Additions. 66$
��LETTRE CCCLXII, page i5i, ligne i5.
��Ce vers, que Descartes cite de mémoire, est tiré de l'ouvrage suivant :
[Joannis Joviani] Pontani Opéra (Vcnetiis, in œdibus Aldi Ro[mani] mense augusto M. D. V., petit in-8°, fol. r iii).
Dans le Meteororum liber, $ De Corne tis, on lit en effet :
« Nam memini quondam Icario de sydere lapsum
». Squalentem prceferre comam, tardoque meatu
» Flectere sub gelidum Borea- penetrabilis orbem,
» Hinc rursum praferre caput, cursuque secundo
» Vertere in occasum, ac Iaxis insistere habenis,
•' Donec Agenorei sensit fera cornua tauri ■
(Communication due à l'obligeance de M. Léon Dorez, Sous-Bibliothé- caire à la Bibliothèque Nationale.) La note c de la page i5i est donc erronée.
��LETTRE CCCLXVII, page 161.
Dans le prolégomène, au lieu de « lettre CCCLXXIX ». lire : CDXVII, p. 344 ci-après.
��LETTRE CCCLXVIII, page i 7 5, A.
Le texte reproduit d'après Baillet II, 247. comme étant de Descartes, est tiré de la lettre à Picot, du 17 lévrier 164D, ci-avant p. 181, 1. 3 à 7.
��LETTRE CCCLXXXIII, page 232, éclaircissement.
Un document espagnol de i65o, qui relate les services de Friquet, est favorable a l'une et à l'autre interprétation. On y lit, en effet : « Juan Fri- » quet natural de la villa de Dola en el Condado de Borgona. . . » Et un peu plus loin : <: ...para concurrir con el deputado de V. Mag* por el » circulo de Borgona. »> (Voir La République des Provinces-Unies, la France et les Pays-Bas, par A. Waddington, Paris, Masson, 1895, t. I, P. 437-438.)
Correspondance. IV. 84
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