Page:Chamfort - Maximes et pensées éd. Bever.djvu/303

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Page XXXIII : Avertissement du premier éditeur. Cette curieuse notice de Ginguené n’a pas été reproduite, mais simplement résumée, au cours de la préface d’Auguis (Œ. C. t. II).

Page XXXVII, ligne 5 : « J’exhorte au nom de l’amitié… ceux qui peuvent posséder ce trésor à ne le pas enfouir… » L’appel adressé par Ginguené ne fut malheureusement point entendu. On n’a rien retrouvé des papiers de Chamfort, sauf ceux qui constituèrent les Maximes et Pensées, les Anecdotes et Caractères, ainsi que les Petits Dialogues Philosophiques et les additions données par M. de Lescure. L’édition publiée par Auguis, en 1824, la plus complète de toutes, ne contient, en effet, outre les ouvrages révélés par Ginguené, que des essais et divers écrits empruntés à des publications collectives, tel l’ancien Mercure de France.

Page 9, ligne 9 : Mandeville. Lisez : Bernard de Mandeville (1670-1733), auteur d’un singulier ouvrage : The Fable of the Bees. (La Fable des Abeilles), publié en 1723.

Page 10, ligne 4 : Cherin. Sans doute Bernard Cherin, généalogiste des ordres du roi, mort à Paris, le 21 mai 1785.

Page 21, ligne 5 (voir également p. 52, ligne 19) : B[o]yle… Le texte des premières éditions porte : Bayle. Nous avons adopté la correction proposée par M. de Lescure. On lit dans les notes des Œuvres Choisies, t. I, p. 269 : « Il s’agit de Robert Boyle, célèbre physicien et chimiste anglais, né à Limore, en Irlande, le 25 janvier 1626, mort à Londres, le