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la Vie parisienne (première édition de la Comédie humaine, tome IX). Voir la préface de la première édition des Scènes de la vie parisienne, datée de Paris 30 août 1835, tome XXII, page 391.

XLI. Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau, daté de Paris, novembre-décembre 1837. Dédié à Alphonse de Lamartine. Cet ouvrage, destiné d’abord à former les tomes V à X de la quatrième édition des Études philosophiques, parut inédit en décembre 1837, daté de 1838, deux volumes in-8o chez l’éditeur, 5 rue Coq-Héron, c’est-à-dire au bureau du Figaro d’alors, qui, de moitié avec l’Estafette, donnait cet ouvrage en prime à ses abonnés. Il était précédé d’une préface (voir tome XXII, page 495), et divisé comme suit :

1re  partie : César à son apogée.
1. Une altercation de ménage.
2. Antécédents de César Birotteau.
3. Les germes du malheur.
4. Dépenses excessives.
5. Un vrai philosophe, un grand chimiste.
6. Les deux astres.
7. Le bal.
2e  partie : César aux prises avec le malheur.
8. Quelques éclairs.
9. Le coup de foudre.
10. La haute banque.
11. Un ami.
12. Le dernier jour d’un failli.
13. Le dépôt d’un bilan.
3e  partie : Triomphe de César.
14. Histoire générale des faillites.
15. Le plus beau spectacle que l’homme puisse offrir à son semblable.
16. Au ciel.

Toutes ces divisions de chapitres ont disparu en 1839, dans l’édition in-12 publiée par Charpentier, laquelle n’a plus gardé que l’indication et les titres des trois parties ; aujourd’hui, elle n’a plus que les deux premiers de ces sous-titres, changement exécuté lors de l’entrée de César Birotteau dans le tome II de la troisième édition des Scènes de la Vie parisienne (première édition de la Comédie humaine, tome X), où il prit place en 1844, dédié pour la première fois.

XLII. La Maison Nucingen, daté de Paris, novembre 1837. Dédié à madame Zulma Carraud (et non Caraud, comme l’indique par erreur la présente édition). Ce récit, longtemps annoncé sous son titre et sous celui de la Haute Banque, dut paraître d’abord dans la Presse, ainsi que le constate une note qu’on trouvera plus loin dans l’article sur le Curé