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1,220-221. CXXVIII. — ij Juillet i6)8. 221

voy eilre plus attaquez par eux. Mais ie ne laiffe pas d'auoir beaucoup à vous remercier de l'heur que vous me fouhaittez, comme auflî de la peine que vous auez prife de m'écrire, & ie fuis, &c.

��CXXVIII.

Descartes a Morin.

i3 juillet i638. Texte de Clerselier, tome I, lettre 60, p. 220-221.

Voir le prolégomène de la lettre précédente, p. jgj.

5 Monfieur,

l'aurois vfé de la permiflion que vous m'auez fait la faueur de me donner, de faire imprimer ma réponfe à vos objedions auant que von s l'euffiez veuë^, fi l'en auois autant halle rimpreffiu;-. que ie m'eftois propofé

10 de faire quand ie les receus; mais ayant eu depuis quelque autre confideration qui m'empefche de rien publier fi-toft, ie croirois manquer à mon deuoir fi ie difierois plus longtems à vous l'enuoyer; c'efl: pour- quoy ie la mets icy entre vos mains, & vous fuplie, s'il

i5 y a quelque chofe qui ne foit pas à voftre gré, ou bien qui requerre plus ample explication, de me faire la faueur de m'en auertir, & ie taf|cheray en tout de vous témoigner que ie fuis, &c.

Du \) luillet i6j8.

a. Voir ci-avant page 85, 1. 4.

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