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290 Correspondance. i, «.

montroit qiïil y en a qui nous portent aux aélions raifon- nables. Mais ie maffeure que vous m'y donnerez plus de lumière, quand vous expliquerez comment la force des payions les rend d'autant plus vtiles, lorfqu elles font fu- iettes a la raifon. 5

le receuray cette faueur a Rifwyck, ou nous allons demeurer, iufqua ce que cette maifon ici f oit nettoyée, en celle du prince d'Orange; mais vous n'aue^ point befoin de changer pour cela l'adreffe de vos lettres a

Voflre tres-affeclionnée amie a vous feruir, «o

ELISABETH.

Ce3/i3 7 bre .

Monfieur Defcartes.

��CDIII.

Descartes a Elisabeth.

Egmond, i3 septembre 1645.

Copie MS., Marburg, Staatsarchiv, I.ettr. de Desc, n° î.

« A Madame Elisabeth, Princesse Palatine, etc. », dit Clerselier, t. I, lettre 7, p. 22-26, sans donner de date. Réponse, non pas à la lettre du i3, ci-avant p. 28-] , mais à la lettre CD, p. 2-jS.

Madame,

Voftre Altefle a û exactement remarqué toutes les (5 caufes qui ont empefché Seneque de nous expofer clairement fon opinion touchant le fouuerain bien,

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