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Poucet, rappelle aussi, mais avec plus de variété et d’agrément, les Deux Filles, de Bladé.

Avant de terminer, nous devons mentionner le Pleur des perles, traduit de Glinski par Chodzko (Contes des paysans et des pâtres slaves). Cest Dieu le père, accompagné de trois anges, qui joue le rôle de la fée, et le dénoûment s’y fait à l’église, devant le cercueil du frère de la jeune fille, que le roi a tué dans un mouvement de colère.

Ce récit, où la légende primitive a été manifestement arrangée au point de vue religieux, est lourd de style, mais supérieur par l’ordonnance à presque tous les autres.

Nous ne prétendons nullement avoir passé en revue, ici pas plus qu’ailleurs, tous les similaires du conte de Perrault, mais nous en avons dit assez, — trop peut-être, — pour montrer comment l’imagination a brodé ce thème sous les diverses latitudes.


LES TROIS NAINS DE LA FORÊT

DIE DREI MŒNNLEIN IM WALDE
Contes des Enfants et du Foyer, des frères Grimm, n°13.


Il y avait une fois un homme et une femme qui avaient perdu, l’un sa femme, l’autre son mari.