Page:Blanc - Histoire de dix ans, tome 2.djvu/499

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lées, allaient en quelque sorte refluer sur elle, pour se convertir en tumulte et en guerre civile. Je raconterai ces malheurs, ces désordres ; et j’ai le désir sincère de ne pas mêler une amertume trop grande à ce récif des souffrances et des humiliations de mon pays. Car les devoirs de l’historien sont austères, et l’on exige de lui qu’il commande le calme à son cœur.





fin du tome deuxième.