Livre:Manuel d’Épictète, trad. Guyau, 1875.djvu

éléments Wikidata
La bibliothèque libre.
TitreManuel d’Épictète Voir l'entité sur Wikidata
AuteurÉpictète Voir l'entité sur Wikidata, Arrien Voir l'entité sur Wikidata, Marc Aurèle Voir l'entité sur Wikidata, Jean-Marie Guyau Voir l'entité sur Wikidata
TraducteurJean-Marie Guyau Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionLibrairie Ch. Delagrave
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1875
BibliothèqueUniversity of Ottawa - Internet Archive
Fac-similésdjvu
AvancementTerminé

Pages

Étude sur la philosophie d’Épictète

Vie d’Épictète

Argument analytique du Manuel

Manuel d’Épictète

Éclaircissements

Pensées d’Épictète rapportées par Stobée

Extraits des pensées de Marc Aurèle

Table des matières


I
— Distinction entre ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas 
 5
II
— Les choses qui ne dépendent pas de nous ne sont ni à désirer ni à craindre 
 7
III
— On doit examiner la nature de chaque objet dont on se sert 
 9
IV
— On doit examiner la nature de chaque action qu’on entreprend 
 10
V
— Ce qui seul peut nous troubler, ce sont nos opinions 
 11
VI
— Ce qui seul doit nous rendre fiers, c’est le bon usage que nous faisons de nos opinions. 
 12
VII
— Tout ce qui n’est pas nous ne doit être pour nous qu’un accessoire 
 13
VIII
— Savoir céder à la nécessité, c’est être libre. 
 14
IX
— L’homme ne peut rencontrer d’autre obstacle que lui-même 
 15
X
— À chaque idée ou image qui nous vient du dehors, correspond en nous une faculté capable d’en faire usage 
 15
XI
— Perdre et rendre 
 16
XII
— Le renoncement à toutes les choses extérieures est le prix dont s’achète le bonheur. 
 16
XIII
— Paraître et être 
 17


XIV
— On peut devenir indépendant de tout homme en devenant maître de ses désirs sur toutes choses 
 18
XV
— La vie comparée à un banquet 
 19
XVI
— On doit manifester la pitié sans l’éprouver 
 20
XVII
— La vie humaine comparée à un théâtre. 
 21
XVIII
— Les présages 
 22
XIX
— Comment on peut être invincible. Placer le bien en nous seuls est le moyen de supprimer en nous l’envie 
 22
XX
— Nul outrage ne peut nous venir d’autrui, mais de nous-mêmes 
 23
XXI
— Ce que nous devons avoir sans cesse devant les yeux 
 23
XXII
— S’attacher au bien sans craindre la raillerie 
 24
XXIII
— S’attacher au bien sans désirer la louange 
 24
XXIV
— S’attacher à ce qui dépend de nous, c’est être vraiment utile à nous-mêmes et aux autres, à nos amis, à la patrie 
 25
XXV
— De quel prix on achète les biens extérieurs 
 27
XXVI
— Comment on peut connaître la loi de la nature 
 28
XXVII
— Le but du monde 
 29
XXVIII
— La prostitution de l’âme 
 29
XXIX
— Comment il faut examiner une action avant de l’entreprendre 
 30
XXX
— La mesure des devoirs 
 32
XXXI
— Le vrai culte envers la divinité 
 33
XXXII
— Comment il faut consulter les oracles 
 35
XXXIII
— D’un type idéal de conduite 
 37
XXXIV
— Comment on peut lutter contre le plaisir 
 41
XXXV
— Pourquoi craindre d’être vu en agissant ? 
 42
XXXVI
— Il faut séparer dans notre conduite le corps de l’âme comme la nuit du jour 
 42
XXXVII
— Ne pas changer notre rôle 
 43
XXXVIII
— Le faux pas 
 43
XXXIX
— La mesure de la propriété 
 43
XL
— De l’éducation des femmes 
 44
XLI
— C’est sottise que de prendre trop soin de son corps 
 45
XLII
— Être doux envers ceux qui font mal, car ils se trompent 
 46
XLIII
— Les deux anses 
 47
XLIV
— Ne pas confondre soi et ce qui est à soi. 
 47
XLV
— Ne pas juger la conduite d’autrui 
 48
XLVI
— Ne pas se dire philosophe, mais l’être 
 49
XLVII
— Être austère, sans s’en vanter 
 50
XLVIII
— Signes auxquels on reconnaît l’homme ordinaire et le philosophe 
 51
XLIX
— Commenter les philosophes n’est pas philosopher 
 52
L
— Les lois morales 
 53
LI
— Pratique et théorie 
 53
LII
— Les trois parties de la philosophie 
 54
LIII
— Sentences diverses 
 55
EXTRAITS DES ENTRETIENS D’ÉPICTÈTE.

I
— Où est le bien 
 59
II
— Portrait du philosophe 
 60
III
— Des choses qui sont en notre pouvoir et de celles qui n’y sont pas. — Le navigateur et les vents — Mort de Latéranus. — Mot de Thraséas. — Agrippinus partant en exil 
 61
IV
— Comment on peut conserver sa dignité en toutes choses. — Priscus Helvidius et Vespasien 
 65
V
— Quelles conclusions peut-on tirer de ce que Dieu est le père des hommes 
 67
VI
— Du progrès dans la philosophie. — Comment se font les tragédies. — À quoi servent les philosophes 
 68
VII
— Contre les sceptiques 
 70
VIII
— On court à Olympie contempler les jeux, et on oublie de se contempler et de se connaître soi-même 
 70
IX
— Des conséquences que l’on peut tirer de notre parenté avec Dieu 
 72
X
— Du suicide volontaire 
 73
XI
— Contre ceux qui à Rome cherchent les honneurs 
 75
XII
— De l’amour des siens 
 76
XIII
— Les esclaves sont nos frères 
 78
XIV
— À quoi s’engage la philosophie. 
 78
XV
— L’hymne à Dieu 
 79
XVI
— La maladie et la mort 
 80
XVII
— La philosophie comparée à l’art des devins 
 81
XVIII
— Il ne faut pas s’emporter contre ceux qui font mal. — La lampe d’Épictète — Le véritable athlète 
 82
XIX
— Que devons-nous être à l’égard du tyran — Les valets du tyran. — Le prêtre d’Auguste 
 84
XX
— Comment la raison se contemple elle-même. — Comment nous devrions examiner nos représentations. — La cécité du cœur et celle de l’intelligence 
 86
XXI
— Contre ceux qui veulent se faire admirer 
 87
XXII
— Comment doit-on lutter contre les circonstances difficiles ? — Le témoignage de Diogène. — Riches et pauvres. 
 87
XXIII
— Le point faible 
 89
XXIV
— De la force morale. — Le philosophe dans la prison. — Les gladiateurs demandant à combattre 
 90
XXV
— Des rôles que nous jouons dans la comédie humaine 
 92
XXVI
— Que faut-il avoir présent à l’esprit les circonstances difficiles ? 
 95
XXVII
— Être à la fois plein d’assurance et de précaution. — L’affranchissement civil et l’affranchissement moral 
 95
XXVIII
— Des conseils au sujet des événements extérieurs 
 97
XXIX
— Comment on peut à l’élévation de l’esprit unir le soin de ses affaires 
 97
XXX
— La mort est la maturité de la vie 
 99
XXXI
— Comment faut-il consulter les oracles 
 101
XXXII
— De la nature du bien. — Ce qui fait l’infériorité de l’âne par rapport à nous. — Du Dieu que nous portons en nous. — La Minerve de Phidias — L’homme remis par Dieu en garde à lui-même 
 102
XXXIII
— On n’est pas de force à remplir son rôle d’homme, et l’on se charge encore de celui de philosophe 
 104
XXXIV
— Comment de nos différents titres on peut déduire nos différents devoirs 
 106
XXXV
— Quel est le commencement de la philosophie ? — Nous avons tous des notions naturelles du bien et du mal; ce qui nous manque, c’est de savoir appliquer ces notions. — La balance du philosophe 
 108
XXXVI
— Des discussions 
 110
XXXVII
— De l’inquiétude 
 111
XXXVIII
— La vie humaine 
 112
XXXIX
— Sur les gens qui persistent obstinément dans ce qu’ils ont décidé 
 113
XL
— Nous ne nous préparons pas aux jugements que nous portons sur les choses bonnes et mauvaises. — Le joueur de harpe. — Ce dont il faut avoir peur. — Hercule. — Les monstres que chacun de nous porte en lui-même 
 115
XLI
— Utilité de la philosophie. — La philosophie et la médecine 
 119
XLII
— Les habitudes. — Comment elles se fortifient et s’affaiblissent 
 120
XLIII
— Exhortation 
 122
XLIV
— Des choses dont on ne convient pas 
 123
XLV
— De l’amitié. — Le sage seul peut aimer. — Étéocle et Polynice. — Le collier d’Ériphyle. — Une parole de Platon 
 124
XLVI
— Le talent de la parole. — Mépriser l’art de la parole est l’effet d’une impiété et d’une crainte ; y accorder trop d’importance est sottise 
 128
XLVII
— Nécessité de la logique 
 130
XLVIII
— De la véritable beauté 
 130
XLIX
— Comment on doit apprendre la philosophie 
 132
L
— De ce qui sert de matière à l’homme de bien et du principal but de ses efforts 
 134
LI
— Contre ceux qui, au théâtre, donnent des marques inconvenantes de faveur 
 135
LII
— À un rhéteur qui s’en allait à Rome pour un procès 
 136
LIII
— Comment doit-on supporter les maladies ? 
 138
LIV
— « Ils viennent des dieux » 
 140
LV
— De l’exercice. — Comment on peut détruire en soi les mauvaises habitudes 
 141
LVI
— Qu’est-ce que c’est que l’abandon ? Et qu’est-ce qui est abandonné ? — La véritable paix. — La mort et l’immortalité 
 142
LVII
— Çà et là 
 144
LVIII
— Qu’il faut y regarder à deux fois avant de se laisser entraîner à une liaison 
 145
LIX
— Justification de la Providence 
 146
LX
— Il ne faut pas se troubler des nouvelles 
 147
LXI
— De l’homme ordinaire et du philosophe 
 148
LXII
— On peut tirer profit de toutes les choses extérieures. — L’erreur et le mal. — La baguette de Mercure 
 148
LXIII
— Le philosophe cynique. Ses devoirs et son rôle dans l’humanité 
 150
LXIV
— Sur ceux qui font des lectures publiques ou soutiennent des discussions pour le plaisir de se montrer 
 158
LXV
— De la liberté. — La liberté pour les animaux. — La liberté pour l’homme. — Les compagnons de route du sage 
 161
LXVI
— La vraie liberté. — Diogène et Socrate 
 168
LXVII
— Ne s’oublier jamais 
 171
LXVIII
— Contre les gens querelleurs et méchants. — La marque des monnaies et la marque des hommes. — La ville forte 
 171
LXIX
— L’examen de conscience du courtisan 
 174
LXX
— Comment on s’élève au-dessus de la crainte. — Les enfants et les gardes du tyran. — La distribution des raisins et des figues. — La véritable loi 
 175
LXXI
— Sur ceux qui se hâtent trop de jouer le rôle de philosophes. — De l’opinion vulgaire sur la philosophie et les philosophes. — La profession et le costume — Comment Euphrate fit l’apprentissage de la philosophie. — Le germe et l’épi 
 177
LXXII
— De la propreté 
 181
LXXIII
— De l’attention 
 182