Page:Chapman - Les Fleurs de givre, 1912.djvu/179

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Tout se tait, sur la route et dans l’enclos bénit,
Sous la feuille qui pousse, au bord de l’eau qui coule,
Sur l’herbe de la plaine et la mousse du nid.

Et, pendant qu’à mes pieds la lame se déroule,
Je promène mon œil enivré d’infini
Entre le bleu du ciel et le blanc de la houle.