Page:Doyle Chien des Baskerville.djvu/265

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première, il revendiquerait cette fortune du fond de l’Amérique du Sud et, sans avoir à paraître en Angleterre, il serait envoyé en possession de cet héritage, sur la simple justification de son identité devant les autorités anglaises de là-bas. Dans la seconde, il se rendrait à Londres et y vivrait le temps nécessaire sous un habile déguisement. En troisième lieu, il se procurerait un complice, lequel, après la remise de toutes les preuves exigées par la loi, chausserait ses souliers moyennant une certaine commission. Par ce que nous savons de lui, nous sommes en mesure d’affirmer que Stapleton aurait tourné cette difficulté.

« Après ces quelques semaines de dur labeur, je crois, mon cher Watson, que nous pouvons nous octroyer un peu de distraction. Ce soir, j’ai une loge pour les Huguenots… Soyez prêt dans une demi-heure… Nous nous arrêterons en route pour dîner chez Marcini. »