Page:Collins - La Femme en blanc.djvu/828

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répondis-je, et je crois pouvoir garantir que je reconnais mon petit bonhomme.

— Petit bonhomme ! s’écria-t-elle avec un retour de son ancienne gaieté. Osez-vous bien traiter si familièrement un des membres de l’aristocratie anglaise ? et savez vous quand j’offre à vos regards cet illustre « baby », en présence de qui vous êtes ? Évidemment non ! Laissez-moi donc présenter l’un à l’autre deux éminents personnages : M. Walter Hartright… l’héritier de Limmeridge !…

Ce fut ainsi qu’elle parla. J’ai tout dit en écrivant ces derniers mots. La plume tremble dans ma main. Le long et heureux travail de tant de mois est maintenant terminé ! Marian a été l’ange tutélaire de nos deux existences. — À Marian, un jour, de parachever notre histoire !

FIN DE LA FEMME EN BLANC.