Page:Anatole France - Les Opinions de Jérôme Coignard.djvu/62

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propres entreprises et qu’il n’en mérite ni la gloire ni la honte ; je veux dire que, si dans la comédie pitoyable de la vie, les princes ont l’air de commander comme les peuples d’obéir, ce n’est qu’un jeu, une vaine apparence, et que réellement ils sont les uns et les autres conduits par une force invisible.