Page:Bourget - Pauvre petite !, 1887.djvu/128

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Pourquoi pas ? répondis-je étonnée de cette question.

— Merci, Jeanne, tu es une vraie amie, toi.

— Ma petite chérie, j’espère que tu n’en as jamais douté ?

— Tu sais, continua-t-elle, dom Pedro ?…

— Allons, encore ?

— Ne m’interromps pas. Dom Pedro m’avait promis, formellement promis, que son absence durerait à peine un mois, et il y en aura bientôt trois qu’il est parti.

— Peut-être n’est-ce pas sa faute,