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III. 522.
Correspondance.

les aurai reçues. J’ai connu autrefois M. le Conte, qui était trésorier gênerai de l'extraordinaire des guerres, & bon ami de M. le Vasseur, ami aussi de M. Chanut. Je ne sais si ce fera le même.

Si vous voyez Monsieur Picot, je vous prie de lui dire que j'ai reçu ses lettres, mais que je ne puis encore lui envoyeur la suite de sa version, pour ce que je n'ai encore su trouver un quart d'heure, en tout un an qu'il y a que i'en fuis à cet article, pour éclaircir mes lois du mouvement. Je fuis si dégoûte du métier de faire des livres, que ce m'est de la peine feulement d'y penser. Je ne manquerai pas toutefois de lui envoyer, dans quinze jours, ce qu'il m'a demandé, & je fuis passionnément son seruiteur, comme je suis aussi,

Mon R. P.,

Votre très humble & très obéissant serviteur, Descartes.

CDXXX.

Descartes a Mersenne.

Egmond, 20 avril 1646.

Copie MS., Bibl. Nat., fr. n. a. 5iGo, f. 35 tt 36.

Copie de la main de Mersenne. Une feuille pliée en deux; le premier feuillet est rempli des deux côtes; le second, d'un coté seule-

10 en quelque chofe ajouté fçaurois mettre en aucune façon. avant mes. — loisj règles. — — 14- 1 5 auffi ie fuis, 11-12 ce... penfer] ie ne m'y