Page:Béranger - Chansons anciennes et posthumes.djvu/653

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Ou dans le sang, mer à flux et reflux,
        Quand ne se plongera-t-on plus ?
                            LE PAPILLON.
        Vieillard, qu’un homme te réponde.
        Au soleil je voltige en paix ;
        Du suc des fleurs je me repais.
        Adieu ! Je plains bien votre monde.

            Toi, le premier que je vois,
            Adieu, papillon des bois !