Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, IV.djvu/189

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

i, soy. CCCLXVIII. — 9 Fkvrier 1Ô45 . 175

atque tune Hberum, & fpontaneum, & voluntarium plané idem funt. Quo fenfu feripfi me eô liberius ad aliquid ferri quô a pluribus rationibus impellor: quia certum eft voluntatem noftram maiori tune cum faci- 5 litate atque impetu fe mouere.

��CCCLXVIII. Descartes a l'Abbé Picot.

[Egmond], 9 février 1645.

(A. Baii.i 1 r . La Vie Je Monsieur Des-Cartes, t. If, p. 247 (A), p. 264 I H et p. 2

Suite du passage rapporte ci-avant, lettre CCCLX, p. 147 :

« L'Abbé Picot ne luy envoya la troifiéme partie [de sa traduction des Principes) que dans le mois de Février de l'année fuivante, & il n'en parut pas moins falisfait en marge : Tom. 3 des leur. pag. 612 du 17 Févr. Item lettr. MS. de Desc. à Picot du 9 Févr. 1645 . L'Abbé l'ayant accompagnée de quelques difficulté- dont il demandoit l'explication, M. De/cartes, en luy envoyant celte explication, luy manda que ces difficulté- mêmes, de la manière dont il les luy avoit proposées, faifoient honneur a fa traduction

& montroient que le Traducteur entendoit parfaite- ment la matière, parce qu'elles nauroient pu tomber dans l'efprit d'une perfonne qui ne l'auroit entendue que fuperficiellement.

(Baillet, II, 247.)

Voir la fin de l'alinéa, ci-après, lettre du I er juin 1645.

« Ce jugement, que M. Gaffendi fembler oit avoit prononcé de fang B froid fur les Principes de M. Defcartes, trahi [{[oit un homme qui

�� �