Page:Bizet - Lettres à un ami, 1909.djvu/164

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Je reviendrai sur mes pas au point de vue littéraire, mais pour rien au monde, je n’emploierai mon temps et mes forces à l’étude de ce qui me paraît puéril et insensé. Maintenant, je ne demande pas mieux que d’être tout à fait positiviste.— Faites-moi un catalogue des ouvrages à lire.— Mais jamais je ne suivrai Taine dans son parallèle irritant du progrès social et du progrès artistique. C’est faux, archifaux ! — Que faut-il lire de Littré et de Comte ? Faites-moi cette petite note, et merci d’avance.

Est-ce admirable ce livre d’Hugo ?[1]

Vous ne le connaissiez donc pas ?

Comment diable vous l’êtes-vous procuré ?

Votre envoi est supérieur aux précédents. Vous progressez— lentement, peut-être— mais en art, il ne s’agit pas d’aller vite.

1º Entrée d’Yorick insuffisante comme durée et comme accent. Faire entrer un personnage sur le motif de la romance qu’il va chanter, c’est le vieux jeu. Ce n’est pas une idée typique.

2º Oter tous ces accords de fa dièse sous le

  1. Napoléon le Petit.