Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, III.djvu/148

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ij6 Correspondance. u, aSg.

en peu de temps, s'il n'efloit plus prefle qu'il n'eft, à caufe qu'il y a trop de chemin. Mais dans l'air ordi- naire, qui eft toufiours mû par le vent, ces feuilles font aifément emportées en haut auec l'air qui les enui- ronne, lors qu'il monte plus vifle qu'elles ne peuuent defcendre.

le ne croy point qu'il foit befoin de tant de plis dans le cerueau pour la mémoire^. Mais on me dit que le meflager part, c'eft pourquoy ie n'ay pas loifir d'acheuer. le fuis,

Mon R. P.,

Voftre très humble & très aflfedionné feruiteur, descartes.

Du jo luillet 1640.

Page 121, 1. 5. — On lit, p. 106-107 ^^ recueil intitulé Sorberiana (Tolosae, Colomyez et Posuël, 1691) :

« Petrus Forestus, Alcmarianus, Medicus Delphensis, Observationum » et Curationum Medicinalium ac Chirurgicarum scripsit libros XLI. De » incerto ac fallaci urinarum judicio lib. III. Quae omnia in une spissx » molis volumine édita extant Francofurti i623; obiit, ut ex literis adjecti » Epigramnaatis colligitur, anno 1592. Non ineleganti usas, me Hercle, » stilo,quamvis vir magnus Latinitatcm suam cxcuset,hoc Manilii versu :

» Ornari res ipsa negal, contenta doceri.

» Non puto Medicum operibus hisce honestè carere posse, cùm nullus » ferè sit morbus in quo vir ille solertiam suam non exercuerit, faciem » vero vel peritioribus praebuerit. {lire : facem. . . praeluxerit?) »

I s'il n'eft fort preffé. — 2 trop] à p. 240, 1. 4), qui appartien-

beaucoup. — 7-1416... 1640. nent à la lettre suivante du 6 août

omis. Clers. donne ici deux 1640 (p. 243 et 244). Vient

fragments : C'eft vn abus... di- ensuite l'alinéa : Pour répondre

uers temps. Puis : Pour l'Ay- au billet (p. 240), qui est la let-

man. . . parraifon(p. 289, I. 16, tre CXCIXbis ci-après.

a. Voir ci-avant p. 84, 1. iq.

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