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Livre:Verhaeren - Les Heures du soir, 1922.djvu

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Titre	Les Heures du Soir
Sous-titre	précédées de Les Heures claires, Les Heures d’après-midi
Auteur	Émile Verhaeren
Maison d’édition	Mercure de France
Lieu d’édition	Paris
Année d’édition	1922
Bibliothèque	Bibliothèque nationale de France
Fac-similés	djvu
Avancement	À valider

Pages

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LES HEURES CLAIRES

Ô LA SPLENDEUR DE NOTRE JOIE

9

QUOIQUE NOUS LE VOYIONS FLEURIR DEVANT NOS YEUX

11

CE CHAPITEAU BARBARE OÙ DES MONSTRES SE TORDENT

13

LE CIEL EN NUIT S’EST DÉPLIÉ

15

CHAQUE HEURE OÙ JE SONGE À TA BONTÉ

17

TU ARBORES PARFOIS CETTE GRÂCE BÉNIGNE

19

OH ! LAISSE FRAPPER À LA PORTE

21

COMME AUX ÂGES NAÏFS JE T’AI DONNÉ MON CŒUR

23

LE PRINTEMPS JEUNE ET BÉNÉVOLE

25

VIENS LENTEMENT T’ASSEOIR

27

COMBIEN ELLE EST FACILEMENT RAVIE

29

AU TEMPS OÙ LONGUEMENT J’AVAIS SOUFFERT

31

ET QU’IMPORTENT ET LES POURQUOIS ET LES RAISONS

33

À CES REINES QUI LENTEMENT DESCENDENT

35

JE DÉDIE À TES PLEURS, À TON SOURIRE

37

JE NOIE EN TES DEUX YEUX MON ÂME TOUT ENTIÈRE

39

POUR NOUS AIMER DES YEUX

41

AU CLOS DE NOTRE AMOUR, L’ÉTÉ SE CONTINUE

43

QUE TES YEUX CLAIRS, TES YEUX D’ÉTÉ

45

DIS-MOI MA SIMPLE ET MA TRANQUILLE AMIE

47

EN CES HEURES OÙ NOUS SOMMES PERDUS

49

OH ! CE BONHEUR

51

VIVONS DANS NOTRE AMOUR ET NOTRE ARDEUR

53

SITÔT QUE NOS BOUCHES SE TOUCHENT

55

POUR QUE RIEN DE NOUS DEUX N’ÉCHAPPE À NOTRE ÉTREINTE

57

BIEN QUE DÉJÀ CE SOIR

59

LE DON DU CORPS, LORSQUE L’ÂME EST DONNÉE

61

FUT-IL EN NOUS UNE SEULE TENDRESSE

63

LE BEAU JARDIN FLEURI DE FLAMMES

65

S’IL ARRIVE JAMAIS

67

LES HEURES D’APRÈS MIDI

L’ÂGE EST VENU, PAS À PAS, JOUR À JOUR

71

ROSES DE JUIN, VOUS LES PLUS BELLES

73

SI D’AUTRES FLEURS DÉCORENT LA MAISON

75

L’OMBRE EST LUSTRALE ET L’AURORE IRISÉE

77

JE T’APPORTE CE SOIR COMME OFFRANDE MA JOIE

79

ASSEYONS-NOUS TOUS DEUX PRÈS DU CHEMIN

81

TRÈS DOUCEMENT, PLUS DOUCEMENT ENCORE

83

DANS LA MAISON OÙ NOTRE AMOUR A VOULU NAÎTRE

85

LE BON TRAVAIL, FENÊTRE OUVERTE

87

TOUTE CROYANCE HABITE AU FOND DE NOTRE AMOUR

89

L’AUBE, L’OMBRE, LE SOIR, L’ESPACE ET LES ÉTOILES

91

C’EST LA BONNE HEURE OÙ LA LAMPE S’ALLUME

93

LES BAISERS MORTS DES DÉFUNTES ANNÉES

95

VOICI QUINZE ANS DÉJÀ QUE NOUS PENSONS D’ACCORD

97

J’AI CRU À TOUT JAMAIS NOTRE JOIE ENGOURDIE

99

TOUT CE QUI VIT AUTOUR DE NOUS

AVEC MES SENS, AVEC MON CŒUR ET MON CERVEAU

LES JOURS DE FRAÎCHE ET TRANQUILLE SANTÉ

JE SUIS SORTI DES BOSQUETS DU SOMMEIL

HÉLAS ! LORSQUE LE PLOMB DES MALADIES

LE CLAIR JARDIN, C’EST LA SANTÉ

C’ÉTAIT EN JUIN, DANS LE JARDIN

ET TE DONNER NE SUFFIT PLUS, TU TE PRODIGUES

Ô LE CALME JARDIN D’ÉTÉ OÙ RIEN NE BOUGE

COMME À D’AUTRES, L’HEURE ET L’HUMEUR

LES BARQUES D’OR DU BEL ÉTÉ

ARDEUR DES SENS, ARDEUR DES CŒURS, ARDEUR DES ÂMES

L’IMMOBILE BEAUTÉ

VOUS M’AVEZ DIT TEL SOIR DES PAROLES SI BELLES

« HEURES DU MATIN CLAIR », « HEURES D’APRÈS-MIDI »

LES HEURES DU SOIR

DES FLEURS FINES ET MOUSSEUSES COMME L’ÉCUME

S’IL ÉTAIT VRAI

LA GLYCINE EST FANÉE ET MORTE EST L’AUBÉPINE

METS TA CHAISE PRÈS DE LA MIENNE

SOIS-NOUS PROPICE ET CONSOLANTE ENCOR, LUMIÈRE

HÉLAS ! LES TEMPS SONT LOIN

LE SOIR TOMBE, LA LUNE EST D’OR

LORSQUE TA MAIN CONFIE

ET MAINTENANT QUE SONT TOMBÉS

QUAND LE CIEL ÉTOILÉ COUVRE NOTRE DEMEURE

AVEC LE MÊME AMOUR QUE TU ME FUS JADIS

LES FLEURS DU CLAIR ACCUEIL

LORSQUE S’ÉPAND SUR NOTRE SEUIL

SI LE SORT NOUS SAUVA DES BANALES ERREURS

NON, MON ÂME JAMAIS DE TOI NE S’EST LASSÉE

QUE NOUS SOMMES ENCORE HEUREUX

SUBIRONS NOUS, HÉLAS ! LE POIDS MORT DES ANNÉES

LES MENUS FAITS, LES MILLE RIENS

VIENS JUSQU’À NOTRE SEUIL RÉPANDRE

QUAND NOTRE JARDIN CLAIR

AVEC MES VIELLES MAINS

SI NOS CŒURS ONT BRÛLÉ EN DES JOURS EXALTANTS

ET CE RUGUEUX HIVER OÙ LE SOLEIL FLOTTANT

OH ! TES SI DOUCES MAINS

LORSQUE TU FERMERAS MES YEUX À LA LUMIÈRE

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