Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, IX.djvu/649

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

DE LA Philosophie.

��MI

��179. Comment s'arrengent les grains de la limure d'acier

��180

��181

��I»2

��i83,

184

i85 186.

.87

188

.89 190

��autour d'vn aymant 3o2

, Comment vne lame de fer jointe à l'vn des pôles de l'aymant empefche la vertu 304

Que cette mefme vertu ne peut eltre empefchée par l'interpofition d'aucun au- tre corps 11

Que la iîtuation de l'ay- mant, qui elt contraire à celle qu'il prend naturel- lement quand rien ne l'em- pel'che, lui olte peu à peu fa vertu 3o5

Que cette vertu peut aullî luy eltre oltée par le feu & diminuée par la rouille. . . » , Quelle eft l'attraiflion de lambre, du jayet, de la

cire, du verre, &c »

, Quelle ertlacaufe de cette attraclion dans le verre . . . 3o6

Que la mefme caufe fem- ble auffi auoir lieu en tou- tes les autres attrapions . . 307 . Qu'à l'exemple des chofes qui ont eflé expliquées on peut rendre raifon de tous les plus admirables etîecis qui font fur la terre 3o8

Quelles chofes doiuent encore eilre expliquées, afin que ce traité foit com- plet 309

Ce que c'eft que le fens, & en quelle façon nous fen-

tons 3io

, Combien il y a de diuers fens, & quels font les inté- rieurs, c'elt à dire les ap- pétits naturels & les paf- fions 3i I

��[91

��192. 193, 194 .95 .96

��198

��IQO

��200

��201

��202

��Des fens extérieurs ; & en premier lieu, de l'attou- chement 3l2

Du gouft 3i3

De l'odorat »

De l'ouye 3 14

De la veuë »

Comment on prouue que l'ame ne fent qu'en tant qu'elle elt dans le cerueau. »

Comment on prouue qu'elle eft de telle nature que le feul mouuement de quelque corps fuffit pour luy donner toute forte de

fentimens 3i5

, Qu'il n'y a rien dans les corps qui puiffe exciter en nous quelque fentiment, excepté le mouuement, la figure ou fituation, & gran- deur de leurs parties 3 16

Qu'il n'y a aucun phai- nomene en la nature qui ne foit compris en ce qui a efté expliqué en ce

Traitté 317

. Que ce Traitté ne con- tient aufTi aucuns Princi- pes qui n'ayent efté receus de tout temps de tout le monde; en forte que cette Philofophie n'ell pas nou- uelle, mais la plus an- cienne & la plus commune

qui puiffe eltre 3 18

, Qu'il elt certain que les corps fenlibles font com- pofez de parties infenli-

bles 3 19

, Que ces Principes ne s'ac- cordent pas mieux auec ceux de Democrite qu'a- uec ceux d'Ariftote ou des autres 3 20

�� �