Page:Bizet - Lettres à un ami, 1909.djvu/178

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Moi aussi, j’y pense, et je n’admets pas qu’un seul homme de cœur ne consacre pas à ces recueils de faits si secs, mais si instructifs, de longues méditations.— Mais avec Myrrha, il faut oublier, absolument.— Allons, vite, une autre entrée, qui sera bonne cette fois, j’en suis sûr.

Ma situation est toujours la même. L’insistance de qui vous savez est devenue plus pressante que jamais.— Il en parle à mes amis et les lâche sur moi.— Il faut que je m’exécute… Au petit bonheur… (Il y a un an, j’aurais dit : À la grâce de Dieu ! ) J’ai passé une soirée avec l’abbé X… Tous farceurs ! … Je ne sais si vous lisez le Diable à quatre. J’y trouve un extrait de Taxile Delord (écrit en 1851), adressé à M. Veuillot et ses amis :

« Vous lirez cet article, charmants confrères, et vous croirez nous avoir mis en colère. Vous nous démangez, voilà tout. Capucins, prêtraillons, pions de séminaire, punaises de chapelle, pucerons de sacristie, se fourrent aujourd’hui partout. Il faut secouer de temps en temps la