41. 42, 43,
44.
��DE LA Philosophie
40. La 3. : que li vn corps qui
fe meut en rencontre vn
autre plus fort que foy, il
ne perd rien de fon mou-
uement; & s'il en ren- contre vn plus foible qu'il
puilîe mouuoir, il en perd
autant qu'il luy en donne. 86
La preuue de la première
partie de cette règle 87
La preUue de la féconde
partie »
En quoy conlîfte la force
de chaque corps pour agir
ou pour refifter 88
Que le mouuement n'ert
pas contraire à vn autre
mouuement, mais au re- pos; & la détermination
d'vn mouuement vers vn
cofté, à fa détermination
vers vn autre »
45. Comment on peut déter- miner combien les corps
qui fe rencontrent chan- gent les mouuemens les
vns des autres, par les rè- gles qui'fuiuent 89
La première >•
La féconde 90
La troifiéme »
La quatrième »
La cinquième 91
La fixiéme 93
La feptiéme »
Que l'explication de ces
règles eft difficile, à caufe
que chaque corps eft tou- ché par plufieurs autres en
mefme temps gS
54. En quoy confifte la nature des corps durs & des li- quides 94
55. Qu'il n'y a rien qui joigne les pariies des corps durs,
Œl'vrf.s. IV.
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��46.
47- 48, 49, 5o, 5i.
52,
53,
��finon qu'elles font en repos au regard l'vne de l'autre. »
56. Que les parties des corps fluides ontdes mouuemens qui tendent également de tous coftez, & que la moindre force fuffit pour mouuoir les corps durs qu'elles enuironnent 95
57. La preuue de l'article pré- cèdent 96
58. Qu'vn corps ne doit pas eftre elHmé entièrement fluide au regard d'vn corps dur qu'il enuironne, quand quelques-vnes de fes par- ties fe meuuent moins vite que ne fait ce corps dur. . 98
59. Qu'vn corps dur eftant pouffé par vn autre ne re- çoit pas de luy feul tout le mouuement qu'il acquert, maisen emprunte aufïï vne partie du corps fluide qui l'enuironne »
60. Qu'il ne peut toutefois auoir plus de viteffe que ce corps dur ne luy en donne
61. Qu'vn corps fluide qui fe meut tout entier vers quelque cofté emporte ne- ceffairement auec foy tous les corps durs qu'il con- tient ou enuironne »
62. Qu'on ne peut pas dire pro- prement qu'vn corps dur fe meut, lors qu'il eft ainfi emporté par vn corps fluide. ; 100
63. D'où vient qu'il y a des corps ù durs qu'ils ne peuuent eftre diuifés par nos mains, bien qu'ils foient plus petits qu'elles. »
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