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l’affaire d’un instant, mon cœur se heurtait si fort à ma poitrine, qu’on en eût facilement compté les battements. En quelques minutes, je fus chez Louise ; je me trouvai à la porte en même temps que Jules.
— Qu’a-t-elle ? lui criai-je.
— Qui, elle ? quoi ? que voulez-vous dire ?
Je vis qu’il ne se doutait de rien, il rentrait simplement du théâtre.
— Louise est malade, je pense, elle vient de me faire demander, et j’accours !
— Quelle admirable amie vous êtes !