
  9. Johannis VI, 6.
  10. Johannis I, 18.
  11. Primæ ad Corinthios XII, 3.
  12. Johannis VII, 44.
  13. Johannis III, 2.
  14. Apocalypsis II, 7.
  15. Job. X, 7.
  16. Johannis XVI, 22.
  17. B : pour ung.
  18. Johannis X, 18.
  19. Sap. VII, 5
  20. d’Escripture.
  21. Primo Machabæorum, VIII, 14.
  22. A : auisin
  23. B : cognotiene.
  24. Luc. I, 61.
  25. Job. IX, 15.
  26. B : dextraxeris.
  27. B : que.
  28. Job. XII, 14.
  29. B : tenet. — Ce texte se rapporte sans doute à celui-ci : « Quis militat suis stipendiis unquam ? » Prima Corint. IV, 7.
  30. B : persequante.
  31. Prov. XXVIII, 1.
  32. Plus est omis dans B.
  33. Johannis X, 29.
  34. Luc. IV, 24.
  35. Voir plus haut, page 316, note 8.
  36. Ne est omis dans B.
  37. Si vitam inspicias, hominum si denique mores,
    Cum culpant alios, nemo sine crimine vivit. I, 5.
  38. Si tibi pro meritis nemo respondat amicus,
    Incusam Deum noli, sed te ipse coerce. I, 23.
  39. Esto animo forti, cum in damnatus iniquè ;
    Nemo diu gaudet, qui judice vincit iniquo. II, 34.
  40. Joh. XV, 13, qui donne dilectionem et non pas charitatem.
  41. A B : grant.
  42. A B : sainct Jehan.
  43. Apocalypsis VII, 9.
  44. Apoc. V, 4.
  45. B : trouvassent.
  46. A : trounoient.
  47. Luc. X, 4.
  48. B : verité cruelle.
  49. B : la.
  50. Math. XVII, 9.
  51. Joh. VIII, 10.
  52. B : pis.
  53. Joh. IV, 72.
  54. La dixième partie.
  55. Imp. : racomptoir.
  56. Joh. XVI, 5.
  57. Johannis VII, 19.
  58. B : regno Dei.
  59. Luc. IX, 62.
  60. Luc. VIII, 16.
  61. Apocalypsis XIV, 3.
  62. B place ce vers avant : Nemo les ouvriers, etc.
  63. A : respondirent.
  64. Mat. XX, 7.
  65. Mat. VI, 24 ; Luc. XVI, 13.
  66. Si est omis dans B.
  67. Luc. XV, 16.
  68. Ce vers manque dans B.
  69. A B : Ne les font-ils.
  70. Eccles. IX, 4.
  71. Imp. : Que ne Nemo.
  72. Marci XIII, 32.
  73. inanimus.
  74. Ad Ephesios V, 6.
  75. Levit. XXVI, 37.
  76. B répète : besongner.
  77. Johannis IX, 4.
  78. B ajoute : Finis.