Page:Bourget - Pauvre petite !, 1887.djvu/77

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y sont merveilleusement représentés, les esprits légers y trouvent un renouvellement de banalités plus ou moins excitantes ; la science y peut être aussi sévère qu’on le désire ; je ne parlerai point des sens, nos mœurs dégénérées leur faisant la part généreuse !…

Louise effleurait tout et ne jouissait de rien. Seule, la contemplation de dom Pedro la ravissait ; sans lui, tout était mort ; avec lui, tout était vie, et vie souriante et belle !

Et pourtant elle était inquiète ; Mathilde le voyait trop souvent,