Page:Bertrand, Gaspard de la nuit, 1920.djvu/70

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Poésies de Scarron.

« Mes crocs aiguisés en pointe ressemblent à la queue de la tarasque, mon linge est aussi blanc qu’une nappe de cabaret, et mon pourpoint n’est pas plus vieux que les tapisseries de la couronne.

« S’imaginerait-on jamais, à voir ma pimpante dégaîne, que la faim, logée dans mon ventre, y tire — la bourelle ! —