Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, III.djvu/113

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m, sgi-sgi. CXCVII. — Juillet 1640. loi

pondre par le P. Bourdin lui-même. L'essentiel de cette réponse nous a été conservé dans ÏÉpttre au P. Dinet, imprimée à la suite des 7" Ob- jections et Responses dans la 2« édit. des Méditations (Amsterdam, Louis Elzevier, 1642, in-12, p. 148-149). Descartes répliqua lui-même le 28 oc- tobre 1640 (lettre CCXI ci-après).

��CXCVII.

Descartes a [Huygens]-

[Leyde, juillet 1640.] Texte de Clerselier, tome III, lettre 107, p. Sgi-SgS.

Sans nom ni date dans Clerselier. Mais on voit que la lettre CCI ci-après est une réponse à celle-ci, qui s'adressait donc à Constantin Huygens. En outre, Descartes annonce (p. io3, l, 20) qu'il a écrit au Recteur du Collège des Jésuites à Paris [lettre CXCVI ci-avant); la présente lettre est donc postérieure au 22 juillet 1640, et comme nous savons, par la réponse du 14 août, qu'elle est restée 12 jours en chemin, elle serait donc partie le 2 août au plus tard, à supposer que Hujgens ait répondu sur l'heure; mais pour peu qu'il ait tardé lui-même à répondre, la lettre de Descartes serait plutôt de la fin de juillet, d'autant que celui-ci ne parle que de sa lettre du 22 juillet, et non pas encore de celles du 2g et du 3o.

Monfieur,

le tiens à vne extrême faueur que,parmy tant de diuerfes occupations & tant d'importantes affaires qui doiuent pafler par voftre efprit, vous daigniez encore vous fouuenir d'vne perfonne fi inutile comme ie fuis. Et ie ne j doute point que les lettres que vous auez pris la peine de procurer pour le Tourneur n'ayent porté coup; mais il n'en a pas encore fenty les effets, finon en tant que Meffieurs de cette Ville

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