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la terreur en macédoine

mettent en selle. Tout trois sont de solides-cavaliers ; les chevaux vigoureux, dociles, bien en main.

Ils marchent d’abord au pas. Puis, se dirigeant sur les montagnes, ils prennent le trot. Et bientôt ils disparaissent, le gros gland du tarbouch sautillant et tire-bouchonnant à chaque foulée, de façon si drôle, au-dessus de leur tête.