Page:Allais - Le Boomerang.djvu/41

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espoir ! de la troupe d’un de ces petits théâtres à côté, comme on dit, que leur faible budget n’autorise pas à garnir tous les jours la périphérie de ces bien parisiens cylindres-programmes, mais dont il est facile de faire en peu de temps la complète exploration.

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La sombre nuit que passa Guillaume de la Renforcerie connut un réveil radieux.

On dit qu’il y a un bon Dieu pour les amoureux, ainsi qu’il en existe un autre pour les pochards (le même, peut-être, car quoi de plus comparable à l’ivresse que l’amour ?), rien n’est plus vrai.

Dans son lit, ouvrant le journal que