Page:Chapman - Les Fleurs de givre, 1912.djvu/149

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Le souffle qui courait dans les vers de Corneille,
Animant tes refrains, enivre notre oreille,
Exalte notre cœur, rafraîchit notre front.

Sur toi le Verbe ouvrit son aile toute grande,
Et les alexandrins sonnent dans ta Légende
Comme l’acier du glaive et l’airain du clairon.