Livre:Berlioz - Mémoires, 1870.djvu

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TitreMémoires de Hector Berlioz Voir l'entité sur Wikidata
AuteurHector Berlioz Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionMichel Lévy frères, éditeurs
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1870
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TABLE

Chap. Pages

  
 1
I. — 
La Côte Saint-André. — Ma première communion. — Première impression musicale 
 5
II. — 
Mon père. — Mon éducation littéraire. — Ma passion pour les voyages. — Virgile. — Première secousse poétique 
 7
III. — 
Meylan. — Mon oncle. — Les brodequins roses. — L’hamadryade du Saint-Eynard. — L’amour dans un cœur de douze ans 
 10
IV. — 
Premières leçons de musique, données par mon père. — Mes essais en composition. — Études ostéologiques. — Mon aversion pour la médecine. — Départ pour Paris 
 12
V. — 
Une année d’études médicales. — Le professeur Amussat. — Une représentation à l’Opéra. — La bibliothèque du Conservatoire. — Entraînement irrésistible vers la musique. — Mon père se refuse à me laisser suivre cette carrière. — Discussions de famille 
 19
VI. — 
Mon admission parmi les élèves de Lesueur. — Sa bonté. — La chapelle royale 
 23
VII. — 
Un premier opéra. — M. Andrieux. — Une première messe. — M. de Chateaubriand 
 26
VIII. — 
A. de Pons. — Il me prête 1,200 francs. — On exécute ma messe une première fois dans l’église de Saint-Roch. — Une seconde fois dans l’église de Saint-Eustache. — Je la brûle 
 29
IX. — 
Ma première entrevue avec Cherubini. — Il me chasse de la bibliothèque du Conservatoire 
 32
X. — 
Mon père me retire ma pension. — Je retourne à la Côte. — Les idées de province sur l’art et sur les artistes. — Désespoir. — Effroi de mon père. — Il consent à me laisser revenir à Paris. — Fanatisme de ma mère. — Sa malédiction 
 34
XI. — 
Retour à Paris. — Je donne des leçons. — J’entre dans la classe de Reicha au Conservatoire. — Mes dîners sur le Pont-Neuf. — Mon père me retire de nouveau ma pension. — Opposition inexorable. — Humbert Ferrand. — R. Kreutzer 
 37
XII. — 
Je concours pour une place de choriste. — Je l’obtiens — A. Charbonnel. — Notre ménage de garçons 
 40
XIII. — 
Premières compositions pour l’orchestre. — Mes études à l’Opéra. — Mes deux maîtres, Lesueur et Reicha 
 44
XIV. — 
Concours à l’Institut. — On déclare ma cantate inexécutable. — Mon adoration pour Gluck et Spontini. — Arrivée de Rossini. — Les dilettanti. — Ma fureur. — M. Ingres 
 47
XV. — 
Mes soirées à l’Opéra. — Mon prosélytisme. — Scandales. — Scène d’enthousiasme. — Sensibilité d’un mathématicien 
 49
XVI. — 
Apparition de Weber à l’Odéon. — Castilblaze. — Mozart. — Lachnith. — Les arrangeurs. — Despair and die ! 
 56
XVII. — 
Préjugé contre les opéras écrits sur un texte italien. — Son influence sur l’impression que je reçois de certaines œuvres de Mozart 
 63
XVIII. — 
Apparition de Shakespeare. — Miss Smithson. — Mortel amour. — Léthargie morale. — Mon premier concert. — Opposition comique de Cherubini. — Sa défaite. — Premier serpent à sonnettes 
 65
XIX. — 
Concert inutile. — Le chef d’orchestre qui ne sait pas conduire. — Les choristes qui ne chantent pas 
 71
XX. — 
Apparition de Beethoven au Conservatoire. — Réserve haineuse des maîtres français. — Impression produite par la symphonie en ut mineur sur Lesueur. — Persistance de celui-ci dans son opinion systématique 
 73
XXI. — 
Fatalité. — Je deviens critique 
 76
XXII. — 
Le concours de composition musicale. — Le règlement de l’Académie des Beaux-Arts. — J’obtiens le second prix 
 79
XXIII. — 
L’huissier de l’Institut. — Ses révélations 
 84
XXIV. — 
Toujours miss Smithson. — Une représentation à bénéfice. — Hasards cruels 
 90
XXV. — 
Troisième concours à l’Institut. — On ne donne pas de premier prix. — Conversation curieuse avec Boïeldieu. — La musique qui berce 
 92
XXVI. — 
Première lecture du Faust de Gœthe. — J’écris ma symphonie fantastique. — Inutile tentative d’exécution 
 95
XXVII. — 
J’écris une fantaisie sur la Tempête de Shakespeare. — Son exécution à l’Opéra 
 98
XXVIII. — 
Distraction violente. — F. H***. — Mademoiselle M*** 
 99
XXIX. — 
Quatrième concours à l’Institut. — J’obtiens le prix. — La révolution de Juillet. — La prise de Babylone. — La Marseillaise. — Rouget de Lisle 
 100
XXX. — 
Distribution des prix à l’Institut. — Les académiciens. — Ma cantate de Sardanapale. — Son exécution. — L’incendie qui ne s’allume pas. — Ma fureur. — Effroi de madame Malibran 
 105
XXXI. — 
Je donne mon second concert. — La symphonie fantastique. — Liszt vient me voir. — Commencement de notre liaison. — Les critiques parisiens. — Mot de Cherubini. — Je pars pour l’Italie 
 109
XXXII. — 
Voyage en Italie. — De Marseille à Livourne. — Tempête. — De Livourne à Rome. — L’Académie de France à Rome 
 112
XXXIII. — 
Les pensionnaires de l’Académie. — Félix Mendelssohn 
 118
XXXIV. — 
Drame. — Je quitte Rome. — De Florence à Nice. — Je reviens à Rome. — Il n’y a personne de mort 
 120
XXXV. — 
Les théâtres de Gênes et de Florence. — I Montecchi ed i Capuletti de Bellini. — Roméo joué par une femme. — La Vestale de Paccini. — Licinius joué par une femme. — L’organiste de Florence. — La fête del Corpus Domini. — Je rentre à l’Académie 
 127
XXXVI. — 
La vie de l’Académie. — Mes courses dans les Abruzzes. — Saint-Pierre. — Le spleen. — Excursions dans la campagne de Rome. — Le carnaval. — La place Navone 
 132
XXXVII. — 
Chasses dans les montagnes. — Encore la plaine de Rome. — Souvenirs virgiliens. — L’Italie sauvage. — Regrets. — Les bals d’osteria. — Ma guitare 
 140
XXXVIII. — 
Subiaco. — Le couvent de Saint-Benoît. — Une sérénade. — Civitella. — Mon fusil. — Mon ami Crispino 
 148
XXXIX. — 
La vie du musicien à Rome. — La musique dans l’église de Saint-Pierre. — La chapelle Sixtine. — Préjugé sur Palestrina. — La musique religieuse moderne dans l’église de Saint-Louis. — Les théâtres lyriques. — Mozart et Vaccaï. — Les pifferari. — Mes compositions à Rome 
 149
XL. — 
Variétés de spleen. — L’isolement 
 157
XLI. — 
Voyage à Naples. — Le soldat enthousiaste. — Excursion à Nisita. — Les lazzaroni. — Ils m’invitent à dîner. — Un coup de fouet. Le théâtre San Carlo. — Retour pédestre à Rome, à travers les Abruzzes. — Tivoli. — Encore Virgile 
 160
XLII. — 
L’influenza à Rome. — Système nouveau de philosophie. — Chasses. — Les chagrins de domestiques. — Je repars, pour la France 
 172
XLIII. — 
Florence. — Scène funèbre. — La bella sposina. — Le Florentin gai. — Lodi. — Milan. — Le théâtre de la Cannobiana. — Le public. — Préjugés sur l’organisation musicale des Italiens. — Leur amour invincible pour les platitudes brillantes et les vocalisations. — Rentrée en France 
 175
XLIV. — 
La censure papale. — Préparatifs de concerts. — Je reviens à Paris. — Le nouveau théâtre anglais. — Fétis. — Ses corrections des symphonies de Beethoven. — On me présente à miss Smithson. — Elle est ruinée. — Elle se casse la jambe. — Je l’épouse 
 182
XLV. — 
Représentation à bénéfice et concert au Théâtre-Italien. — Le quatrième acte d’Hamlet. — Antony. — Défection de l’orchestre. — Je prends ma revanche. — Visite de Paganini. — Son alto. — Composition d’Harold en Italie. — Fautes du chef d’orchestre Girard. — Je prends le parti de toujours conduire l’exécution de mes ouvrages. — Une lettre anonyme 
 190
XLVI. — 
M. de Gasparin me commande une messe de Requiem. — Les directeurs des beaux-arts. — Leurs opinions sur la musique. — Manque de foi. — La prise de Constantine. — Intrigues de Cherubini. — Boa constrictor. — On exécute mon Requiem. La tabatière d’Habeneck. — On ne me paye pas. — On veut me vendre la croix. — Toutes sortes d’infamies. — — Ma fureur. — Mes menaces. — On me paye 
 196
XLVII. — 
Exécution du Lacrymosa de mon Requiem à Lille. — Petite couleuvre pour Cherubini. — Joli tour qu’il me joue. — Venimeux aspic que je lui fais avaler. — Je suis attaché à la rédaction du Journal des Débats. — Tourments que me cause l’exercice de mes fonctions de critique 
 204
XLVIII. — 
L’Esmeralda de mademoiselle Bertin. — Répétitions de mon opéra de Benvenuto Cellini. — Sa chute éclatante. — L’ouverture du Carnaval romain. — Habeneck. — Duprez. — Ernest Legouvé 
 209
XLIX. — 
Concert du 16 décembre 1838. — Paganini, sa lettre, son présent. — Élan religieux de ma femme. — Fureurs, joies et calomnies. — Ma visite à Paganini. — Son départ. — J’écris Roméo et Juliette. — Critiques auxquelles cette œuvre donne lieu 
 215
L. — 
M. de Rémusat me commande la Symphonie funèbre et triomphale. — Son exécution. — Sa popularité à Paris. — Mot d’Habeneck. — Adjectif inventé pour cet ouvrage par Spontini. — Son erreur à propos du Requiem 
 221
LI. — 
Voyages et concerts à Bruxelles. — Quelques mots sur les orages de mon intérieur. — Les Belges. — Zanni de Ferranti. — Fétis. — Erreur grave de ce dernier. — Festival organisé et dirigé par moi à l’Opéra de Paris. — Cabale des amis d’Habeneck déjouée. — Esclandre dans la loge de M. de Girardin. — Moyen de faire fortune. — Je pars pour l’Allemagne 
 224
  
À M. A. Morel, première lettre, Bruxelles, Mayence, Francfort 
 231
  
À M. Girard, deuxième lettre, Stuttgard, Hechingen 
 241
  
À Liszt, troisième lettre, Manheim, Weimar 
 251
  
À Stephen Heller, quatrième lettre, Leipzig 
 259
  
À Ernst, cinquième lettre, Dresde 
 270
  
À Henri Heine, sixième lettre, Brunswick, Hambourg 
 278
  
À mademoiselle Louise Bertin, septième lettre. Berlin 
 288
  
À M. Habeneck, huitième lettre, Berlin 
 296
  
À M. Desmarest, neuvième lettre, Berlin 
 306
  
À M. G. Osborne, dixième lettre, Hanovre, Darmstadt 
 317
LII. — 
Je mets en scène le Freyschütz à l’Opéra. — Mes récitatifs, les chanteurs. — Dessauer. — M. Léon Pillet. — Ravages faits par ses successeurs dans la partition de Weber 
 327
LIII. — 
Je suis forcé d’écrire des feuilletons. — Mon désespoir. — Velléités de suicide. — Festival de l’Industrie. — 1,022 exécutants. — 32,000 francs de recette. — 800 francs de bénéfice. — M. Delessert préfet de police. — Établissement de la censure des programmes de concert. — Les percepteurs du droit des hospices. — Le docteur Amussat. — Je vais à Nice. — Concerts dans le cirque des Champs-Élysées 
 332
  
Deuxième voyage en Allemagne, l’Autriche, la Bohême et la Hongrie. — À M. Humbert Ferrand, première lettre, Vienne 
 344
  
À M. Humbert Ferrand, deuxième lettre, Vienne (suite) 
 352
  
À M. Humbert Ferrand, troisième lettre, Pesth 
 362
  
À M. Humbert Ferrand, quatrième lettre, Prague 
 371
  
À M. Humbert Ferrand, cinquième lettre, Prague (suite) 
 380
  
À M. Humbert Ferrand, sixième lettre, Prague (suite et fin) 
 387
LIV. — 
Concert à Breslau. — Ma légende de la Damnation de Faust. — Le livret. — Les critiques patriotes allemands. — Exécution de la Damnation de Faust à Paris. — Je me décide à partir pour la Russie. — Bonté de mes amis 
 396
LV. — 
Voyage en Russie. — Le courrier prussien. — M. Nernst. — Les traîneaux. — La neige. — Stupidité des corbeaux. — Les comtes Wielhorski. — Le général Lwoff. — Mon premier concert. — L’Impératrice. Je fais fortune. — Voyage à Moscou. — Obstacle grotesque. — Le grand maréchal. — Les jeunes mélomanes. — Les canons du Kremlin 
 401
LVI. — 
Retour à Saint-Pétersbourg. Deux exécutions de Roméo et Juliette au Grand-Théâtre. — Roméo dans son cabriolet. — Ernst. — Nature de son talent. — L’action rétroactive de la musique 
 416
  
Suite du voyage en Russie. — Mon retour. — Riga. — Berlin. — L’exécution de Faust. — Un dîner à Sans-Souci. — Le roi de Prusse 
 422
LVII. — 
Paris. — Je fais nommer à la direction de l’Opéra MM. Roqueplan et Duponchel. — Leur reconnaissance. — La Nonne sanglante. — Je pars pour Londres. — Jullien, directeur de Drury-Lane. — Scribe. — Il faut que le prêtre vive de l’autel 
 426
LVIII. — 
Mort de mon père. — Nouveau voyage à la Côte-Saint-André. — Excursion à Meylan. — Accès furieux d’isolement. — Encore la Stella del monte. — Je lui écris 
 433
LIX. — 
Mort de ma sœur. — Mort de ma femme. — Ses obsèques. — L’Odéon. — Ma position dans le monde musical. — La presque impossibilité pour moi de braver au théâtre les haines que j’ai suscitées. — La cabale de Covent-Garden. — La coterie du Conservatoire de Paris. — La symphonie rêvée et oubliée. — Le charmant accueil qu’on me fait en Allemagne. — Le roi de Hanovre. — Le duc de Weimar. — L’intendant du roi de Saxe. — Mes adieux 
 442
Post-scriptum. — Lettre adressée avec le manuscrit de mes mémoires à M*** qui me demandait des notes pour écrire ma biographie 
 457
  
Postface. — J’ai fini. — L’Institut. — Concerts du palais de l’Industrie. — Jullien. — Le diapason de l’éternité. — Les Troyens. — Représentation de cet ouvrage à Paris. — Béatrice et Bénédict. — Représentations de cet ouvrage à Bade et à Weimar. — Excursion à Lœwenberg. — Les concerts du Conservatoire. — Festival de Strasbourg. — Mort de ma seconde femme. — Dernières histoires de cimetière. — Au diable tout ! 
  467
  
Voyage en Dauphiné — Deuxième pèlerinage à Meylan. — Vingt-quatre heures à Lyon. — Je revois madame F******. — Convulsions de cœur 
 483



MÉMOIRES
DE
HECTOR BERLIOZ
MEMBRE DE L’INSTITUT DE FRANCE
COMPRENANT
SES VOYAGES EN ITALIE, EN ALLEMAGNE, EN RUSSIE ET EN ANGLETERRE
1803 — 1865
Avec un beau portrait de l’Auteur



PARIS
MICHEL LÉVY FRÈRES, ÉDITEURS
RUE VIVIENNE, 2 BIS, ET BOULEVARD DES ITALIENS, 15
A LA LIBRAIRIE NOUVELLE
MDCCCLXX