Page:Chapman - Les Fleurs de givre, 1912.djvu/211

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Ô le mystérieux pouvoir de la musique !
Depuis les jours sacrés d’Orphée et d’Arion
Enivrant le dauphin et charmant le lion,
Nul ne peut résister à son souffle magique
Où palpite le vol de l’Inspiration !