Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, III.djvu/554

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J42 Correspondance. i, 4h.

prudentiam, vt non verear ne magisfaueat aduerfarijs tuis quàm veritati.

Ac denique ob hoc prsecipuè debes laetari, quod tua caufa fit talis vt, poftquam iudicata fuerit à tuis, iudicari etiam debeat ab incolis totius orbis terrarum, & cum in eâ de honore tantùm agatur, fi quid tibi priores contra ius ademerint, cum fœnore ab alijs reftituetur. Vale.

��CCLXXIII. Descartes a Mersenne.

[Endegeest, mars 1642.] ' Texte de Clerselier, tome II, lettre 60, p. 3o8-3ii.

Sans date dans Clerselier ; mais une allusion à l'arrivée toute récente de la reine d'Angleterre en Hollande {p. 543, l. g) permet de dater cette lettre du milieu de mars 1642,

Mon Reuerend Père,

le fuis extrêmement obligé à Monfieur de Sainte- Croix de la bonne volonté que vous me mandez qu'il me témoigne. Teftime beaucoup les confeils qu'il me fait la faueur de me donner, & ie ne manqueray de les fuiure, autant qu'il fera en mon pouuoir; & mefme ie ne plaindrois pas d'aller faire vn voyage en France tout exprés pour les pouuoir apprendre de fa bouche ; mais la mer & les Dunkerquois rendent main- tenant le paffage trop difficile & trop périlleux.

Pour ce qui eft de témoigner publiquement que ie

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