Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, III.djvu/606

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C94 Correspondance. m, hog.

Où i"av calculé la force du mail', i'ay fuppofé que la 1*"' fois il efloit meu de certaine vitelle, qui dimi- nuoit au moment qu'il touchoit la boule, & qu a la 2""^ fois il eftoit meu de mefme viteffe que la i"*-', auant que de toucher la boule, ^^ qu'en la touchant 5 fon mouuement diminuoit moins, à caufe qu'il trou- uoit moins de refiflance; mais il faut auffi fuppofer que l'air n'avde nv ne nuift point à ces mouuemens.

La petite boete icv iointe eÛ. s'il vous plaift, pour M'. Picot. 10

CCLXXXIX.

Descartes au P. [Vatier].

[Endegeest, 17 novembre 1642.I

Texte de Clerselier, tome I, lettre 1 16 ( u^ partie), p. Szô-SzS.

« A l'H Reuerend Père Jésuite », dit Clerselier, sans donner de nom ni de date. Mais les lignes 2-4 rapprochées de deux passages de la précédente [p. 5gi , L 2 et l. 10-12) montrent qut le destinataire est le P. Vatier et que les deux lettres ont du être envoyées en même temps.

Mon Reuerend Père,

le ne me fouuiens point que iamais perfonne m'ait dit que vous auiez deffein de cenfurer mes écrits, & ie n'en ay eu auffi aucune opinion; car ie ne fuis pas d'humeur à m'imaginer des chofes dont ie n'ay point i5

2 et 4 : i"'-'^ première. — 4 : a"*/ féconde. — 9-10 La petite... Picot, omis.

i. Voir ci-avant p. 481. 1. 21.

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