Livre:Sainte-Beuve - Portraits contemporains, t2, 1869.djvu
Titre | Portraits contemporains |
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Volume | Tome deuxième |
Auteur | Charles Augustin Sainte-Beuve |
Maison d’édition | Michel Lévy frères, éditeurs |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1869 (nouv. éd.) |
Bibliothèque | Internet Archive |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Série |
Pages
M. Ballanche | |||||
M. de Vigny | |||||
Mme Desbordes-Valmore. |
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Les Pleurs, 1833 | |||
Pauvres Fleurs, 1839 | |||||
En 1842 | |||||
M. Tastu | |||||
Alfred de Musset. |
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En 1833 | |||
La Confession d’un Enfant du siècle, 1836 | |||||
En 1840 | |||||
Brizeux et Auguste Barbier : Marie. — Iambes | |||||
Auguste Barbier : Il Pianto | |||||
Paul Huet le paysagiste, en 1830 | |||||
Jules Lefèvre : Confidences, poésies | |||||
M. Louis de Carné : Vues sur l’histoire contemporaine, 1833 | |||||
Mémoires de Mirabeau, avec une Étude de M. Victor Hugo | |||||
M. Edgar Quinet : Napoléon, poëme, 1836 | |||||
M. de Balzac : La Recherche de l’Absolu, 1834 | |||||
M. Villemain, en 1836 | |||||
M. Ulric Guttinguer : Arthur, roman, 1836 | |||||
M. de Montalembert : Histoire de sainte Élisabeth de Hongrie | |||||
De la Littérature industrielle | |||||
Dix ans après en littérature | |||||
Pensées et Fragments | |||||
Appendice sur le Cinq-Mars de M. de Vigny |
— Au tome Ier, à la page 75, de l’article sur Chateaubriand, une correction
est à faire pour l’entière exactitude. J’y dis que ma première visite
et ma présentation par M. Villemain à M. de Chateaubriand eut lieu dans
l’été de 1829 à l’hospice Marie-Thérèse, et que nous y trouvâmes M. de
Chateaubriand « qui allait partir pour son ambassade de Rome. » Il faut
mettre : « qui allait partir, ou plutôt repartir pour son ambassade de
Rome. » — En effet, M. de Chateaubriand était ambassadeur dès l’année
précédente (1828) ; mais il était venu passer quelque temps à Paris dans
l’été de 1829, et il comptait repartir pour Rome après un voyage dans les
Pyrénées. C’est à ce moment de passage que je le vis. Il ne retourna
point cependant à Rome, l’avénement du ministère Polignac l’ayant surpris
pendant son séjour dans le Midi.
— A la page 287 du même tome Ier, article Lamartine, j’ai fait naître le
grand poëte en octobre 1791. Vapereau donne pour date de naissance le
21 octobre 1790. Nos grands hommes vivants, quand ils ne se rajeunissaient
pas, se laissaient volontiers rajeunir, et pas un ne m’a relevé quand il m’est
arrivé de me tromper sur ce point (Vigny, Villemain).
— Au tome II, page 154, quelques mots sont tombés à la fin des lignes dans une lettre citée de Mme Valmore ; il faut les rétablir ainsi :
Ligne 15 : « Tu portais un beau châle de laine à palmes, et je portais le pareil, etc. »
Ligne 21 : « Le malheur, le luxe, etc. »
Ligne 22 : « Pour nos cœurs de feu, etc. »
Ligne 25 : « Aimes-tu les rubans, etc. »