Livre:Whitman - Poèmes, 1914, trad. Bazalgette.djvu

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TitrePoèmes de Walt Whitman
AuteurWalt Whitman Voir l'entité sur Wikidata
TraducteurLéon Bazalgette Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionÉditions de l’Effort Libre, F. Rieder et Cie
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1914
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Pages

TABLE


Note du Traducteur 
 I
Mon Legs 
 3
En commençant mes études 
 5
En tournées à travers les États 
 5
J’entends chanter l’Amérique 
 6
Ne me fermez pas vos portes 
 7
Une femme m’attend 
 8
Sortie de la foule, océan qui roule 
 11
Combien de temps fûmes-nous trompés, nous deux 
 12
Je vous ai entendus, doux et solennels chants de l’orgue 
 14
Pour toi, ô Démocratie 
 14
Chroniqueurs des âges futurs 
 15
Vous ne trouverez ici que des racines 
 16
Cité d’orgies 
 17
À un étranger 
 18
En ce moment où je suis seul 
 19
En fendant de la main l’herbe des prairies 
 20
Débordant de vie à cette heure 
 21
Sur le bac de Brooklyn 
 22
Un chant de joies 
 33
À vous 
 45
À la frégate 
 49
Aux riches qui donnent 
 50
Cité des vaisseaux 
 51
L’étrange veillée qu’une nuit j’ai passée 
 52
Le panseur de plaies 
 54
Donnez-moi le splendide soleil silencieux 
 59
Ô gars des prairies au visage tanné 
 63
Réconciliation 
 63
Il y avait une fois un enfant qui sortait chaque jour 
 64
La morgue 
 67
Cet engrais 
 68
À un révolutionnaire d’Europe vaincu 
 72
De derrière ce masque 
 74
La voix 
 76
À celui qui fut crucifié 
 78
À une fille publique 
 79
Miracles 
 80
Que suis-je, après tout 
 81
Cosmos 
 82
Qui veut apprendre ma leçon entière 
 83
Toujours cette musique autour de moi 
 85
Oh toujours vivre et toujours mourir 
 86
À quelqu’un qui va bientôt mourir 
 87
L’invocation suprême 
 88
Toi, globe là-haut 
 89
Visages 
 91
À une locomotive en hiver 
 97
Mannahatta 
 99
Tout est vérité 
 101
Excelsior 
 102
Pensées 
 104
Intermédiaires 
 105
Esprit qui as façonné cette nature 
 106
Au soleil couchant 
 107
Au moment où ils tirent à leur fin 
 111
Adieu ! 
 112
Hautaines tes lèvres, rauque ta voix, ô mer 
 117
Remerciements dans ma vieillesse 
 118
Vous n’êtes pas, ô mes chants, que de maigres rameaux 
 120
Après le souper et la causerie 
 121
À la brise du couchant 
 122
L’ordinaire 
 123