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TABLE ANALYTIQUE

— Titres des huit sections de cet ouvrage, p. 268. — Comparaisons de ces titres avec ceux que nous font connaître les Singhalais et les Chinois, ibid. — Des Çikchâpadas ou préceptes de l’enseignement, p. 271. — Examen des titres du livre des douze observances, ibid. — Analyse de ces titres d’après le Vocabulaire pentaglotte, p. 272. — Résumé sur les principales observances imposées aux Religieux, et en particulier sur la retraite, le vêtement et la chasteté, p. 278. — De la vie des Religieux dans les monastères, d’après la légende de Sam̃gha rakchita, et traduction de cette légende, p. 280. — Du caractère moral de ces prescriptions et du Buddhisme en général, p. 299. — Comparaison du Buddhisme et du Brâhmanisme sous ce rapport particulier, p. 300. — Du caractère de la discipline dans les religions où il y a peu de dogmes, p. 301. — Du culte et des objets auxquels il s’adresse chez les Buddhistes, ibid. — Çâkya ne s’est probablement pas occupé du culte, p. 302. — Des cérémonies religieuses et de l’absence des sacrifices sanglants, p. 303. — Des deux seuls objets d’adoration, les statuts de Çâkya et les édifices qui renferment ses reliques, ibid. — Origine de ce culte exposée d’après un fragment traduit de la légende de Rudrâyaṇa, p. 304. — L’image de Çâkya est accompagnée d’un résumé de la foi buddhique, p. 307. — Cette image a pour but de réveiller le souvenir de l’enseignement du Maître, p. 308. — Preuves de cette alliance de la doctrine avec l’enseignement du Maître empruntées aux monuments figurés, ibid. — De la beauté physique du Buddha, ibid. — Changements successifs apportés dans cette partie du culte, et adoration d’autres personnages, tels qu’Avalôkitêçvara, p. 310. — Des reliques et des édifices qui les renferment, Tchâityas et Stûpas, p. 311. — De l’ancienneté du culte des reliques dans le Buddhisme, p. 313. — Il ne peut remonter jusqu’à Çâkya, ibid. — De l’influence que certains usages brâhmaniques ont pu avoir sur l’érection des Stûpas, p. 314. — Le culte des reliques ne peut venir des Brâhmanes, p. 315. — L’adoration des reliques de Çâkya est de l’invention de ses premiers disciples, ibid. — Pourquoi ils ont assimilé Çâkya leur maître à un monarque souverain, p. 316. — Raisons du grand nombre des Stupas qu’on trouve encore dans l’Inde et dans l’Afghanistan ; personnages en l’honneur desquels on élevait de tels mausolées, p. 317. — Observations sur les légendes qui attribuent à Çâkya lui-même l’institution du culte de ses reliques et autres débris, p. 317. — Des changements que le temps a introduits dans cette partie du culte, p. 318.

Examen de la question de savoir s’il n’y a pas, parmi les livres dits inspirés, des légendes où les événements sont postérieurs à l’époque de Çâkya, p. 319. — Existence de ces légendes prouvée par celle du roi Açôka, et traduction de cette légende, ibid. — Traduction d’un autre fragment relatif à ce même roi Açôka, p. 385. — Comparaison succincte des données historiques contenues dans ces deux fragments, p. 388. — Dans l’un il est placé cent ans, dans l’autre deux cents ans après le Buddha, p. 389. — On en conclut qu’il y a parmi les livres canoniques des traités de dates très-diverses, ibid. — Résumé de la troisième section, ibid.


Section IV. Abhidharma ou Métaphysique 
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Abondance des livres relatifs à l’Abhidharma, ibid. — De la Pradjñâ pâramitâ, qui représente l’Abhidharma dans la collection népâlaise, p. 390. — D’autres livres relatifs à la métaphysique, ibid. — Analogie des livres de la Pradjñâ avec les Sûtras développés, p. 391. — De l’étendue et de la forme des livres de la Pradjñâ, ibid. — Des travaux de M. Hodgson et de M. Schmidt sur la philosophie buddhique, p. 392. — Des écoles philosophiques actuelles du Népâl, d’après M. Hodgson, p. 393. — Des Svâbhâvikas, des Âiçvarikas, des Kârmikas et des Yâtnikas, ibid. — Ces diverses écoles s’appuient sur les mêmes textes, qu’elles interprètent différemment, p. 397. — De quatre autres sectes philosophiques, d’après Csoma de Cörös, ibid. ; et d’après l’Abhidharma kôça, p. 399. — Ces quatre sectes sont celles que citent les Brâhmanes réfutant les Buddhistes, p. 401. — Résumé et comparaison de ces deux catégories d’écoles, p. 402. — Du Mahâvastu, livre appartenant à une de ces écoles, p. 403. — Origine de l’Abhidharma ; qu’il a été extrait après coup de la prédication de Çâkyamuni, p. 405. — Les livres de la Pradjñâ pâramitâ sont en partie le développement de la doctrine des Sûtras, p. 406. — Nécessité de remonter jusqu’aux Sûtras pour l’étude de la métaphysique, ibid. — Preuve de