Page:Chapman - Les Fleurs de givre, 1912.djvu/197

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Mon œil est fasciné par le front du Ventoux ;
Le cri de la cigale à mon oreille est doux ;
Le son du galoubet m’emplit de gaîté folle.

Et, lorsque les échos de tes chants du Midi
M’arrivent à travers l’Atlantique attiédi,
Je sens mon cœur léger danser la farandole.