Page:Ackermann - Contes et Poésies, 1863.djvu/241

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

IV

L’Amour n’use jamais dans ses raisonnements
      D’une logique bien profonde.
      Un petit pied, des yeux charmants,
   Cela suffit pour convaincre son monde.
      Rétorquez-lui ces arguments !