Page:Bloy - Les Dernières Colonnes de l’Église, Mercure de France, 1903.djvu/183

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Mon livre est fini et je devrais m’arrêter ici, la matière étant épuisée. Toutefois, comme l’Évangile dure toujours, j’ai pensé qu’après l’outrageante hospitalité des Pharisiens Jésus-Christ se reposerait volontiers dans l’humble demeure d’un Publicain de la Poésie que les Convertis qui se croient élus ne voudraient pas même regarder.