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III
OÙ LE NOTAIRE DÉFEND SA PEAU AVEC PLUS DE SUCCÈS



Un homme heureux sans restriction, c’était le cocher d’Ayvaz-Bey. Ce vieux gamin de Paris fut peut-être moins sensible au pourboire de cinquante francs qu’au plaisir d’avoir conduit son bourgeois à la victoire.

— Excusez ! dit-il au bon Ayvaz, voilà comme vous arrangez les personnes ? C’est bon à savoir. Si jamais je vous marche sur le pied,