Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, III.djvu/264

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2Ç2 Correspondance. m, ioo.

croy point partir d'icy que ma Philofophie ne foit faite. le fuis,

Mon R. P.

��CCXXI.

Descartes a son Frère aîné.

[Leyde], 3 décembre 1640. [A. Baillet], La Vie de Mons. Des-Cartes, tome II, p. 94 (A) et gS (B).

A « Cette lettre {lettre CCXII ci-avant, du 28 octobre 1640) a/ant été reçue dans la famille un mois après la mort du Père, Jît fouvenir les enfans qu'ils avoient encore un frère vivant; et l'aîné prit la plume par bienféance, pour lui faire fçavoir les nouvelles de la maifon. [en marge : Lettr. MS. de Desc. à son frère aîné, du 3 décemb. 1640.] » (Baillet, II, 94.)

g « Monjieur fon père n'ayant pas jugé à propos de le traiter en Phi- lofophe Ml en Etranger, comme il femble que firent MeJJîeurs fes frères, avait eu la bonté en mourant de lui laijfer quelques biens à partager avec eux. M. Defcartes ayant perdu le principal en per- dant M. fon père, ne jugea point que le rejle valût la peine qu'il prendrait defe tranfporter fur les lieux. Il établit pour procureur de fes affaires fon ami M. de la Villeneuve du Boilexic, qui le fervit avec toute î'affeâion, toute l'exaâitude et toute la diligence qu'il n'avait ofè efpérer d'aucun autre, [en marge : T. II des lettr. p. 285. Et lettr. MS. de Desc. à son frère, du 3 Décembre 1640.] » (Baillet, II, gS.)

La lettre Clers. II, p. 285, est celle du 21 janvier 1641, ci-après CCXXVII.

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