Page:Beaumarchais - Œuvres choisies, édition 1913, tome 2.djvu/116

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VI

FIGARO, LE COMTE, ROSINE

FIGARO. Ah ! que nous l’avons manqué belle ! il allait me donner le trousseau. La clef de la jalousie n’y est-elle pas ?

ROSINE. C’est la plus neuve de toutes.




Scène VII

FIGARO, LE COMTE, ROSINE, BARTHOLO, revenant

BARTHOLO, à part. Bon ! je ne sais ce que je fais, de laisser ici ce maudit barbier. (A Figaro.) Tenez. (Il lui donne le trousseau.) Dans mon cabinet, sous mon bureau ; mais ne touchez à rien.

FIGARO. La peste ! il y ferait bon, méfiant comme vous êtes ! (A part, en s’en allant.) Voyez comme le Ciel protège l’innocence !




Scène VIII

BARTHOLO, LE COMTE, ROSINE

BARTHOLO, bas, au comte. C’est le drôle qui a porté la lettre au comte.

LE COMTE, bas. il