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TABLE ANALYTIQUE DES DEUX MÉMOIRES.

Du Sragdharâ stôtra, p. 496. — Du Pañtcha krama et de son commentaire, p. 497. — Doctrine immorale de cet ouvrage, ibid. — Du Vinaya patra ou Vinaya sûtra, attribué à Nâgârdjuna, p. 498. — De quelques Religieux qui y sont cités, p. 499. — De la glose de Tchandra kîrti, ibid. — Fragment philosophique extrait de cette glose, p. 500. — Appréciation de ce fragment, ibid. — Autre citation empruntée au même ouvrage, p. 501. — Véritable titre du Vinaya sûtra, ibid. — Du recueil intitulé Abhidharma kôça vyâkhyâ, ibid. — Caractère général de ce recueil, p. 502. — Des anciens auteurs de traités métaphysiques d’après cet ouvrage, ibid. — Du recueil nommé Kchudraka, et des Sûtras appelés Arthavargîyas, p. 504. — Extrait du commentaire de l’Abhidharma kôça, p. 505. — Noms de plusieurs Religieux qui y sont cités, ibid. — Du Religieux Vasumitra, p. 506. — Ouvrages et sectes cités dans ce commentaire, p. 507. — Les Religieux kachmiriens, ceux de Tâmraparṇa, et les Vâtsîputtrîyas, cités, p. 508. — Détails sur ces derniers, p. 508. — Nâgârdjuna cité, ibid. — Résumé des matières traitées dans cette glose, p. 510. — Fragment philosophique sur l’absence d’un Dieu créateur, ibid. — L’auteur de cette glose ne cite pas l’école des Âiçvarikas, p. 511 . — Cet ouvrage paraît avoir été composé entre le vie et le xe siècle de notre ère, p. 512.


Section VII. Histoire de la collection du Népâl 
 p. 512

L’histoire de la collection du Népâl n’est écrite dans aucun livre de cette collection, ibid. — Est-il vrai que l’histoire soit plus étrangère encore aux livres buddhiques qu’à ceux des Brâhmanes ? p. 513. — Comment le contraire peut être affirmé, ibid. — Caractère positif des renseignements que renferment les plus authentiques de ces livres, p. 514. — C’est à partir de la propagation du Buddhisme que commence à s’éclaircir l’histoire de l’Inde, ibid. — De la tradition du Buddhisme septentrional, et que les Tibétains en sont dépositaires comme les Népâlais, p. 515. — De la date des traductions tibétaines, ibid. — Des trois conciles par lesquels ont été rédigés les livres canoniques, d’après les Tibétains, p. 516. — C’est probablement le travail du dernier concile que nous possédons, ibid. — Le dernier concile a pu introduire dans le canon quelques livres nouveaux, mais il a dû respecter le plus grand nombre des livres anciens, p. 517. — Cette supposition est confirmée par l’étude précédemment faite des Sûtras, p. 518. — Opinion des Mongols sur la succession des livres et leur triple destination, p. 519. — Les Tantras n’ont été rédigés ni par le premier ni par le second concile, p. 521. — Des temps anciens du Buddhisme septentrional, depuis la mort de Çâkya jusqu’à la quatre centième année après cet événement, ibid. — Du moyen âge du Buddhisme, p. 522. — L’expulsion du Buddhisme hors de l’Inde marque, pour cette croyance, le commencement des temps modernes, ibid. — Caractère des dates précédentes, qui sont purement relatives, et nécessité de fixer le point initial d’où elles parlent, p. 523. — Ce point initial est la mort de Çâkya, sur la date de laquelle les Buddhistes ne sont pas d’accord, ibid. — Nécessité d’étudier le Buddhisme de Ceylan, qui s’est, comme celui du Nord, conservé dans des livres d’origine indienne, ibid. — Intérêt de cette étude sous le point de vue historique, p. 524. — Aperçu des résultats que doit amener la comparaison des deux collections buddhiques, celle du Nord qui se sert du sanscrit, et celle du Sud qui se sert du pâli, ibid.

FIN DE LA TABLE ANALYTIQUE.