Page:Banville - Eudore Cléaz, 1870.djvu/11

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

À MADAME


CAROLINE AUPICK



Ne dois-je pas trembler, Madame, en osant offrir une œuvre si modeste à la mère du grand poète Baudelaire, à l’ambassadrice qui si brillamment représenta à l’étranger la grâce et l’esprit de la France ? La dédicace d’Eudore Cléaz vous dira du moins quels sont pour vous mon humble admiration et mon profond respect.


Th. de Banville.