Page:Alexis de Tocqueville - L'Ancien Régime et la Révolution, Lévy, 1866.djvu/469

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Que la France était le pays où les hommes étaient devenus le plus semblables entre eux. 
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Comme ces hommes si semblables étaient plus séparés qu’ils ne l’avaient jamais été en petits groupes étrangers et indifférents les uns aux autres. 
 123
Comment la destruction de la liberté politique et la séparation des classes ont causé presque toutes les maladies dont l’ancien régime est mort. 
 145
De l’espèce de liberté qui se rencontrait sous l’ancien régime et de son influence sur la Révolution. 
 161
Comment, malgré les progrès de la civilisation, la condition du paysan français était quelquefois pire au dix-huitième siècle qu’elle ne l’avait été au treizième. 
 179





Comment, vers le milieu du dix-huitième siècle, les hommes de lettres devinrent les principaux hommes politiques du pays, et des effets qui en résultèrent. 
 203
Comment l’irréligion avait pu devenir une passion générale et dominante chez les Français du dix-huitième siècle, et quelle sorte d’influence cela eut sur le caractère de la Révolution. 
 219